Allez les yeux invisibles vers le beau.

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31/10/2016

La Sincérité...

amour,sincère,preuve,tendresse,amitiés,véritable,passion,vie,tolérance,citations,vertus,coeur,esprit,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreSINCÉRITÉ (sin-sé-ri-té) s. f.


1° Qualité de l'homme sincère.
La sincérité est une ouverture de cœur qui nous montre tels que nous sommes ; c'est un amour de la vérité, une répugnance à se déguiser, un désir de se dédommager de ses défauts et de les diminuer même par le mérite de les avouer [LA ROCHEFOUC., Réfl. div. p. 112]
Je trouve cet endroit un des plus touchants de la doctrine chrétienne, parce que le Fils de Dieu y établit la plus aimable de toutes les vertus, qui est la sincérité [BOSSUET, Médit. sur les Évang. Sermon sur la montagne, 16e jour.]
M. de Montausier, montrant les vertus de l'ancienne Rome aux prélats de la nouvelle, fit admirer à cette nation une judicieuse sincérité qui valait mieux que ses subtilités et ses adresses [FLÉCH., Duc de Mont.]
Je sais que, du mensonge implacable ennemie, Josabet livrerait même sa propre vie, S'il fallait que sa vie à sa sincérité Coûtât le moindre mot contre la vérité [RAC., Athal. III, 4]
La treille de sincérité, vigne imaginaire dont le vin faisait involontairement parler avec sincérité ceux qui en buvaient. Il se dit aussi des choses.
La modestie du visage de Marie-Thérèse répondait de la sincérité et de la bonté de son cœur [FLÉCH., Mar.-Thér.]
Dans ses vers pleins de sincérité [BOILEAU, Ép. I]
2° Au pl. Actes, paroles de sincérité.
Les flatteurs plaisent au commencement ; mais ils dégoûtent quand ils flattent toujours, et qu'ils ne mêlent pas leurs louanges de quelques sincérités moins favorables [BUSSY, dans SÉV. t. V, p. 427, éd. RÉGNIER]
Voici la suite de mes sincérités.... il y a quatre jours qu'il prit une fantaisie à ma jambe de s'enfler.... [SÉV., 15 avr. 1685]
Tous ceux de l'Académie qui pouvaient se plaindre de quelques-unes de ces sincérités dont nous avons parlé, allèrent le voir pour.... [FONTEN., Méry.]

24/10/2016

Pensée du Jour...

hugo,amour,vivre,songer,croire,coeur,rayon,gloire,bonheur,pensée,positive,écrivain,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreL’amour fait songer, vivre et croire
Il a pour réchauffer le coeur
Un rayon de plus que la gloire
Et ce rayon, c’est le bonheur.

 

Victor Hugo

02/09/2016

Sagesse...(3)

L’importance de l’Amour dans le Bouddhisme


Unknown.jpegLe Bouddhisme est une religion pacifique. En effet, selon les enseignements de Bouddha, l’amour et le Bouddhisme sont indissociables. Amour de son prochain, amour de toute vie, amour de la sagesse… Elle peut prendre diverses formes.
Bouddhisme et Amour

 

La place de l’amour dans le Bouddhisme


Le Bouddhisme est une religion qui cherche la libération de l’âme de chaque personne grâce à son éveil, l’empêchant ainsi de vivre et revivre dans la souffrance. L’initiation au Bouddhisme implique la connsaissance du principe du Karma et de la renaissance. Le Karma étant une relation de cause à effet, effectuer de bonnes actions dans la vie permet d’échapper au mauvais Karma. Mais une action ne peut être bonne que si elle est guidée par la compassion. De ce fait, la première forme d’amour dans le Bouddhisme est la compassion. Elle consiste à éviter de faire souffrir autrui. Elle pourrait même chercher à le guérir du mal.

