Allez les yeux invisibles vers le beau.

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23/03/2016

Au Printemps...

24/05/2014

Chemins existants... (Extrait)

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images-2.jpegLa création, comme support à nos vies latentes, se vit dans les pratiques auxiliaires de nos attentes spirituelles. Évocation de nos âmes, enfin, libres de s’aimer mutuellement et harmonieusement. Toutes actions s’accomplissant dans le mouvement parfaitement adapté aux situations les plus abracadabrantesques de l’existence, dans un ensemble ondulant sur lui même. Dans cet espace approprié, les corps s’unissent d’une matière noble faite d’atomes et de molécules heureuses qui sous l’impulsion de celles-ci se recompose magiquement et de façon naturelles en un corps particulier. Dans cette symbolique de la matière devenant lumière, l’esprit intervient miraculeusement dans cet agglomérat inné. La représentation dorée de tout cela en fait un décor de rêve autour de nous, une fois, que ces éléments ont pris chair. Tout consiste à convoquer nos consciences avec les humains dans leur substance initiale, un nouveau cycle positif se juxtapose à la réalité de son environnement. Ainsi s’invente la mouvance sereine de l’être dans l’équilibre magnifique de son apothéose à renaître dans la pureté architecturale de lui-même. La photogénie, alors, de l’humanité s’inscrit dans la concordance des lieux dans une séduction comblée de nos coeurs en émois.

 

 

(Extrait de "Chemins existants" de Pôl Kraly - Vient de Paraître)

 

 

26/02/2014

Chemins & Dialogues... (9)

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L’être qui pratique la méditation espère atteindre l’éveil, cela nécessitera une éminente connaissance de soi. Il ne faudra en aucun cas troubler sa conscience lors de l‘invocation, nous nous trouverons, dans l’obligation que celle-ci prend toute sa grandeur par sa révélation au monde. Ne pas en disperser la pensée dans ces moments-là demeurera incontournable, elle captera par cette concision la nature même de sa voix. Je veux dire par là : que le langage universel de ses sens s’infiltrera par son inconscient et remontera vers ce qui existera… Que tout ce qui viendra à son esprit ne puisse être le résultat de ses impressions. Une fois, responsabiliser, son inconscient rejettera tous les déchets pour vivre tous les bonheurs dans le cœur du citoyen. Dans une merveilleuse métamorphose, une langue clairvoyante sortira de son discernement pour mieux domestiquer la réalité ultime, qui devant l’humain par son intelligence saura en percevoir l émulation de son mental, dont le positif sera le meilleur pour nous.

 

 

&

 

 

Dialogue… (9)

 

 

La méditation apparaît sur le point d’être optimum par la parfaite connaissance de soi, l’humain s’en réserve le droit. Une petite lumière intense se doit par le cœur en conscience de se concevoir en confiance, par cette âme qui s’éveille au monde. Ne pas l’importuner dans ces moments-là, car elle grandit dans la synthèse concise d’un verbe à exister. L’universel langage se réalise à travers l’esprit d’autrui et se reflète par ses sens à la planète entière… L’homme par sa conscience en positive tous les aspects de sa concentration par son intelligence pour mieux les délivrer et les restituer aux semblables. De tout son mental, il nous donne le meilleur, sachons en percevoir et recevoir l’éveil à la contemplation.

 

 (Réflexion in "Chemins & Dialogues" de Pôl Kraly à paraître)

 

 

 

 

 

 

 

11/02/2014

D'une convergence en une soif absolue...

