La Petite Note de Franck... (71)

Il ne faut pas voir dans le capitalisme une chance de nous en sortir, sa mort est programmée, c’est un système obsolète qui n’a plus cours. Il faut passer à une vie (je ne dis pas un système) plus en adéquation avec ce qu’elle peut nous offrir, je veux dire par là, une vie intelligente répondant au bienfait de notre planète et à l’intelligence humaine au service de ces mêmes humains. Un travail sans servitude et choisi, un mode de vie adapté à une souplesse d’aménagement de notre cadre de vie. Être des altruistes répondant au bonheur de chacun, aller vers des modes de vie au quotidien plus simple et plus respectable de l’environnement. Créer une sorte de société alternative qui se voudrait plus partageuse des biens communs. C’est ne pas être utopique de rêver cela, mais de choisir une utopie concrète pour nous en sortir.

 

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La Petite Note de Franck... (70)

La mission « Rosetta » commence à être couronnée de succès. Je n’ai pas vu un tel engouement des gens de la planète entière pour l’espace depuis que l’homme a posé son pied sur la lune et planté un ridicule drapeau dessus. Je reste perplexe devant ce concert de louanges pour cet exploit. Certes, c’est merveilleux pour la science d’envoyer le robot « Philae » sur la comète « Tchouri » et sur les éventuelles découvertes que cela va apporter (du moins, il faut l’espérer). Ma perplexité (j’en reviens) me fait penser que si la recherche doit avancer dans ce domaine pour plus de connaissances, premièrement, à savoir « d’où on vient », si vraiment, « il y a de la vie ailleurs. » Je m’interroge à savoir plus sur qui nous sommes nous les humains et quelles sont nos possibilités pour mieux nous connaître. Je veux dire par là, à l’intérieur de chacun, car pour moi la vraie exploration c’est bien dans les profondeurs de l’incommensurabilité de l’être qu’il nous faut en savoir plus. Bien sûr, des recherches sont faites pour comprendre le corps humain, les autistes, toutes les maladies psychologiques et autres qui nous affectent. Je crois que la connaissance de la biodiversité de la nature et dans ce qu’elle peut engendrer dans tous les domaines de sa compréhension, cela avec la clairvoyance de notre propre connaissance de nous-mêmes, amènerait des résultats d’autant plus bénéfiques pour l’homme et la femme qu’ils serviraient la cause de la survie sur notre planète. Ces mêmes personnes pourraient ainsi vivre de façon altruiste l’un envers l’autre et être en adéquation avec la véritable éducation que la nature est prête à nous enseigner si l’on voulait bien davantage s’intéresser à elle. Il y a une richesse à percevoir de chacun de nous au service de notre existence à tous, par une grande acuité de ce que nous pouvons comprendre avec tous les éléments qui peuvent nous donner à construire un avenir sur cette planète si belle. J’ai la forte intuition que le monde change en positif et que des êtres reçoivent à chaque instant sur cette terre, ce chant à peine perceptible à l’oreille et que j’appelle « Euphonie » ce chant est un langage codé hautement intelligent dont le rôle est d’éveiller les consciences. Ce chant nous vient du cosmos d’autres planètes, qui elles, sont habitées et vivent avec une souplesse d’esprit importante dont nous recevons par des voies communicatives ce « chant » sensible, si l’on veut bien prêter l’oreille et ouvrir notre cœur et notre conscience. La vraie expérience ne serait-elle pas de chercher à explorer le cœur des hommes et des femmes, de connaître les richesses de notre Terre, d’acquérir plus d’informations sur le fonctionnement organique de notre corps, de nos cellules, de notre cerveau, de notre ADN ? N’y a-t-il pas là une aberration illogique d’aller comprendre, ce que les étoiles ont à nous dire alors que le véritable voyage à faire est dans les profondeurs de l’humain et la connaissance de notre planète qui a beaucoup, encore, à nous apprendre. Car si il y a des vies dans la galaxie et dans d'autres galaxies, nous parviendrons toujours à entrer en contact, notre intelligence peut nous y aider.

 

 

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La Petite Note de Franck... (69)

La noirceur du monde par ces temps-ci n’est pas à l’optimiste avec les guerres de religion et autres, la planète souffre de ces conflits interminables. Être positif et optimiste relève d’une certaine négation de la réalité, et pourtant partout dans le monde il y a des initiatives aussi bien individuelles que collectives pour que la planète vive mieux et cela se fait à l’échelle mondiale. Elles sont peu voyantes ces initiatives qui débordent de générosité et de solidarité. Grâce à des associations comme « Les Colibris » en France avec d’autres, les gens voient les dangers qui se profilent si l’on ne fait rien, donc il faut que chacun de nous bouge dans ce sens pour faire notre « révolution » pacifique et humanisme. Je veux être de ceux-là qui croient encore à cette belle utopie de pouvoir changer le monde avec des actes et des paroles sans effusion de sang, il faut modifier les mentalités par l’éveil de notre conscience. Je viens de terminer la lecture du roman de Dan Brown « Le Symbole perdu » où il fait dire à un de ses personnages : « C’est lorsque l’on approche des ténèbres que l’on approche aussi de la lumière. » Une voie lumineuse nous attend du moins, je veux y croire, ce chemin une fois trouvé il faudra que nous allions chercher dans le cœur de chacun l’altruiste qui sommeille. Avec l’aide de bonnes âmes, nous avancerons sur ces « chemins existants. »...  (Titre de mon livre de pensées philosophiques et spirituelles.)

