Allez les yeux invisibles vers le beau.

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26/01/2015

Ce que doivent être les choses... (Chapitre 1)

kraly,livre,manuscrit,écrivain,conscience,roman,chapitre 1,extrait,à paraître,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreParis, octobre 2031.

 

 

 

 

1

 

 

 

Le jour de ma rencontre avec Nyad et Lian, j’étais en compagnie de Prat, mon meilleur ami. Mon nom est Lôl. Après avoir été comédien — à l’époque je l’appelais « l’artiste ambulant » — Prat était devenu peintre mural. Il peignait des anges à la perfection, on le demandait pour cela. Nous vivions en communauté d’artistes sous un même toit. Prat et moi étions les plus âgés, j’abordais mes 78 ans et lui, ses 79 ans. Je travaillais encore pour notre contribution à la solidarité, j’avais abandonné l’écriture de romans pour devenir écrivain public. La société nous imposait un travail pour que nous soyons acceptés. Toutes les personnes se devaient d’exercer un métier d’entraide, peu importait l’âge. Nous étions sur le parvis de la basilique du Sacré-Cœur où Prat avait, à l’intérieur, peint des chérubins, lorsque nous vîmes, devant nous, deux anges, sorte d’apparition, se tenir par la main. Il ne suffisait donc pas de voir des anges dans une église, il y en avait aussi à l’extérieur ! Cette image restera gravée longtemps dans ma mémoire, car peu habituelle en 2031. Tout comme il était prudent, de nos jours, de cacher notre supposé athéisme, surtout pour moi, — la suite vous en révèlera l’extraordinaire — car on ne plaisantait pas avec cela, tout signe ostentatoire était mal vu, comme le fait de se tenir la main par exemple. C’était l’un des nombreux paradoxes de notre époque.   

 

Lian vint vers nous et m’accosta :

— Je vous connais.

— Vous me connaissez ?, répondis-je.

— Oui, j’ai lu l’un de vos livres, Loémé, dans lequel vous parliez des « Éveilleurs de conscience ».

— Mon premier livre, effectivement. Mais comment se fait-il que vous me connaissiez, j’ai arrêté d’écrire depuis plus de vingt ans, on ne parle plus de moi nulle part.

— J’ai communiqué par l’esprit, me répondit-il, un sourire aux lèvres.

 

Effectivement, de nos jours, beaucoup des gens de la ville s’exprimaient par la pensée, il y avait même des professeurs pour cela qu’on appelait, en souriant, « les grands communicants ». Mais de nombreuses personnes, tel Lian, s’imposaient cette « gymnastique » toute cérébrale en groupe ou individuellement.

– Il me suffit, poursuivit-il, d’avoir lu un livre de vous pour que je puisse communiquer avec votre pensée. Mais la vôtre n’est peut-être pas réceptive, dit-il, non sans quelque audace.

J’avais depuis longtemps abandonné l’idée de fonctionner par télépathie, l’exercice n’était plus de mon âge. Le dialogue n’était pour certains qu’un complément, une précision de la pensée, un substitut ; pour d’autres, il n’y avait que le langage, à l’irréversibilité rassurante. On se méfiait de ceux qui ne juraient que par la télépathie. « Les Penseurs », comme on s’amusait à les appeler, étaient des gens doués capables de s’adapter à ce monde mieux que nous. Ces êtres d’intelligence certaine avaient un sens du raisonnement, un esprit agile et perspicace propre aux personnes très influentes.

— Que vous reste-t-il de cette lecture ?, me permis-je d’avancer.

— Mon éducation, répondit-il. Il poursuivit :

— Je vais vous présenter Nyad. 

Celle-ci, d’un pas gracieux, s’avança d’emblée vers nous, j’étais conquis par cette jeune fille à la peau métissée ; Prat aussi était sous son charme.

Ses premiers mots, qu’elle prononça en nous tendant la main, semblèrent venir d’une autre planète :

 — Je parviens à recevoir de belles ondes de vous.

