26/08/2016
La Petite Note de Franck... (79)
Et si les nouvelles technologies du futur et les nanotechnologies se devaient d’être un bonheur assuré et sain. Elles le sauront si elles sont comprises et maîtrisées, pour nous s’offrira alors une réelle chance de changer agréablement notre quotidien ! La force résultera de notre conviction pour qu’elles soient innovantes et progressives et leur but sera de nous servir dans tous les usages usuels de nos besoins journaliers. Le transhumanisme est pour moi un sujet à se méfier, le besoin de transformer l’homme en objet connecté à l’intérieur du corps de l’humain me paraît dangereux, sauf pour des aides pour handicapés de la vie. La médecine peut rendre la vie de ceux-ci plus sereine et durable. Mais je voudrais vous parler de « La Beauté de l’humain » sur lui-même ; par une profonde connaissance de soi et de son corps ; de pouvoir entrer en connexion avec la voix de sa conscience par la méditation et pour moi le point fort de l’homme pour son devenir.
J’explique pêle-mêle : de comprendre son environnement proche, soit par la nature et par la capacité d’entrer en relation avec tout ce qui l’entoure, la connaissance de l’autre par l’altruisme, l’utilisation de son intelligence dans l’intérêt de chacun, savoir gérer à bon escient son quotidien. De là naîtra la compréhension usuelle de chaque objet dans son utilité la plus pratique, apprendre à aimer la chose qu’on entreprend, d’aimer la terre nourricière et en comprendre son intelligence et la façon dont celle-ci se transforme, faire du travail un plaisir et non une servitude, se tolérer… Et un point important à mes yeux savoir dialoguer en argumentant de façon constructive.
« La beauté de l’humain » se fabrique en aimant son prochain, en comprenant le monde, les cultures, les religions, les différences, les couleurs de peau, les faiblesses de chacun de nous, et cela s’apprend par une profonde connaissance de soi et par la méditation, nécessaire par ces temps incertains. Mais je crois que le plus essentiel est de prendre du temps pour soi pour penser au monde et de concevoir une profonde étude sur son attitude dans sa vie !
(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)
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11/07/2016
Sexe et spiritualité...
Sexe et Spiritualité (première partie)
Par Frank Hatem
Je me souviendrai toujours de ce reportage sur les ours grizzly en Alaska. Pendant toute une saison le comportement de ces ours a été suivi et filmé, et à un moment, on voit qu’une femelle grizzly habituée du coin se fait monter par un jeune mâle de passage tandis que le caïd dominant du secteur auquel elle était promise, et qui lui faisait des avances sans succès depuis des mois, dormait.
Puis le caïd se réveille, voit le manège, et accourt. Le jeune préfère ne pas demander son reste, mais ce qui est incroyable, c’est qu’alors la femelle fait mine de le chasser en le poursuivant, comme si elle n’était pas consentante ! Façon de dire à son futur mari « ne crains rien de ce paltoquet ». La comédie n’est pas qu’humaine.
L’amour physique est vraiment l’école de la solitude. Vous ne voyez pas le rapport ? Cherchez encore. Les animaux n’ont pas un sentiment de solitude encore très développé, en tout cas pas autant que les humains. Ils mentent moins, aussi. Car le mensonge aussi est une école de la solitude. Mais ce sentiment de solitude en développement est là quand même bien entendu. Au sortir du monde végétal, où la solitude est plus que rare, mais déjà un peu plus que chez les minéraux, la prise de conscience de la discontinuité du monde se développe beaucoup, et singulièrement du fait du mode de reproduction qui est en train de changer.
Les cailloux n’ont pas ce problème. Chez les végétaux au contraire, on est obligé de faire appel aux insectes pour faire le travail à votre place, et on promène ses pollens au gré du vent. Comme les végétaux ne peuvent pas se déplacer, attachés à leurs racines, leur sentiment d’unité avec le reste de l’environnement est très grand. Il n’y a pas encore vraiment de discontinuité. On est tous très reliés.
Pourtant les planètes et les particules atomiques (c’est la même chose), elles, n’expérimentent-elles pas déjà depuis longtemps la discontinuité ? Elles sont semble-t-il très éloignées les unes des autres, mais en apparence seulement. Vous pouvez trouver un peu abusif cette façon de se mettre dans la peau d’autres Règnes, et penser que c’est un délire mental, mais pas du tout, au contraire. Rien ne vous empêche de vivre à la place de vos particules ou d’autres choses, car tout est dans votre esprit, vous le savez maintenant. Et il n’y a rien dans aucun élément de l’univers qui ne soit, au moins en germe, dans tous les autres. Et il ne peut y avoir aucune différence de nature entre une partie de l’univers et une autre.
