Allez les yeux invisibles vers le beau.

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02/01/2015

La Petite Note de Franck... (71)

images-1.jpegIl ne faut pas voir dans le capitalisme une chance de nous en sortir, sa mort est programmée, c’est un système obsolète qui n’a plus cours. Il faut passer à une vie (je ne dis pas un système) plus en adéquation avec ce qu’elle peut nous offrir, je veux dire par là, une vie intelligente répondant au bienfait de notre planète et à l’intelligence humaine au service de ces mêmes humains. Un travail sans servitude et choisi, un mode de vie adapté à une souplesse d’aménagement de notre cadre de vie. Être des altruistes répondant au bonheur de chacun, aller vers des modes de vie au quotidien plus simple et plus respectable de l’environnement. Créer une sorte de société alternative qui se voudrait plus partageuse des biens communs. C’est ne pas être utopique de rêver cela, mais de choisir une utopie concrète pour nous en sortir.

 

(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)

26/10/2014

Dolores Cannon... (2)

25/10/2014

Dolores Cannon... (1)

07/01/2014

Nouveau monde... (10)

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En rangs serrés, les Chevaliers de l’Amour nous arrivèrent, portés par la gloire. Nous versâmes une larme à les voir regarder, ils se savaient des Anges parmi la foule. Un grand espoir nous venait, alors, au cœur, on en mesurait cette fois-ci la signification. Au premier plan, une jeune enfant portait un drapeau, celui de l’amour, que le vent faisait flotter à nos tempes. Le jour se levait, il était cinq heures, un coq au loin chanta, un monde nouveau arriva avec le soleil aux premiers jours du printemps. Une voix s’éleva de la troupe, et cette belle voix se mit à chanter un air de victoire. Ainsi les cœurs à l’unisson s’employèrent, eux aussi, à chanter, puis d’autres drapeaux se levèrent et flottèrent au vent. Une respiration saine s’installa dans les poumons de chacun comme pour mieux respirer ce chant, tous les yeux se levèrent vers le haut, le bleu étincelait d’une nouvelle vie. Nous vivions, alors, en parfaite harmonie avec nous-mêmes, en symbiose avec Dieu. À ce moment-là, le ciel s’ouvrit en deux et présenta le chemin, celui que nos âmes confirmèrent vers la lumière! 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly)

23/10/2013

Nouveau monde... (7)

 

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CROISSANCE OU DÉCROISSANCE ?

Journalistes, ministres, statisticiens, économistes, syndicalistes, dans leur grande majorité, présentent la croissance économique comme le seul projet viable de société, le seul levier capable de nous apporter emplois, bonne santé économique et prospérité.
Pourtant, si le PIB mondial n’a cessé de croître ces 50 dernières années, les inégalités grandissantes entre individus et la surexploitation des ressources naturelles nous mènent tout droit à des impasses sociales et écologiques. L’idéologie de la croissance économique et matérielle indéfinie est-elle réellement facteur de développement, de progrès et de mieux-être pour l’humanité ? Ce modèle de société est-il durable et généralisable ?
L’heure du changement de logique semble venue, où le "toujours plus", effréné et insensé, laisse place à la sobriété heureuse, consciente et responsable.

En résumé, faire le choix de la croissance ou de la décroissance c’est :
  • prendre en compte les ressources dont nous disposons vraiment, individuellement et collectivement ;
  • nous demander si le PIB reflète vraiment la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays dans une réflexion citoyenne personnelle et collective ;
  • faire les choix personnels qui sont en adéquation avec notre éthique, nos valeurs et notre vie personnelle, familiale et citoyenne, dans une contribution "cré-active" au quotidien.

L’impossible croissance illimitée sur une planète limitée

Chercher à tout prix une croissance économique illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens qui nous voit couper la branche sur laquelle nous sommes assis. Si tous les habitants de la terre se mettaient à consommer comme un occidental moyen, il nous faudrait l’équivalent de trois planètes pour subvenir aux besoins de tous.

Ce mode de vie et de ponction des ressources naturelles n’est ni généralisable ni soutenable à long terme.

Depuis la fin des années 70, l’empreinte écologique de l’humanité a dépassé la capacité biologique de la planète : nous consommons davantage de ressources que la terre ne peut théoriquement nous en fournir de manière pérenne.
Nous vivons au-dessus de nos moyens.

"The story of stuff", d'Annie Leonard, nous dévoile le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent ni où ils vont. Elle explique d'une façon ludique mais sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Vous pouvez voir le film, en VO sous-titrée en français, sur le site www.storyofstuff.org
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !

L’effet Kobe ou le non-sens de l’indice du PIB

Le PIB mesure sous forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée.

Mais il ne prend nullement en compte les raisons ou les effets qualitatifs de ces productions. Outre la fracture sociale, la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes, l’épuisement des ressources... sont non seulement ignorés mais parfois même comptabilisés de manière positive dans le PIB.