 Prat renchérit :

— Qu’est-ce que vous entendez par belles ondes ?

— Vos ondes de naissance.

— Ondes de naissance ?, dis-je sans comprendre.

Dans un langage magnifique, elle spécifia :

— Celles qui, en ce moment précis, vous transportent près de nous.

— J’avoue ne pas comprendre…

Le doigt sur les lèvres, elle ajouta :

— Vos ondes de naissance, qui sont les mêmes que celles de Lian et moi, se cristalliseront dans le temps. Vous comprendrez un jour.

 

Il y avait des êtres dont l’intelligence était étonnante. Prat et moi étions sous le charme de ces deux consciences élevées. S’adressant à nous, Lian précisa :

— Nos chemins sont liés, on se reverra.

Ils nous saluèrent, affichèrent dans le même temps un sourire magnifique, puis nous quittèrent. Deux chérubins s’envolèrent devant nos yeux ébahis. Prat devint un autre homme, tandis qu’un long frisson extrasensoriel me traversait le corps et gagnait mon cerveau. Nous restâmes quelques minutes sans voix, essayant de nous remettre de nos émotions.

Nous montâmes dans le« Flyingworld », un bus propulsé par l’énergie du vent. Depuis quelques années, déjà, les ingénieurs avaient réussi à mettre au point ce bus révolutionnaire, qui se déplaçait avec ce procédé et qui avait remplacé le tramway et voitures. Il existait encore de petits taxis — sorte de véhicules —, qui fonctionnaient avec la même énergie, mais de capacité d’accueil très restreinte. Depuis l’année  2025, « l’automobile », comme on la désignait à cette époque, n’appartenait plus à ce monde et ne faisait plus rêver. Paris était devenue une mégalopole dont le trafic arrivait à saturation. Vivaient là des gens de toutes origines et l’on y parlait souvent en anglais. La langue française n’avait pas perdu de son éclat ; c’était la deuxième à être distinguée dans le pays aux frontières éclatées. Des pourfendeurs de la langue des anciens Gaulois, assez nombreux cependant dans la capitale, s’exprimaient en français enrichi de mots à la consonance bien particulière, à la fois mélange d’anglais et de français, mais aussi d’autres langages. Lian qui venait de la province du « Hunan », avait fait de courts séjours dans plusieurs pays et il vivait à présent en France ; il était chinois, était très doué en informatique et avait acquis de nombreux pouvoirs surnaturels. Nyad, tout aussi puissante, était née en Afrique du Sud. Cela faisait six mois qu’ils vivaient à Paris. Je sus cela lors de notre deuxième rencontre que l’on fit le lendemain, assis sur l’herbe autour d’un bon repas, ce que Lian m’avoua, en toute amitié.

 

Nous arrivâmes devant « L’Aigle déchu », notre résidence. Prat et moi occupions la même chambre et la partagions avec une ancienne star de cinéma venue d’Allemagne. Avia Mankoff était beaucoup plus jeune que nous et approchait des 68 ans, elle avait tourné avec les plus grands. La plupart des films, aujourd’hui, étaient des documentaires spécialisés sur le comportement des êtres vivants, dans des milieux aux conditions biotiques. Nous gagnâmes notre chambre, Avia était nue devant le miroir, comme souvent. Elle se réfugiait dans le passé et le souvenir de sa jeunesse, époque où elle était adulée sous les flashes des photographes de la « presse people »,bien réduite de nos jours. Elle avait connu de multiples amants, tous richissimes, et ne vivait que dans le souvenir d’un bonheur fané, révolu. À la demande de Prat, toujours habile dans ce genre de situation, Avia se rhabilla. L’heure du dîner sonna, et nous descendîmes dans la cuisine. Nous nous installâmes à la grande table commune, où nous étions dix-huit. Le repas était assuré par deux personnes, Gylie, la plus âgée, et la jeune Lyane, qui n’avait pas vingt ans. Celle-ci était très sensible, d’une gentillesse extrême et d’une santé délicate. Cette jeune femme n’avait pas de parents légitimes et nous arrivait d’Alger. Elle était aux petits soins pour nous. Tout le monde la prenait en pitié et l’aimait. Même le gros Grato Samsor, ancien sculpteur, très bourru et parfois méchant, l’épargnait. On ne lui connaissait aucune relation avec des garçons de son âge, elle sortait très peu de l’enceinte de la résidence.