D’UNE CONVERGENCE EN UNE SOIF ABSOLUE

 

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D’un corps qui épouserait un cœur sur le chemin de l’âme unifiée par l’esprit, de là une nouvelle conscience en chercherait son langage. Recherché dans l’inconscient le message essentiel qui pourrait être positif dans cette voix si claire et si envieuse. Si nous avions la possibilité ou du moins la forte capacité d’entendre cette voix lumineuse qui se distingue à travers notre cerveau, car là se trouve la pensée la plus élaborée venant de celui-ci (certains en connaissent le chant.) L’apothéose serait d’être en mesure de coïncider avec la nature propre d’une pensée négative avec son contraire, la seule force de ce combat serait que l’énergie que dégage le positif l’emmènerait à la raison unificatrice de l’esprit. Dès lors, la fusion organique et la rencontre des deux s’offriraient par un électrochoc pour galvaniser tout notre système encéphalique. Le résultat pulvériserait une communication interactive qui viendrait à embraser toutes les consciences du monde. D’une étincelle naîtrait ce fameux monde auquel je crois, car il existera de l’explosion d’une utopie enfouie dans toutes les inconsciences des êtres humains comme une bouffée de bonheur et d’amour qui nous parviendra par la joie des consciences retrouvées !

 

 (Texte inédit de Pôl Kraly)

 

07/01/2014

Nouveau monde... (10)

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En rangs serrés, les Chevaliers de l’Amour nous arrivèrent, portés par la gloire. Nous versâmes une larme à les voir regarder, ils se savaient des Anges parmi la foule. Un grand espoir nous venait, alors, au cœur, on en mesurait cette fois-ci la signification. Au premier plan, une jeune enfant portait un drapeau, celui de l’amour, que le vent faisait flotter à nos tempes. Le jour se levait, il était cinq heures, un coq au loin chanta, un monde nouveau arriva avec le soleil aux premiers jours du printemps. Une voix s’éleva de la troupe, et cette belle voix se mit à chanter un air de victoire. Ainsi les cœurs à l’unisson s’employèrent, eux aussi, à chanter, puis d’autres drapeaux se levèrent et flottèrent au vent. Une respiration saine s’installa dans les poumons de chacun comme pour mieux respirer ce chant, tous les yeux se levèrent vers le haut, le bleu étincelait d’une nouvelle vie. Nous vivions, alors, en parfaite harmonie avec nous-mêmes, en symbiose avec Dieu. À ce moment-là, le ciel s’ouvrit en deux et présenta le chemin, celui que nos âmes confirmèrent vers la lumière! 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly)

27/12/2013

Textes pour grandir... (3)

ITINÉRAIRE D’UN HOMME

  

images-2.jpegPenser, méditer, il veut comprendre le message que sa conscience a mis en place. Son savoir apparaît immense, mais lui se montre démesurément ridicule aux yeux de certains. Sa force, sa capacité à pouvoir par sa seule volonté de lancer ses chevaux de son cerveau à l’assaut de ces imbéciles l’emprisonne dans le recoin de sa richesse intérieure. Mais comme sa connaissance se rêve sans limites, il a peur de tirer sur les rênes pour freiner son intelligence. Un itinéraire favorable, alors, se trace merveilleusement devant lui, vers une de ces directions, dont son esprit à la possibilité d’en mesurer la longueur. Il prend à nouveau conscience du beau voyage à parcourir, pour aller vers ce point de mire, vers ce soleil éclatant. Ainsi, son inconscient s’entête à le dévier de cette route enchantée, pourquoi ne pas comprendre ou ne pas aimer le sérieux de cet homme, de toute évidence, il possède en lui de sublimes songes. Par prouesses, il emmena ses acolytes vers la rivière de l’existence et sur le chemin de l’amour, car l’important pour nous tous réside dans le devoir de vivre, d’espérer, et de croire. Non seulement en nous-mêmes, mais à cette lumière qui brille à distance. De la sorte s’épanouit la grâce de cette noble âme dont le destin s’obstine dans sa tête à ce que la vie devient la plus positive pour l’universel monde.


(Texte inédit de Pôl Kraly - "Itinéraire d'un homme vers la lumière").


à suivre...

17/12/2013

Textes pour grandir... (2)

 

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L’HOMME SANS COSTUME

 

L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause  ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience  ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle  ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors  ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.

 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")