L’effet Kobe fait référence à un grave tremblement de terre au Japon, ayant touché des milliers de victimes, mais ayant permis de relancer l’économie par la reconstruction nécessaire des voiries, infrastructures, logements…

Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.

Que faire ?

Sortir de l’idéologie de la croissance indéfinie signifie pour chacun d’entre nous limiter nos prétentions, lâcher notre insatisfaction perpétuelle, renoncer à nos désirs de « toujours plus » et choisir la sobriété volontaire et heureuse.

Une société qui fait ce choix éthique et politique reconnecte ses priorités à l’essentiel : satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.

L’indicateur du PIB pourrait être abandonné pour laisser place à de nouveaux outils de mesure du progrès réel de l’humanité, qui tiendraient compte de l’adéquation du développement économique et matériel avec la capacité biologique de la terre et du bien-être social.
De nouvelles approches voient le jour : PID (Produit Intérieur Doux), IBH (Indice de Bonheur Humain), IDH (Indice de Développement Humain).

Croissance et fracture sociale

La croissance économique se calcule de manière globale sans prendre en compte le niveau d’équité de répartition des richesses entre individus. L’idée qu’elle serait un vecteur de réduction des inégalités n’est désormais plus recevable.

Bien au contraire, 20% des habitants de la planète s’accaparent 80% des ressources ; les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux. Selon les Nations Unies, les 225 personnes les plus riches ont une fortune supérieure à ce que gagnent chaque année les trois milliards d’individus les plus pauvres (soit près de la moitié de l’humanité !).

Les inégalités au sein d’un même pays ne cessent de croître également. En Europe centrale et de l’est, malgré un fort taux de croissance ces dernières années, la proportion d’habitants vivant avec moins de un dollar par jour est passée de 0,5% en 1990 à 3,5% en 2005.

La croissance, facteur de bien-être ?

Au regard des sociétés occidentales, où le stress, l’alcoolisme, la violence, les suicides, les maladies de dégénérescence, la solitude ne font qu’augmenter, travailler plus, dépenser plus, posséder plus, ne semble pas être un gage de bonheur.

La courbe de croissance économique dans les pays développés est d’ailleurs quasiment parallèle à celle des ventes en volume d’antidépresseurs. Ainsi, le PIB ne reflète-t-il pas la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays.

On a ainsi de quoi s’interroger sur la pertinence de la croissance en tant qu’indicateur de progrès et se demander à quoi servent nos efforts acharnés pour son développement, si cela ne contribue pas à offrir plus de bonheur aux vivants ?

Serait-elle seulement une idéologie savamment distillée à toute l’humanité pour la défense des intérêts privés de quelques uns et communément admise par tous par habitude ou
résignation ?

(source : Association "Colibris")

 

22/10/2013

La Petite note de Franck... (58)

petite note,roy,réflexion,nouveau monde, nouvelle technologie,survie, intelligence, positiver,changement,altruismeDans mes interventions précédentes, je disais que l’avenir était dans les nouvelles technologies, mais il y a du danger à tout. Je m’explique : toutes les avancées technologiques sont faites (en principe) pour améliorer le sort de nous-mêmes, elles doivent être bonnes si elles sont maîtrisées, car elles peuvent dans des mains malsaines être destructives... Il ne faut pas que cela soit livré à une absurdité d’usage, l’évolution de ces choses ne peuvent être que révolutionnaire, la bombe nucléaire était aussi une découverte, sachons être avant tout être intelligents dans l’usage de ces choses nouvelles. Sachons les adapter à notre sens de l’altruisme dans un esprit d’éthique par rapport à ce que nous devons faire de ces avancées scientifiques pour que nous soyons à la hauteur de ce Nouveau Monde qui se prépare, un monde basé sur le bon sens par rapport à la vie à venir, qui de toute façon sera différente de celle qui meurt sous nos yeux. Préparons-nous vers ce changement salutaire qui se fera, j’essaye de le positiver dans ma tête et cela avec d’autres. Ce changement se fera naturellement et en bonne intelligence devant les difficultés rencontrées par ce monde là, lorsque l’on sera face et devant l’évidence d’un Nouveau Monde à créer, il faudra bien se résoudre à trouver une autre alternative. Soyons nombreux à le formuler dans nos têtes, là est notre survie, notre bonheur, notre nouvelle vie. 

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle ... Note de Franck)


à suivre...