 

Ce jour-là, au dîner, la cuisine française était pour une fois à l’honneur, sous la forme d’un bœuf bourguignon cuisiné avec de la viande de synthèse. Ce plat tout à fait classique était cependant très rare à notre époque, car la nourriture, s’étant diversifiée, était devenue équilibrée. On arrivait à produire une gastronomie saine où tout était calculé, les consommateurs privilégiaient une nourriture cosmopolite, variée, dosée selon sa valeur nutritive et enrichie en apports caloriques et bioénergétiques.

 

 Régulièrement, avant de m’endormir je lisais. Les auteurs étaient pleins de talents, d’une intelligence, d’une imagination débordante. Le contenu de ces lectures était si riche qu’il me guidait dans une certaine ligne de conduite. Dans les écoles, la façon de voir de ces stylistes était analysée, pour voir comment cela était enseigné, décrypté ; ces écrivains décrivaient le monde d’alors, réel et positif. Par leurs histoires, ils illustraient pour leurs lecteurs un monde d’images d’une telle force qu’il avait relégué le cinéma au second plan. Je me laissais captiver par lecture du livre électronique d’un jeune romancier allemand du nom de Léor Brogel un ouvrage au titre intrigant : Yris et devenir un autre.

 

(Extrait de "Ce que doivent être les choses" de Pôl Kraly - à paraître)

16/10/2014

Chemins & Dialogues... (31)

chemins,dialogues,kraly,écrivain,altruisme,pensées,philosophie,réflexions,comprendre,savoir,connaître,manuscritChemin… (31)

 

 

            Vers la fusion de toutes choses, une pulsation énergétique flamboie en direction du ciel et vers nos cosmos personnels pour délivrer une masse d’informations. Dans les recoins de notre conscience, notre voix unique se fait entendre par sa parole cristalline et pure. Les hommes arriveront à comprendre cette langue précise et positive qui établira en notre esprit des fonctions vitales. Les enfants de cette ère s’ouvriront à cette communauté pacifique, parsemée de beautés éclatantes. Elle déterminera notre espace essentiel sur cette Terre d’une vision globale. Intelligence à apprendre et à respecter pour les connaissances de cette lithosphère, une certaine façon de penser la planète résultera de sa métamorphose immanente pour notre plus grand bonheur. Ce corps céleste possèdera des capacités énormes à modifier des changements qui transformeront le monde. L’exaltation apparaîtra à son comble, et la lumière du soleil baignera de ses rayons, les humains altruistes, par delà les océans.

 

&…

 

Dialogue… (31)

 

 

 

            Une pulsation énergétique grâce à la fusion organique des choses emmagasinées se propulse à l’intérieur des hommes vers le ciel et notre cosmos personnel. Une voix superbe émanera de notre conscience et s’interprètera par son chant. Les Terriens parviendront à connaître cette parole qui se voudra toujours harmonieuse à nos oreilles. Elle cristallisera notre esprit de son langage particulier. Nous demeurons prêts, enfants de la création, à entrer dans cette innovante ère parsemée de beautés généreuses. Il suffira de comprendre ses codes, cela apparaîtra à notre intelligence et fera briller la planète entière pour notre plus grand bonheur. Ce corps céleste possèdera des capacités énormes à transformer un Nouveau Monde qui émergera. La joie subsistera précieuse à nos yeux et la lumière du soleil caressera les altruistes que nous constituons par delà les mers.

 

(Pensée et réflexion philosophiques et spirituelles inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à lire sur "lireenligne.net".

 

à suivre...

