Allez les yeux invisibles vers le beau.

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11/02/2014

D'une convergence en une soif absolue...

D’UNE CONVERGENCE EN UNE SOIF ABSOLUE

 

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D’un corps qui épouserait un cœur sur le chemin de l’âme unifiée par l’esprit, de là une nouvelle conscience en chercherait son langage. Recherché dans l’inconscient le message essentiel qui pourrait être positif dans cette voix si claire et si envieuse. Si nous avions la possibilité ou du moins la forte capacité d’entendre cette voix lumineuse qui se distingue à travers notre cerveau, car là se trouve la pensée la plus élaborée venant de celui-ci (certains en connaissent le chant.) L’apothéose serait d’être en mesure de coïncider avec la nature propre d’une pensée négative avec son contraire, la seule force de ce combat serait que l’énergie que dégage le positif l’emmènerait à la raison unificatrice de l’esprit. Dès lors, la fusion organique et la rencontre des deux s’offriraient par un électrochoc pour galvaniser tout notre système encéphalique. Le résultat pulvériserait une communication interactive qui viendrait à embraser toutes les consciences du monde. D’une étincelle naîtrait ce fameux monde auquel je crois, car il existera de l’explosion d’une utopie enfouie dans toutes les inconsciences des êtres humains comme une bouffée de bonheur et d’amour qui nous parviendra par la joie des consciences retrouvées !

 

 (Texte inédit de Pôl Kraly)

 

17/12/2013

Textes pour grandir... (2)

 

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L’HOMME SANS COSTUME

 

L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause  ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience  ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle  ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors  ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.

 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")