01/10/2013

Nouveau monde... (5 & 6)

Le monde selon Pôl kraly… (tel que je le conçois dans un premier temps)

 

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... Est un monde où l’innovation, sur toutes ses bases, se crée, dans tous les domaines, nous devons être capables de nous adapter. Élargissons notre champ de vision par les technologies du futur ;  tout cela par une symbiose harmonieuse avec notre environnement, que l’humain sort grandi par la conjonction de tout cela. Se diriger vers le futur ne se fait pas au détriment de la nature, agissons avec la biodiversité. Établissons un équilibre quasi parfait, essayons de connecter nos intelligences individuelles à toutes ces synergies merveilleuses qui par enchantement (et je le crois) viendront nous aider à nous comprendre. Je rêve d’une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, le respect, la tolérance, l’intelligence… qui peuvent permettre d’atteindre ses idéaux. Que notre monde ne soit pas fait par la compétition absurde entre les personnes, que chacun trouve sa place dans ce qui se propose de pouvoir acquérir dans un travail qui lui est propre. De promouvoir son « travail » sans recherche à acquérir plus d’argent ;  trouvons une alternative différente pour que les hommes puissent s’épanouir dans ce qu’ils font, sans forcément avoir des comptes à rendre, si l’on pouvait travailler selon un rythme bien propre à soi. Et supprimer d’être de plus en plus riche, supprimer cette compétition ridicule qui tue l’homme à la base qui l’empêche d’évoluer dans un climat serein. Il faudrait revoir le travail tel qu’il est conçu de nos jours avec un chef d’entreprise, puis des cadres supérieurs, puis des actionnaires qui pourrissent l’éveil de ce que certains cherchent à faire sérieusement et avec application. Donner la chance à se trouver un métier qui nous transforme. Mettre des formations en place à l’aide de ces métiers de demain pour qu’ils soient plus riches et plus captivants. Arrêtons ces hiérarchies octogonales et pyramidales qui vont du chef au simple ouvrier, si l’on pouvait écouter tout le monde sur une bonne base de départ, sans un salaire exorbitant pour les uns. Que les personnes de la naissance à la mort puissent vivre décemment... Je propose :  « UN REVENU UNIVERSEL DE BASE », qui selon moi serait bien utile à tout individu pour émerger et qui se voudrait salutaire. Je ne crois pas à la croissance dans ce monde que nous vivons. Bâtissons une autre planète plus intelligente, plus humaine, plus respectable des êtres qui peuplent cette terre, qu’il soit animal, végétal, humain ou autres… L’avenir qui se dresse devant nous, est une grande opportunité de s'ouvrir à ce monde dont je parle, sachons monter dans ces wagons de l’espoir. Un grand effort est à faire pour que toutes les consciences de ce monde d’aujourd’hui sachent acquérir ce Nouveau Monde. La solidarité, la compréhension, la tolérance, les différences culturelles, religieuses... peuvent ne pas être des obstacles si nous formons notre intellect à ce grand rêve auquel je crois. Je le formule encore : « CE MONDE SE FERA PAR UNE INTERCONNEXION COLLECTIVE DE NOS CONSCIENCES PAR LE SEUL FAIT D’UNE ÉMULATION PROFONDE DE NOTRE ÊTRE INTÉRIEUR PAR L’AMOUR, etc. » Si demain, la vie venait à changer, il faudrait se montrer respectueux et être à l’écoute de cette vie nouvelle, le mot humilité aurait, alors, toute sa force !  


à suivre... 


Le monde selon Pôl Kraly… (Tel que je le conçois dans un deuxième temps... après cela, à nous de définir son évolution)


Je disais dans « le monde tel que je le conçois dans un premier temps », que ce monde se fera par une interconnexion collective de nos consciences par le seul fait d’une émulation profonde de notre être intérieur par l’amour, l’amitié, la tolérance, etc.. Oui, j’y crois intensément mais cela se fera par une acceptation individuelle de la personne à cette transformation. Dès lors que nous aurons accepté de jouer le jeu et d’entrer dans ce Nouveau Monde, il faudra lâcher prise sur quelques mauvaises habitudes, et faire un travail sur soi. Mais je vois encore plus loin, en digne utopiste que je suis, cela se fera « assez facilement », car je crois fortement à l’émulation profonde et collective qui se chargera de cette tâche avec discernement et intelligence. Je viens d’achever un livre "Chemins escarpés" de pensées philosophiques et spirituelles (je suis à la recherche d’un éditeur) où je parle de la méthode de ce « concept » tout à fait révolutionnaire. S’il se devait d’avoir une révolution, elle se doit d’être pacifique et sans effusion de sang, je la vois ainsi et ce ne sont pas les idées d’extrême droite qui viendront perturber ce changement. Car c’est dans les têtes de ceux que j’appelle les « Éveilleurs de Consciences », des gens tout à fait à l’opposé de ces pensées fascisantes et dépassées, que se fera ce changement. Ce monde ainsi changé évoluera dans le bon sens et sera meilleur que celui qui s’achève (je veux dire le monde capitaliste), le monde auquel j’aspire commence à émerger et c’est tant mieux. Dans l’urgence de résoudre les problèmes de ce monde finissant, je souhaiterais que toutes les intelligences et chefs d’État se mettent autour d’une table pour envisager ce nouveau paradigme, il en est encore temps, c’est là notre unique chance de vivre autrement et mieux en respectant la nature et sa biodiversité, car c’est bien là que la question urgente dont il faudra trouver la réponse immédiate. Je ne suis pas un gourou, mais un être de conscience qui prend le temps de penser, de vivre et d’espérer pour le bien de l’humanité tout entière!