 

04/09/2014

Sagesse de la Conscience... (1)

 

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LES EXIGENCES DE L’AUBE

 

Il y a à acquérir des heures fortes qui submergent la transition de l’aube au jour. Formaliser de la puissance de celle-ci pour qu’elle se hisse au-dessus des nuages le moment venu. Que pouvons-nous penser de cette injonction au temps,  notre être la perçoit-il toujours ? Pouvoir obtenir une cognition discrète susceptible de s’élever dans ce laps de temps issu de cet instant. Cherchons à comprendre le pourquoi de cet éveil soudain au soleil, au jour, à l’heure, ou alors à la minute. Dans tout réveil, il y a une fraction de seconde où l’aube se lève. Ce que notre corps a du mal à concevoir, c'est sa relation au matin, et pendant ce temps, celui-ci parvient à s’ouvrir au monde. Penser que toute lueur apparaît prédisposée à voir dans une fleur, un animal, une pierre à ressentir les premières chaleurs des rayons de l’astre du jour. La métamorphose de ce macrocosme se met en place pour une nouvelle journée, qui orchestrera son cycle. Ce que certains êtres ne sauront pas expliquer, c'est le renouvellement immuable qui s’établit de façon naturelle sur vingt-quatre heures et qui prédispose à ce que les humains en comprennent les lois. Il y a les saisons qui ont une fréquence que la rotation de la Terre entraîne vers l’exigence d’elle-même, dont nos yeux ne conçoivent même pas la réalité. Si ceux-ci ne captent pas ces changements, les individus que nous sommes ne verront pas les influences néfastes qui sur le métabolisme de chaque être agiront en conséquence. Il nous faut recevoir l’intensité de la lumière de chaque période pour évaluer le degré d’influence dans tout notre organisme, obtenir cette lueur diaphane ne peut que nous donner le rythme ancestral de l’univers lié au cosmos. Tout resplendit dans nos têtes à condition que notre esprit soit en osmose avec les éléments de la nature. Utiliser son cerveau pour connaître la saveur de ces composants et nous saisirons le système de base de toutes choses.

 

 (Prose philosophique & spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître) 

20/08/2014

Chemins & Dialogues... (25)

 images-2.jpegChemin... (26)

 

 Rechercher la mobilité de l’esprit n’apparaîtra pas comme un vain mot, il faudra la concevoir dans nos têtes. L’excitation de neurones produira une effervescence d’idées propre à nourrir notre cerveau en ébullition. Comment atteindre cette « mobilité », je dirais par la force consciente de l’esprit, par une méditation quotidienne, par une profonde étude de soi ? S’ouvriront les synapses en corrélation avec l’émergence d’un éveil serein de nous-mêmes. Nous parviendrons, ainsi, à construire un métabolisme solide et essentiel par ce genre d’exercices. Des énergies puissantes se feront sentir dans notre organisme, nous pourrons rêver à des existences en adéquation avec notre être. Notre âme épousera l’unique perfection d’un monde réfléchi.          

 

&

 

Dialogue... (26)

 

  Il faudra concevoir dans nos têtes, ce qui stimule notre esprit par l’excitation d’idées propre à nourrir notre cerveau. On pourra atteindre cette capacité par une force dynamisante de l’esprit, une méditation existera, cela produira en nous une profonde étude. Un éveil conscient surgira grâce à nos synapses qui auront fait office d’ouverture. Alors, nous parviendrons à créer un métabolisme puissant et essentiel de ses énergies emmagasinées en lui. Nous pourrons rêver à des vies que notre âme aura supervisées à ce monde nouveau.

 

(Pensées inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" à paraître) 

 

à suivre...