 

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La Petite Note de Franck... (68)

Comment concevoir un monde d’intelligences humaines :

 

 Le fait que dans un avenir à plus ou moins long terme l’intelligence humaine sera supérieure à l’intelligence artificielle, je m’explique : « Des chercheurs ont pour mission de créer “l’intelligence artificielle” par la fabrication d’une machine pour le moins complexe et qui devra “aider” l’homme (les hommes) à mieux comprendre bien des choses. » Je propose une machine cent pour cent humaine dont l’intelligence sera au service des humains. Voilà comment je vois les choses : « Cela commencera par une profonde étude de la connaissance de soi, voir avec sérénité tous les services que notre corps dans son intégralité peut nous rendre. Je reste persuadé que cette approche se fait par le cerveau qui peut permettre de connaître toutes les fonctionnalités propres à l’organisme. » Comment pouvons-nous atteindre cette approche et la connaissance suprême de nos possibilités, tout d’abord dans ce que je disais plus avant dans mon propos, par une connaissance parfaite de soi-même, cela s’acquiert par une lente et progressive descente à l’intérieur de nous-mêmes ? Par notre intelligence, nous parvenons à cet état de fait, nous y parviendrons par la conscience qui se veut toujours positive et de son écoute assidue de sa voix bien particulière. Mais comment entendre cette voix ? On l’entend par une connaissance des mécanismes de son cerveau, il faudra ne pas tomber dans le panneau de ses propres pensées qui sont tout autre. Cette voix s’acquiert par la méditation prolongée et quotidienne, l’on peut interroger sa conscience et elle vous répond, mais il faudra la discerner des autres voix ; comme celle de son inconscient, qui elle, parasite tout et qui n’est jamais positive. La voix de l’inconscient devient positive que si elle passe par la conscience. Dans les années à venir, il y aura deux possibilités : l’intelligence artificielle et l’intelligence humaine (celle dont je m’identifie) ; l’intelligence humaine, je veux ainsi dire la conscience développée, parviendra à se transmettre par télépathie dans les cerveaux et cela se fera en toute simultanéité. Dans mon roman qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où l’action se passe en 2081, je montre cette « guerre » entre ces deux modèles d’intelligence, une plus robotisée et l’autre plus humaine. Ce roman (qui se souhaite un éditeur) se veut une esquisse d’un monde où les ondes et notre magnétisme jouent un rôle essentiel. On aura atteint ce degré de connaissance dès lors que l’on aura développé en nous cette profonde analyse, et l’on pourra se connecter directement avec d’autres intelligences, animales, végétales, minérales et même je prédis que l’on pourra communiquer avec les intelligences du cosmos et d’autres planètes par la seule force de notre intelligence ! Je reste convaincu que nous ne sommes pas les seuls dans l’univers.

 

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à suivre...

La petite Note de Franck... (67)

J’ai un doute sur les médias, j’attendais depuis un moment déjà que l’on parle dans l’émission de France 5 « C’est dans l’air » du traité transatlantique. Ce fut chose faite avant-hier, et cela en dix minutes ; le sujet fut abordé, car de toute évidence : « ne rien dire cela paraîtrait louche. » Effectivement, ce n’était pas le sujet principal (et il ne faut surtout pas s’étendre dessus, c’est trop délicat) ; le sujet de l’émission avait ce titre : « économie : Horizon brouillé ». J’ai l’impression de plus en plus que cette émission est de complaisance avec une certaine idéologie bien-pensante dans le but d’anesthésier les spectateurs en rabâchant toujours les mêmes débats avec les mêmes interlocuteurs pour endormir l’information et démystifier cette même information pour la rendre plus opaque selon le thème abordé. Ne parlons pas de ces « choses » ou alors que très brièvement, cela doit rester confidentiel. C’est bien là, à mon avis, qu’il y a un problème, car s’il ne faut pas en débattre cela cache bien des choses bizarres, d’ailleurs Philippe Dessertine apparaissait gêné aux entournures par le propos. Heureusement qu’il y a Médiapart, France Inter et quelques autres pour nous en informer, mais à petites doses. À mon très humble avis, il y a « anguille sous roche », il n’y a rien de bon à attendre de ce côté-là, j’ai l’impression que les médias ont ordre de ne pas évoquer « la chose ». Alors qu’il aurait fallu un grand débat public en ce qui concerne ce traité. J’ai bien peur que nous soyons « manger », par Les États-Unis, tout cru sans que l’on puisse dire notre avis. Chut ! il ne faut surtout pas trop en dire, c’est un sujet « top secret, » c’est bien là que se cache la malhonnêteté de ce traité dont la transparence est absente ! Et puis bientôt, il y aura la Coupe du monde de football au Brésil, une façon d’occulter les problèmes, de noyer les informations les plus dérangeantes de cette planète au néolibéralisme exacerbé.

