10/08/2016
Santé & Cosmo Tellurisme... (39)
Il n'existe pas de bio-architecture type :
Après avoir enfin pris connaissance des influences des éléments du sous-sol sur la santé, l'équilibre et le comportement de l'Homme, les architectes, constructeurs et maîtres d'oeuvre commencent à accepter d'envisager l'influence des matériaux et des formes de l'architecture sur la vie des êtres.
Timidement on commence à reconnaître, en haut niveau, que les immeubles en béton armé provoquent des déséquilibres glandulaires et cellulaires.
Mais il est vrai que l'on accepte beaucoup plus difficilement une "théorie" venant des U.S.A. (qui confirme certains de nos travaux) dénonçant l'influence nocive des vibrations du béton sur le squelette. De nombreuses personnes souffrent de problèmes osseux uniquement parce qu'elles évoluent dans un milieu "bétonner".
Le béton produit une vibration qui agit sur la fréquence vibratoire de la molécule du tissu osseux.
(Extrait de "Santé & Cosmo Tellurique" de B. Legrais et G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)
à suivre...
05:00 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tellurique, santé, cosmo, bien-être, leurrais, altenbach, architecture, béton, armé, homme, vibration, connaissances, vie, molécules, conséquences, immeubles, réflexion, comprendre, savoir, connaître
07/11/2013
Comment détecte-t-on l'eau du cosmos ?
Comme le Soleil qui nous éclaire en permanence, toutes les étoiles dissipent leur énergie en émettant toutes sortes de rayonnements, dont des ondes électromagnétiques. Certaines de ces ondes sont visibles à l’œil nu, c’est la lumière avec toutes ses couleurs. D’autres sont invisibles, ce sont l’infrarouge, les ultraviolets, les rayons X… Or, les atomes et lesmolécules de tous les corps ont la capacité d’absorber, ou d’émettre, certains rayonnements électromagnétiques à des longueurs d’onde qui dépendent de la nature de l’atome, ou de la molécule, et de l’état - solide, liquide ou gazeux - dans lequel il, ou elle, se trouve. Comme la plupart des molécules, la molécule d’eau absorbe, ou émet, du rayonnement dans l’infrarouge ainsi qu’à de plus grandes longueurs d’onde.
En analysant les ondes électromagnétiques reçues par la Terre, il devrait donc être possible de déterminer s’il y a de l’eau dans les régions de l’espace étudiées, par la mise en évidence d’une absorption, ou d’une émission, aux bonnes longueurs d’onde. Dans ce dessein, les scientifiques utilisent un système qui fonctionne comme un prisme en séparant les longueurs d’onde. Ils peuvent alors déterminer les longueurs d’onde manquantes, ou émergeantes, et en déduire la nature des molécules responsables de leur absorption, ou de leur émission.
Mais si la glace est relativement facile à détecter de cette manière, cela n’est pas le cas de la vapeur d’eau car l’atmosphère terrestre en contient, ainsi que du gaz carbonique, qui absorbent précisément aux mêmes longueurs d’onde. Pour s’affranchir de l’atmosphère terrestre, il ne reste aux scientifiques qu’une possibilité, celle d’embarquer les instruments nécessaires à ces mesures à bord de satellites. C’est ce que les chercheurs européens ont fait en lançant, fin 1995, le satellite "ISO" (Infrared Space Observatory) de l’Agence spatiale européenne qui a emmagasiné des données du haut de son orbite jusqu’en 1998.
Par ailleurs, certains nuages denses et très localisés de vapeur d’eau du milieu interstellaire ou du voisinage de certaines étoiles ont la capacité d’émettre, à une longueur d’onde spécifique située dans le domaine des ondes radio, un rayonnement électromagnétique particulièrement intense. De tels nuages sont alors observables directement du sol.
05:00 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eau, cosmos, détecter, réflexion, découvrir, planètes, observation, ondes, électromagnétisme, atomes, molécules