Petit à petit les physiciens quantiques arrivent eux aussi à ces mêmes conclusions. Mais hélas toujours simplement avec le mental et les mathématiques, ce qui est insuffisant pour en tirer les bonnes conséquences. Avec le mental on ne peut se mettre à la place de l’autre car il est fait pour séparer et analyser. Seul le cœur le permet.
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06/07/2016
Chemin de Conscience...
L’amour: un véritable chemin de conscience
« Aime ton prochain comme toi-même » a déclaré Jésus- Christ. Le Christ est le grand messager de l’amour tout comme le Bouddha fut celui de la sagesse. Celui qui se tourne vers sa lumière dans l’élan pur de son cœur trouvera toujours le réconfort nécessaire pour apaiser les forces tourmentées en lui. Mais le message du Christ va au- delà du réconfort et de la bénédiction individuelle. Il vise à libérer tous les êtres à travers une force qui émane de la Source Originelle.
L’être humain développe généralement l’amour pour ses proches, les êtres et les choses qu’il connaît et apprécie. Par la loi des affinités, il aime aussi le groupe auquel il s’identifie comme son pays ou sa religion. Pour cela comme pour le reste, c’est généralement un courant quasi inconscient de la vie qui va faire que le médecin aimera son travail, la mère de famille aimera ses enfants et l’écologiste aimera la Terre. Tous ces comportements, même s’ils sont des manifestations de l’amour, ne dépassent pas la sphère de la personnalité. Car par ailleurs l’homme continue de se battre, de rejeter et de concentrer son énergie créatrice à des fi ns égoïstes. Il apparaît ainsi une force de séparation qui est très présente dans l’oeil humain et dans la compréhension qu’il a de l’univers et de son environnement. Nous voyons donc que l’homme n’applique que très partiellement la parole du Christ. Pourtant l’amour est la force qui maintient toutes choses unies, il est le liant de l’univers. Il est ce qui, sur le chemin de l’évolution, nous permet d’harmoniser notre être et d’avancer en conscience vers la Source. Il est donc essentiel de comprendre ce que c’est et que tous les êtres portent en eux le potentiel d’expression de ses plus subtiles manifestations.
Source : magazine http://www.magazine-essentiel.com/
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02/04/2016
L'oeil et Darwin...
L'œil : la preuve suprême de la création divine...
Les plus audacieux déguiseront certains faits en preuves, qu'ils se délecterons à qualifier d' "irréfutables preuves" du génie divin. Leur favorite est la perfection de l'œil humain. C'est un cas particulièrement intéressant parce qu'en plus de s'appuyer sur cette perfection, ils ont eu la chance de trouver dans l'Origine une phrase qu'ils ont réussi à interpréter dans leur sens.
L'oeil, la soi-disante preuve des créationnistesEn effet, Darwin écrit : « Il semble absurde au possible, je le reconnais, de supposer que la sélection naturelle ait pu former l'œil avec toutes [ces] inimitables dispositions [...] ». En lisant au premier degré, le créationniste vous fera passer ceci comme un aveu de Darwin lui-même : voyez que, face à la perfection de l'organe, Darwin reconnaît là l'œuvre du créateur… la sélection n'a pas pu forger un organe aussi parfait. Seulement cette phrase est intégrée dans un chapitre, ce dernier étant lui même intégré à un livre qu'il faut lire. Et une lecture objective nous permet de comprendre ce que Darwin voulait dire, à savoir qu'il était absurde de croire que l'évolution a fait apparaître l'œil tel qu'on le connaît, avec ses facultés d'adaptation à l'intensité lumineuse ou à la distance, et que l'œil a connu bien des états avant d'arriver à celui qu'on connaît.
A ce stade de l'explication, le détracteur avance qu'un œil à moitié formé ne peut pas fonctionner. Nous sommes bien d'accord sur ce fait. Il faut savoir que l’œil n'a pas la même utilité chez tous les porteurs de l'organe. Certains animaux ne perçoivent pas la couleur, d'autres ne focalisent pas sur les sources trop éloignées, d'autres ne perçoivent que l'intensité lumineuse. Qu'est ce qu'une taupe ou un lézard des cavernes ferait d'une vue de rapace ? Le rhinocéros noir se fie beaucoup plus à son ouïe et à son odorat qu'à sa vue. Les requins sont quasiment myopes (presque aveugle en ce qui concerne les espèces benthiques), et en général perçoivent plutôt les mouvements que l'image en détail. Cette vue médiocre ne les empêche pourtant pas d'être des prédateurs efficaces…
Depuis la cellule photosensible, jusqu'à l’œil humain (ou celui du chat qui est capable de voir dans l'obscurité, ou celui du rapace qui focalise à une formidable distance), chaque étape de transition a pu à un moment être profitable à une espèce, jusqu'à ce que cette transition stagne à un état suffisant par rapport à l'environnement, ou continue à se modifier si la concurrence n'a cessé de jouer sur, entre autres, la vue.
source : "Hominidés"
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22/03/2016
L'humilité...
