06/11/2010
Poème du Jour...
LIEU DU CRIME
Les bonheurs de la pensée péris en mer
Avec les peaux d'onagre et les sceaux,
La déroute d'une colonnade, le crépuscuele
Font tinter la cloche du rémouleur.
Ceux qui ont mangé leur mère
Et couchent avec le destin,
Fondrières glacées,
Ont l'agilité des petites esclaves
Pour chanter et s'appuyer contre une feuille de houx.
La place pourrait sourire
Les arbres teints de patience
L'après-midi flambent.
(Poème de Vincent Bounoure)
05:16 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, surréaliste, bounoure
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