L’amour à travers la bienveillance
La deuxième forme de l’amour est la bienveillance. La bienveillance vise à procurer du bonheur à autrui. Ces deux formes d’amour sont résumées et expliquées par cette citation de Bouddha :

« Que tous les êtres soient heureux ! Qu’ils soient en joie et en sûreté ! Toute chose qui est vivante, faible ou forte, longue, grande ou moyenne, courte ou petite, visible ou invisible, proche ou lointaine, née ou à naître, que tous ces êtres soient heureux ! Que nul ne déçoive un autre ni ne méprise aucun être si peu que ce soit ; que nul, par colère ou par haine, ne souhaite de mal à un autre. Ainsi qu’une mère au péril de sa vie surveille et protège son unique enfant, ainsi avec un esprit sans limites doit-on chérir toute chose vivante, aimer le monde en son entier, au-dessus, au-dessous et tout autour, sans limitation, avec une bonté bienveillante infinie. Étant debout ou marchant, assis ou couché, tant que l’on est éveillé, on doit cultiver cette pensée. Ceci est appelé la suprême manière de vivre. »

20/08/2016

Sagesse...(1)

images.jpegIrradiez la sagesse sur l’humanité.


TRANSMIS PAR JOELIAH LE 23 - SEPTEMBRE - 2013


La sagesse vous aide à lâcher prise vis à vis des agissements des autres. Lorsque la sagesse de la conscience est activée, alors vous trouvez votre propre liberté, car, vous comprenez qui vous êtes et ce que les autres sont : des étincelles divines en incorporation de matière.Vous êtes tous issus du grand Soleil cosmique de Vie.
11279366_sLorsque vous comprenez cela, vous vous apercevez que tous les autres, sont des étincelles divines en action et que certains ont bloqué, créé des nuages autour d’eux, d’ombre, de peurs, de colères, d’oubli de leur vraie nature et qu’ils réagissent en fonction de ce qu’ils sont sur ce moment-là.
Alors, envoyez un rayon jaune d’illumination sur le monde, afin que la sagesse pénètre à travers vous et tous les hommes.
Envoyez ce rayon jaune sur le monde politique, les chefs d’états et les dirigeants, afin qu’ils révèlent en eux la sagesse qui est toujours emprunte de respect, d’amour et de compréhension.
Ne critiquez pas, ne condamnez pas ceux qui œuvrent, qui ne sont pas dans l’amour ou qui ne sont pas encore dans la paix ou dans la transparence du cœur. Ils font ce qu’ils peuvent et si, vous leurs envoyez des critiques ou une dévalorisation, alors vous accentuez leurs nuages et ils ne peuvent pas s’en sortir et de plus, vous augmentez le votre.
Et comme ce sont de grands dirigeants qui ont du pouvoir, alors vous n’œuvrez pas pour la libération de la Terre. Chaque fois que vous condamnez un dirigeant, que vous le critiquez, que vous en rajoutez, vous maintenez la vision de ces hommes et cette Terre en troisième dimension.
Œuvrez vraiment pour la lumière, envoyez de la lumière, irradiez la vertu de sagesse du rayon jaune, et aussi le rayon or, qui est jumelé, de l’amour christique, envoyez-le à tous les responsables, à l’humanité afin que cette lumière pénètre totalement et puisse se manifester.
Cette lumière sort de votre coeur, et ne peut le faire que si elle est activée en vous. Nul ne peut donner ce qu’il n’émet pas, ce qu’il n’aime pas.
Glorifiez tous les humains et envoyez beaucoup, beaucoup, beaucoup d’amour, tout en sachant, qui ils sont.
A ce moment là, vous devenez des vrais travailleurs d’amour, vous devenez des vrais travailleurs de la lumière.
Dans votre coeur, dans votre vie, dans votre famille, c’est la même chose. Commencez par vous emplir de cette sagesse afin de trouver l’illumination, la pureté, le respect et ensuite irradiez ces vertus à ceux qui sont autour de vous, afin qu’ils éveillent leur sagesse intérieure, qu’ils trouvent la lumière et lorsque la lumière est, alors l’amour suit – tout est parfait.
Pensez à être de bons modèles rayonnants.
Soyez honorés et remerciés pour tout votre travail de lumière.


Un EnSeigneur du deuxième rayon.

Canalisé par Joéliah.

 

03/06/2016

Poème du jour...

verlaine,poésie,poète,il pleut,coeur,ville,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreIl pleure dans mon coeur

 

Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?

Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !

Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.

C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !

 

Paul Verlaine

22/03/2016

L'humilité...