L’humilité
Le terme humilité est à rapprocher du mot humus, qui en est la source étymologique, et qui a donné par ailleurs le terme homme. Cela semble signifier que l’humilité consiste, pour l’homme, à se rappeler qu’il est poussière (ou littéralement : « fait de terre », c’est-à-dire de la matière la plus commune). Cela semble indiquer aussi que l’humilité est une attitude proprement humaine : et de fait, si l’homme n’est pas le seul être dont on puisse dire qu’il fut tiré du limon, il paraît bien être le seul à le savoir.
Mais du coup, il est aussi le seul à pouvoir l’oublier — et pire : à vouloir l’oublier. Au-delà de l’image du matériau (terre, humus), le terme d’humilité renvoie en effet à l’idée d’une provenance étrangère, d’une impuissance à être sa propre origine ; il paraît impliquer aussi, du même coup, l’idée d’une incapacité à s’accomplir par ses seules forces ; en un mot, il s’agirait d’avouer qu’il n’est rien en nous, hormis peut-être nos fautes et nos manquements, que nous puissions nous attribuer à nous-même, à nous seul. Or cette double impuissance n’est pas facile à admettre ; elle semble, à certains, incompatible avec la dignité de l’être humain, et sa reconnaissance constituerait à leurs yeux une intolérable humiliation.
Mais justement, est-ce une même chose d’être humble et d’être humilié ? Etre humble, est-ce se rabaisser, se manquer de respect à soi-même ? Cela doit-il conduire, en particulier, à accepter que les autres nous traitent comme « moins que rien » ?
Humilier quelqu’un consiste à nier sa dignité, ou du moins à manifester uniquement ses pauvretés et ses déficiences ; concrètement, cela revient souvent à le réduire à son animalité, ou à sa dimension purement physique : rien de plus humiliant pour un homme, par exemple, que de voir l’accomplissement de ses fonctions organiques privé du secret ou de l’habillage qui l’humanisent. Mais refuser cette humiliation, serait-ce manquer d’humilité ? Et inversement, faudrait-il refuser d’être humble pour échapper à l’humiliation ? Non pas, si humilité et affirmation de sa dignité sont, en vérité, compatibles, voire indissociables. Telle est du moins la position que l’on s’efforce ici de préciser.
D’une part, l’humilité ne consiste pas à se croire dépourvu de dignité, mais à se savoir incapable d’en être soi-même la source, et à se reconnaître impuissant à exister « à la hauteur » de celle-ci. En tant qu’être humain, je suis bien plus qu’un peu de boue (ou d’humus), contrairement à ce que suggère l’étymologie prise au pied de la lettre. Mais ce que je suis de plus, je ne me le suis pas donné à moi-même ; en outre, par mon comportement envers moi-même comme envers autrui, sans doute le trahis-je bien plus souvent que je ne l’honore. Ainsi, autant mon refus de ma dignité ne serait pas une vraie humilité (mais quelque chose qui pourrait être une profonde ingratitude), autant l’humilité véritable se manifeste par l’acceptation du fait que l’aide d’autrui m’est absolument indispensable. L’aide dont j’ai eu besoin pour être, tout simplement, en ce sens que je dois ma venue à l’être, et mon statut d’être pourvu de dignité, à autre chose ou à quelqu’un d’autre que moi-même. L’aide dont j’ai besoin, ensuite, pour tenter de ne pas être trop indigne de ma dignité : car précisément, celle-ci a quelque chose d’infini et d’absolu, qui fait de son plein respect une tâche au-dessus de mes forces — voire des forces humaines en général. Ainsi se préciserait la conciliation évoquée plus haut : être humble, ce n’est pas se considérer comme sans valeur, c’est au contraire voir sa propre grandeur et se sentir petit devant elle.
D’autre part et par conséquent, l’humilité ne saurait conduire à se laisser traiter comme un être sans valeur, et à accepter toutes les humiliations. Nulle incompatibilité entre être humble et exiger le respect : car ce dont j’exige le respect, à savoir ma dignité, c’est aussi ce dont je reconnais ne pouvoir être l’auteur. En ce sens, je demeure effacé et discret (« humble ») lors même que je mets en avant ma dignité d’être humain.
Concluons : il semble particulièrement important de ne pas se tromper sur le vrai sens de l’humilité, car toute erreur à son sujet irait forcément de pair avec une méprise sur le vrai sens de la dignité, et donc sur la juste attitude à avoir envers soi-même comme envers autrui.
source : G.R.
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15/12/2015
La lettre des colibris...