 

 

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Nouvelle Petite note...

Je renouvelle ma page sur "La Petite Note de Franck" du 29/04/2014, car il y a urgence ! 

 

L’Europe est-elle prête à vendre son âme aux États-Unis et au libre-échange planétaire et tout cela dans la discrétion ? Pascal Lamy (voir ma page d’hier) se veut rassurant et pragmatique, mais voilà pourquoi il faut lire entre les lignes et voir les non-dits. Pour moi, c’est l’ouverture : « de libre échange pour les riches... au détriment des pauvres, car il ne faut pas croire que cela est fait pour les plus démunis, cela se fera sur le dos des plus faibles, les salaires n’augmenteront pas pour autant pour les salariés, il n’est fait que pour enrichir les riches... » Voilà les propos qui sont les miens et que je traduis dans un langage lisible. Car ces petits arrangements entre amis sont les arrangements de riches pour les riches et pour entretenir un niveau de vie aux plus aisés de ces deux continents qui ont décidé d’en finir avec les plus pauvres. En ce qui concerne les contrats industriels, agricoles, culturels... la parole des États-Unis sera bien plus forte que celle des Européens qui négocient en douce pour des accords qui les arrangent, mais sur le dos de la population des Européens qui n’ont pas droit au chapitre et qui verront leurs droits au fil des années (car cela se fera dans le temps pour faire avaler la pilule et pour qu’elle soit moins amère) fondre comme neige au soleil et je pose la question : « Et les jeunes dans tout cela ? » Pascal Lamy nous dit que ce libre échange favorisera le peuple et qu’il y aura moins de chômage, et moins de pauvres. Vraiment, il se trouve qu’il est le seul ou avec deux ou trois autres à le croire, il rêve au redémarrage de la croissance, et même si elle se devait de repartir cela se ferait dans l’aveuglement général. Il ne faut pas croire à leur lubie de nous faire penser : « regardez — moi dans les yeux je vous dis la vérité. » Ce monde capitaliste est arrivé à bout souffle, ils veulent entretenir un quelconque espoir avec le mot : croissance. Tout est à remettre à plat, il serait bon de repartir sur des bases saines en favorisant un monde dirigé vers l’humain avant tout avec une valorisation de la planète et non une poursuite effrénée vers l’argent qui nous emmène tout droit au désastre. Messieurs les Dirigeants, faites appel à votre bon sens et celui de votre peuple !

 

 

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La Petite Note de Franck... (65)

Comme il est difficile de se faire un nom en littérature, d’ailleurs Pôl Kraly n’est pas mon nom, mais un pseudo. Pourquoi me dites-vous, je vous réponds, qu’il existe un autre Franck Roy (mon vrai nom) et qu’il écrit des livres sur les groupes Rock comme Led Zeppelin (groupe que j’adore au demeurant). Pourquoi ne changerait-il pas son nom parce que c’est moi qui ai découvert cette imposture, parce qu’il est plus connu que moi (il est publié chez des Éditeurs nationaux), c’est au plus petit de s’effacer dans ce cas (je ne sais pas l’âge qu’il a, mais cela fait 40 ans que j’écris. Bref Pôl Kraly cela me va bien) ? Oui, il est difficile de se faire un pseudo (rire), dans cet autre monde de requins, non pas que je ne pense pas avoir du talent (bien au contraire), mais si tu ne t’appelles pas Michel Drucker, Michel Onfray ou Tartempion que tu passes à la télé, que tu es professeur de « je ne sais quoi », que tu possèdes des amis bien placés dans la place, près des journaux ou des Maisons d’Édition... Pôl Kraly n’a quasiment aucune chance de voir un de ses livres paraître à la devanture des libraires. Je viens d’achever deux livres ; un troisième est en cours, pour le moins que l’on puisse dire que je ne fais pas un tabac avec « Chemins existants », Pensées philosophiques et spirituelles et « Ce que doivent être les choses » (un roman que j’ai retravaillé dernièrement et qui date de 2008)... Pourtant je suis sûr de mon talent, mais je ne renonce cependant pas à taquiner les Éditeurs nationaux en envoyant mes manuscrits, qui sont toujours si mal accueillis. En attendant un Éditeur digne de ce nom, je les publie à compte d’auteur comme l’on fait Rimbaud, Proust et d’autres... Je voudrais, pour conclure, que les refus des Éditeurs ne dictent pas mon choix d’écrire, j’ai cela dans le sang, mais quand même si cela est parfois décourageant...

 

Tient bon Pôl Kraly !

 

 

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