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Le terme humilité est à rapprocher du mot humus, qui en est la source étymologique, et qui a donné par ailleurs le terme homme. Cela semble signifier que l’humilité consiste, pour l’homme, à se rappeler qu’il est poussière (ou littéralement : « fait de terre », c’est-à-dire de la matière la plus commune). Cela semble indiquer aussi que l’humilité est une attitude proprement humaine : et de fait, si l’homme n’est pas le seul être dont on puisse dire qu’il fut tiré du limon, il paraît bien être le seul à le savoir.
Mais du coup, il est aussi le seul à pouvoir l’oublier — et pire : à vouloir l’oublier. Au-delà de l’image du matériau (terre, humus), le terme d’humilité renvoie en effet à l’idée d’une provenance étrangère, d’une impuissance à être sa propre origine ; il paraît impliquer aussi, du même coup, l’idée d’une incapacité à s’accomplir par ses seules forces ; en un mot, il s’agirait d’avouer qu’il n’est rien en nous, hormis peut-être nos fautes et nos manquements, que nous puissions nous attribuer à nous-même, à nous seul. Or cette double impuissance n’est pas facile à admettre ; elle semble, à certains, incompatible avec la dignité de l’être humain, et sa reconnaissance constituerait à leurs yeux une intolérable humiliation.
Mais justement, est-ce une même chose d’être humble et d’être humilié ? Etre humble, est-ce se rabaisser, se manquer de respect à soi-même ? Cela doit-il conduire, en particulier, à accepter que les autres nous traitent comme « moins que rien » ?
Humilier quelqu’un consiste à nier sa dignité, ou du moins à manifester uniquement ses pauvretés et ses déficiences ; concrètement, cela revient souvent à le réduire à son animalité, ou à sa dimension purement physique : rien de plus humiliant pour un homme, par exemple, que de voir l’accomplissement de ses fonctions organiques privé du secret ou de l’habillage qui l’humanisent. Mais refuser cette humiliation, serait-ce manquer d’humilité ? Et inversement, faudrait-il refuser d’être humble pour échapper à l’humiliation ? Non pas, si humilité et affirmation de sa dignité sont, en vérité, compatibles, voire indissociables. Telle est du moins la position que l’on s’efforce ici de préciser.
D’une part, l’humilité ne consiste pas à se croire dépourvu de dignité, mais à se savoir incapable d’en être soi-même la source, et à se reconnaître impuissant à exister « à la hauteur » de celle-ci. En tant qu’être humain, je suis bien plus qu’un peu de boue (ou d’humus), contrairement à ce que suggère l’étymologie prise au pied de la lettre. Mais ce que je suis de plus, je ne me le suis pas donné à moi-même ; en outre, par mon comportement envers moi-même comme envers autrui, sans doute le trahis-je bien plus souvent que je ne l’honore. Ainsi, autant mon refus de ma dignité ne serait pas une vraie humilité (mais quelque chose qui pourrait être une profonde ingratitude), autant l’humilité véritable se manifeste par l’acceptation du fait que l’aide d’autrui m’est absolument indispensable. L’aide dont j’ai eu besoin pour être, tout simplement, en ce sens que je dois ma venue à l’être, et mon statut d’être pourvu de dignité, à autre chose ou à quelqu’un d’autre que moi-même. L’aide dont j’ai besoin, ensuite, pour tenter de ne pas être trop indigne de ma dignité : car précisément, celle-ci a quelque chose d’infini et d’absolu, qui fait de son plein respect une tâche au-dessus de mes forces — voire des forces humaines en général. Ainsi se préciserait la conciliation évoquée plus haut : être humble, ce n’est pas se considérer comme sans valeur, c’est au contraire voir sa propre grandeur et se sentir petit devant elle.
D’autre part et par conséquent, l’humilité ne saurait conduire à se laisser traiter comme un être sans valeur, et à accepter toutes les humiliations. Nulle incompatibilité entre être humble et exiger le respect : car ce dont j’exige le respect, à savoir ma dignité, c’est aussi ce dont je reconnais ne pouvoir être l’auteur. En ce sens, je demeure effacé et discret (« humble ») lors même que je mets en avant ma dignité d’être humain.
Concluons : il semble particulièrement important de ne pas se tromper sur le vrai sens de l’humilité, car toute erreur à son sujet irait forcément de pair avec une méprise sur le vrai sens de la dignité, et donc sur la juste attitude à avoir envers soi-même comme envers autrui.

 

source : G.R.

