Allez les yeux invisibles vers le beau.
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Ce conte moral n'est pas une autofiction. c'est l'histoire, que je n'ai pas vécue, d'une communauté et d'une génération déchirées par le Sida, dans des quartiers où je n'ai jamais habité.
C'est le récit fidèle de la plupart des trahisons possibles de notre existence, le portrait de la pire part des hommes et - en négatif - de la meilleure.
T. G.
Mon commentaire : Dans le miroir il y a la plupart de nous, traînant sa vie comme il peut dans un monde à l'envers. J'aime ce roman pour son désoeuvrement, pour la douleur qui s'en dégage, dans sa vérité.