Allez les yeux invisibles vers le beau.

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

22/07/2016

Astuces Feng shui... (67)

Pas de miroirs dans la cuisine :

 

astuces,feng shui,too,bien-être,miroirs,cuisine,problèmes,pièce,famille,accident,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreLes miroirs reflétant le feu de la cuisine causent des accidents et des problèmes pour les jeunes enfants. Il est de très mauvais augure d'installer un miroir dans cette pièce, surtout si on y voit l'image du fourneau. Le chef de famille risque de subir un accident très grave.

 

(Extrait de "365 astuces feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)

 

à suivre...

23/11/2014

J'ai tant aimé ce monde...


J'ai tant aimé ce monde - Etape de travail 2

 

Vendredi dernier, j'ai été voir la pièce de théâtre "J'ai tant aimé ce monde" d'après le roman "Présence de la mort" de Charles-Ferdinand Ramuz, dans ma petite ville des Herbiers. Autant dire que ce spectacle est de toute beauté, aussi bien la pièce que la mise en scène (art visuel et accompagnement musical) avec la qualité du texte. Des acteurs qui portent haut et en couleur ce texte admirable de profondeur. Si vous avez l'occasion de voir ce spectacle n'hésitez pas ! (Voir ci dessus...)

 

Pôl Kraly

 

10/10/2013

Le Journal d'Anne Frank....

Je suis allé voir la pièce de Théatre : "Le Journal d'Anne Frank" avec Francis Huster, et quel bonheur de voir ce spectacle, riche. Qui nous fait mieux connaître Anne Frank et son oeuvre.

Un conseil, si la pièce par votre ville n'hésitez pas... Du bon théâtre et de très bons acteurs !


Pôl Kraly

 

 

Le Journal d'Anne Frank adapté au théâtre

Roxane Duran interprète avec conviction Anne Frank, ici au côté de Francis Huster dans le rôle du père.

 

Malgré des acteurs investis, la pièce d'Éric-Emmanuel Schmitt n'émeut pas autant qu'elle le devrait. Dans la mémoire collective, ­le destin d'Anne Frank renvoie à un pan d'Histoire collective, ­le destin d'Anne Frank renvoie à un pan d'Histoire.


 Son journal publié dans le monde entier a transformé l'adolescente qui rêvait de devenir écrivain en héroïne mythique. Éric-Emmanuel Schmitt a lu et relu le précieux témoignage pour la ressusciter dans une pièce du même titre que le livre, Le Journal d'Anne Franck, qu'il a élaborée avec l'aval du Fonds et de la Fondation Anne Frank.

spectateur du Théâtre Rive gauche affronte le visage d'Anne Frank, en gros plan sur un quai de gare. C'est Roxane Duran, 19 ans, révélée par le film de Michaël Haneke,Le Ruban blanc, qui lui prête sa vivacité. Un sifflement de train, de la fumée, et Otto Frank, alias Francis Huster, entre en scène. Il brandit une pancarte portant les noms de sa femme et de ses filles, les attend, avant de repartir lentement tête baissée. Fondu au noir.

Un parti pris à double tranchant

Éric-Emmanuel Schmitt se place du point de vue du père d'Anne Frank. C'est Miep Gies, sa secrétaire et amie, qui lui donne son journal. On est en 1945. Côté cour, à son bureau, Otto Frank hésite avant d'ouvrir le carnet intime rouge et blanc. Sur le plateau, ­Stéphanie Jarre a recréé l'intérieur de l'annexe où s'est cachée la famille juive allemande pendant deux ans, jusqu'à son arrestation et sa déportation, en 1944.

Steve Suissa a conçu une mise en scène quasi cinématographique. Avec une succession de séquences, parfois de tableaux. La lumière se fait tour à tour sur le père et sa famille qui partage le logement avec les Van Daan et le dentiste Dussel. Un parti pris à double tranchant. Car si on peut imaginer la vie des reclus, à l'étroit, aux aguets et affamés, on est moins ému qu'on ne le devrait. Comme si une caméra invisible imposait une distance, nous tenait à l'écart du destin qui se joue sous nos yeux.

Pourtant, la troupe est investie. ­Roxane Duran interprète avec conviction la jeune fille qui commença à écrire à l'âge de 13 ans. Lumineuse, intelligente, elle rappelle combien Anne était déterminée, intransigeante avec sa mère, pleine de vie, et drôle aussi. Francis Huster et les autres acteurs marchent dans ses pas, mais parfois de façon trop appuyée.

(Source "Le Figaro")

31/05/2012

Frédéric Lordon...


Les Matins - Frédéric Lordon