11/03/2016

La Gratitude...

gratitude,cri,coeur,merci,bienveillance,expérience,partage,réflexion,comprendre,savoir,connaître Des exemples

Je suis reconnaissant à mon père du grand respect qu'il a toujours eu à mon égard. C'est en partie de lui que je tiens le courage de me respecter dont je fais preuve aujourd'hui.

Ces gens ont été d'une générosité inouïe à mon égard alors que rien ne les y obligeait. J'ai énormément de gratitude à leur égard et je voudrais leur rendre la pareille.

Qu'est-ce que la reconnaissance ?

Être reconnaissant c'est reconnaître que l'on est redevable à un tiers qui nous a procuré un bienfait. La reconnaissance est une opération de l'esprit: c'est une évaluation. Cette appréciation est toujours accompagnée d'une certaine dose de contentement.

La reconnaissance suscite parfois de l'affection. Le bienfait reçu de cette personne est si précieux à nos yeux qu'on aime cette personne de nous l'avoir procuré.

La reconnaissance implique toujours un mouvement pour souligner l'importance de ce qu'on a reçu. C'est une expérience qui génère de la générosité. Dans certains cas, on veut remercier celui qui nous a donné: "j'ai un grand respect pour mon père et j'aimerais lui faire des faveurs en reconnaissance de ce qu'il m'a apporté". Dans d'autres cas, on veut faire bénéficier d'autres de la chance qu'on a eue: "je me trouve privilégiée d'avoir eu la chance d'étudier et je désire donner aux jeunes des opportunités comparables à celles que j'ai connues".


Reconnaissance et gratitude

La gratitude est aussi une forme de reconnaissance à l'égard d'une personne vis-à-vis de laquelle on se sent obligé. Il y a dans la gratitude une impression d'obligation. L'exemple #2 illustre bien cette distinction d'avec la reconnaissance (exemple #1). Je considère comme normal que mon père se soit comporté comme un bon père, bien que je me trouve privilégié. Je ne suis pas "obligé" à son égard. Par contre, les personnes qui m'ont hébergée, elles, n'avaient aucune obligation de le faire avec tant de générosité. Avec elles j'ai l'impression d'être en dette.


À quoi sert la reconnaissance ?

L'idée de privilège

L'expérience de reconnaissance met en évidence un apport que l'on considère précieux. Elle implique toujours un tiers, qu'on tient pour responsable de cet apport. Elle peut susciter une gamme d'émotions.

Pour que l'expérience de reconnaissance soit complète, il faut l'exprimer à la personne concernée. Une telle expression, de manière ouverte et directe donne souvent une impression de plénitude. C'est une occasion de mettre en lumière des liens importants qu'on a gardés jusqu'ici plus ou moins dissimulés. Cela permet habituellement un rapprochement affectif entre les personnes concernées.

Par contre, la personne qui fait des faveurs sans jamais exprimer directement sa reconnaissance reste dans une impasse. Elle ne peut atteindre par ce moyen l'équilibre recherché. C'est ce qui explique la multiplication des tentatives et leur insuccès caractéristique.


Reconnaissance et regrets

Lorsqu'on ne s'est pas donné l'opportunité d'exprimer et de tenir compte suffisamment de sa reconnaissance on éprouve généralement du regret. On se sent en déséquilibre face à la personne dont on est tributaire. On regrette aussi parfois qu'il soit trop tard pour la lui manifester concrètement. On demeure donc avec l'impression d'une expérience incomplète. Il s'agit d'une expérience qui a été partagée dans une première partie, lorsqu'on a reçu. Mais elle ne l'est pas dans un deuxième temps, lorsqu'on réalise toute l'importance de ce qu'on a reçu. Dans le cas de la reconnaissance le besoin de montrer son appréciation n'est pas un devoir, mais bien un élan de l'intérieur.


L'expression de la gratitude

Il y a une certaine subtilité dans la différence entre la reconnaissance et la gratitude. Elle se manifeste aussi dans la nécessité d'expression ou de réaction. Ainsi, on a l'impulsion d'exprimer sa reconnaissance pour compléter cette expérience. Dans le cas de la gratitude, c'est différent: on a besoin de dédommager ou de compenser pour rétablir l'équilibre. C'est comme si dans le premier cas on se devait à soi-même d'être expressif alors que dans le cas de la gratitude on "doit quelque chose" pour avoir une impression d'équité.