L’année 2015 touche à sa fin. Elle aura été marquée par beaucoup de violence et la montée des extrêmes sous de nombreuses formes. En parallèle de cette situation qui inonde les médias, de véritables solutions continuent pourtant de s’expérimenter au sein de la société civile. Nous sommes de plus en plus nombreux à aspirer à une société bienveillante et respectueuse de l’Humain et de la Nature. C’est le choix qui s’offre à nous pour l’avenir : l'extrémisme comme exaltation des peurs et du sentiment d’impuissance, ou la redécouverte de notre vrai pouvoir en construisant une société plus écologique et humaine.
Quel grand défi devons-nous continuer à relever tous ensemble ! Quel défi de proposer autre chose que l’extrémisme comme porte de sortie du système agonisant !
Ce défi, c’est par exemple la diffusion du film Demain qui espère montrer, en dehors des cercles de convaincus, la pertinence des solutions qui existent déjà. Chacun d’entre nous peut le partager avec ses proches.
Ce défi, c’est aussi le chantier de reconstruire concrètement des modes de vie sur des valeurs différentes grâce au projet Oasis. Pour cela, nous soutenons concrètement les porteurs de projets vers un vivre-ensemble écologique, solidaire et convivial, comme Ecoravie et Changement de Cap présentés dans cette lettre.
En plein milieu de la COP21, nous réaffirmons combien faire notre part, chacun, là où nous sommes, est l’unique solution, la seule porte de sortie efficace face aux impasses de notre société. Colibris continue de grandir, avec plein de belles réussites concrètes que nous avons besoin de renforcer grâce à vous, plus que jamais. Ensemble, construisons l’alternative !
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11/11/2015
Le Plexus Solaire... (1)
Le plexus solaire : son rôle n'est pas que matériel
Le corps humain possède de nombreux plexus, ou ganglions nerveux, mais de tous, le seul qui soit connu du grand public est le plexus solaire. Alors que les plexus se limitent à agir sur les organes, le plexus solaire est le seul auquel la croyance populaire attribue un rôle au niveau des émotions et de la vie psychique. Est-il erroné de penser que son rôle dépasse le plan de la matière ou cette manière de voir correspond-elle à la réalité ?
Un rôle qui dépasse la matière
Les plexus sont des carrefours de nerfs qui se rejoignent en une sorte de petite centrale où ils communiquent entre eux, alors que normalement chaque nerf est séparé des autres et travaille individuellement. En tant que centrale, les nerfs des plexus coopèrent pour régler des fonctions organiques précises. Les plexus appartiennent par conséquent au système nerveux neuro-végétatif qui est responsable du fonctionnement des organes et non au système nerveux central, responsable des mouvements et de la transmission des informations provenant des cinq sens.
Le plexus solaire, qui se situe au niveau du creux de l’estomac, devrait donc uniquement avoir une action sur les organes qu’il innerve, à savoir le foie, le pancréas, les reins, l’estomac et les intestins. Or, on dit de certaines personnes qui ont de la peine à respirer librement à cause de tensions nerveuses qu’elles ont leur plexus solaire crispé ou bloqué, alors que la respiration ne relève pas des fonctions du plexus solaire ! Dans le même ordre d’idées, des massages du plexus solaire et l’application de cataplasmes sur la région où il se trouve engendrent une détente profonde qui s’étend à l’organisme dans son entier, ce qui dépasse à nouveau de loin ce que permettraient les fonctions physiologiques qui sont les siennes..
Le plexus solaire semble donc effectivement avoir un rôle plus étendu que celui qu’on lui attribue habituellement. Un indice supplémentaire qui va dans ce sens nous est donné par sa constitution anatomique. Normalement, les centres nerveux où s’élaborent des «décisions», le cerveau par exemple, sont gris en surface (la matière grise du cerveau) et blanc à l’intérieur. Cela provient de ce que les corps cellulaires où s’élaborent les décisions et qui sont de couleur grise, sont disposés à l’extérieur et les filets nerveux blancs (les axones et dendrites) responsables de la réception et de la transmission de messages, à l’intérieur.
Dans le plexus solaire, la situation est à l’opposé de celle du cerveau : la substance blanche est à l’extérieur et la substance grise à l’intérieur. Cette organisation particulière des cellules du plexus solaire fait de lui un organe plus orienté vers la réception et la transmission que vers l’élaboration.
Ce que transmet le plexus solaire est connu : ce sont des informations en provenance des centres directeurs du système nerveux végétatif. Mais pour remplir ce rôle, il n’est pas nécessaire que sa substance blanche soit placée en surface. Si elle l’est, c’est que chez lui la fonction de réception est très importante. Mais de qui reçoit-il des impulsions, puisque n’appartenant pas au système nerveux central, il ne reçoit rien des cinq sens ?
à suivre...
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