Allez les yeux invisibles vers le beau.

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20/03/2015

En quête de sens... (bande annonce)


En quête de sens - Bande-annonce

22/10/2013

La Petite note de Franck... (58)

petite note,roy,réflexion,nouveau monde, nouvelle technologie,survie, intelligence, positiver,changement,altruismeDans mes interventions précédentes, je disais que l’avenir était dans les nouvelles technologies, mais il y a du danger à tout. Je m’explique : toutes les avancées technologiques sont faites (en principe) pour améliorer le sort de nous-mêmes, elles doivent être bonnes si elles sont maîtrisées, car elles peuvent dans des mains malsaines être destructives... Il ne faut pas que cela soit livré à une absurdité d’usage, l’évolution de ces choses ne peuvent être que révolutionnaire, la bombe nucléaire était aussi une découverte, sachons être avant tout être intelligents dans l’usage de ces choses nouvelles. Sachons les adapter à notre sens de l’altruisme dans un esprit d’éthique par rapport à ce que nous devons faire de ces avancées scientifiques pour que nous soyons à la hauteur de ce Nouveau Monde qui se prépare, un monde basé sur le bon sens par rapport à la vie à venir, qui de toute façon sera différente de celle qui meurt sous nos yeux. Préparons-nous vers ce changement salutaire qui se fera, j’essaye de le positiver dans ma tête et cela avec d’autres. Ce changement se fera naturellement et en bonne intelligence devant les difficultés rencontrées par ce monde là, lorsque l’on sera face et devant l’évidence d’un Nouveau Monde à créer, il faudra bien se résoudre à trouver une autre alternative. Soyons nombreux à le formuler dans nos têtes, là est notre survie, notre bonheur, notre nouvelle vie. 

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle ... Note de Franck)


à suivre...

06/10/2012

Le Printemps des Poètes...

Chers Amis,


Le Printemps des Poètes est dans une situation critique : après 10 années de réductions constantes des moyens alloués à l'association, le ministère de l'éducation nationale nous a annoncé au cours de l'été la coupe imprévue de 40% de la subvention 2012. (60.000 € de moins).

Cela entraîne un défaut de trésorerie tel qu'il implique la disparition à brève échéance de la structure, et consécutivement de la manifestation.

Le ministère de la culture, qui maintient son soutien, ne peut compenser ce retrait ; la seule solution est pour nous de récupérer auprès du ministère de l'éducation nationale la somme qui manque avant la fin 2012.

Vous pouvez nous aider en écrivant personnellement au Ministre de l'éducation nationale, pour lui dire votre attachement au Printemps des Poètes et témoigner de l'importance de son action auprès des acteurs éducatifs et culturels.

Ce peut être une lettre brève, mais vous comprendrez que plus le ministre recevra rapidement de nombreux courriers l'alertant sur la gravité de la situation et l'inquiétude qu'elle suscite, plus nous aurons de chances d'obtenir gain de cause.

Adressez votre courrier à : Monsieur Vincent Peillon
                                     Ministre de l'éducation nationale
                                     110 rue de Grenelle
                                     75357 Paris SP 07

Merci par avance pour votre soutien, je vous tiendrai bien sûr informés des suites.
Bien amicalement à tous,


Jean-Pierre Siméon, directeur artistique

et l'équipe du Printemps des Poètes :
Maryse Pierson, Céline Hémon, Célia Galice et Emmanuelle Leroyer


ps : Nous préparons néanmoins la manifestation 2013 : "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent" Victor Hugo

 
 
N'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations :
01 53 800 800
Le Printemps des Poètes
6 rue du Tage
75013 Paris
CENTRE NATIONAL DE RESSOURCES POUR LA POÉSIE

10/02/2012

La survie de la conscience après la mort... (suite & fin)

09/02/2012

La survie de la conscience après la mort... (1)

07/09/2011

La route...

Quand il se réveillait dans les bois dans l'obscurité et le froid de la nuit il tendait la main pour toucher l'enfant qui dormait à son côté. Les nuits obscures au-delà de l'obscur et les jours chaque jour plus gris que celui d'avant. Comme l'assaut d'on ne sait quel glaucome froid assombrissant le monde sous sa taie. A chaque précieuse respiration sa main se soulevait et retombait doucement. Il repoussa la bâche en plastique et se souleva dans les vêtements et les couvertures empuantis et regarda vers l'est en quête d'une lumière mais il n'y en avait pas. Dans le rêve dont il venait de s'éveiller il errait dans une caverne où l'enfant le guidait par la main. La lueur de leur lanterne miroitait sur les parois de calcite mouillées. Ils étaient là tous deux pareils aux vagabonds de la fable, engloutis et perdus dans les entrailles d'une bête de granit. De profondes cannelures de pierre où l'eau tombait goutte à goutte et chantait. Marquant dans le silence les minutes de la terre et ses heures et ses jours et les années sans s'interrompre jamais. Jusqu'à ce qu'ils arrivent dans une vaste salle de pierre où il y avait un lac noir et antique. Et sur la rive d'en face une créature qui levait sa gueule ruisselante au-dessus de la vasque de travertin et regardait fixement dans la lumière avec des yeux morts et aveugles comme des oeufs d'araignée.

 

(Extrait de "La Route" de Cormac MC Carthy - Ed. de "L'Olivier")

 

L'apocalyspe a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d'une humanité retournée à la barbarie. Cormac MC Carthy raconte leur odyssée dans ce récit dépouillé à l'extrème.

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