 

           

 

           

 

           

 

10/07/2014

Chemins & Dialogues... (23)

 

Chemin... (23)

 

kraly,écrivain,philosophie,spiritualité,pensées,chemin,dialogue,réflexions,comprendre,savoir,connaître,manuscritD’une image à la fois simple et belle, une incarnation généreuse se dévoilera à la lumière. Elle retombera en forme de cœurs et se diffusera dans tous les corps. Nous resterons des témoins impatients, ce temps qui se voudra existant à se définir en nous. Dans notre cerveau, il se concevra en de petites flammes invisibles qui entreront par notre esprit. De vive voix, nos consciences exauceront ce vœu et se chargeront de le transmettre avec délectation dans nos têtes. Il suffira qu’une douce musique se fasse entendre en nous et d’un enchantement magnifique nos yeux s’ouvriront à ce spectacle. De positives pensées germeront et viendront parfumer nos vies joyeuses qu’un beau sourire ensoleillera sur toutes les lèvres. Nos naissances latentes et éclatantes s’éveilleront, au matin, à ce Nouveau Monde!

 

&

 

Dialogue... (23)

 

D’une incarnation rayonnante, la beauté se dévoilera en nous. Dans nos corps, elle prendra place et nous resterons des acteurs attentifs de ce temps magnifique qui scintillera. Notre cerveau brillera de petites flammes vivantes et lumineuses qui illumineront notre esprit. Nos consciences s’efforceront d’en établir la cohérence dans une alchimie parfaite. Une musique douce nous enchantera à ce spectacle. Sur nos lèvres s’éveillera le plus beau des sourires, la naissance d’un Nouveau Monde, au matin, se concevra sous nos yeux !

 

 

(Pensées & réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins et Dialogues" - à paraître)

 

 

 

14/05/2014

Chemins & Dialogues... (18)

Chemin... (18)

 

 

chemins, dialogues,manuscrit,kraly,philosophique,spirituelle,réflexions,écrivain,comprendre,savoir,mutation,existentielCe temps où notre mémoire installa dans notre inconscient de vagues territoires sonores, de là un son à peine perceptible et bien précis s’en dégagea pour paraître d’une évidence à notre conscience. Alors fallait-il en comprendre son chant et sa voix si lumineuse pour qu’elle nous parvienne heureuse à notre intelligence. Son inspiration, depuis notre naissance, existe par sa vivacité et sa fluidité, de son élégance de se mouvoir en nous comme la raison essentielle de nos vies. Dans chacun de nous réside une symphonie, mais elle s’appelle euphonie, elle se révèle à nous dès lors que l’on saisit son chant par notre conscience. Après son avènement en nous, il faut l’écouter, car sa voix se distingue de toutes celles qui nous perturbent. Elle se veut mélodieuse et apparaîtra toujours positive, elle ne demeure pas moins une source d’agréables joies. Une fois entrer dans votre fonctionnement de votre cerveau, elle vous fait voir le monde autrement, elle possède des yeux et une intelligence qui épouse vos yeux et votre intelligence  !

 

&

 

Dialogue...(18)

 

 

De notre mémoire échappe ce son si éclatant à notre inconscient comme une gamme subtile de cette symphonie qui demeure en nous. D’une évidence concrète, son chant, sa voix que j’appelle euphonie se dégage de ces temps anciens où elle réside. Elle nous parvient dans sa générosité et son sens positif par son élégance et son besoin de se mouvoir en nous. Vivant apparaît son arpège; elle se veut brillante; source de volupté; sa créativité en réalise la raison essentielle à nos vies. Dans notre cerveau et par notre conscience existent nos yeux et notre intelligence qui se révèlent à nous et nous illuminent d’un autre monde plus étincelant.

 

 

 

(Pensée & Réflexion inédites de Pôl Kraly in "Chemins et Dialogues" - à paraître)

01/12/2013

Chemins escarpés... (intégralité)

images-2.jpegJe viens de terminer une oeuvre majeure "Chemins escarpés".


Vous pouvez lire le manuscrit dans son intégralité par ce lien... Chemins escarpés.pdf


(Je suis à la recherche d'un Editeur)

 


(Tous droits réservés par Pôl Kraly (Alias Franck Roy)

 

Bonne lecture...

(j'attends vos commentaires...)