Allez les yeux invisibles vers le beau.

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/08/2016

La Petite Note de Franck... (79)

Unknown.jpegEt si les nouvelles technologies du futur et les nanotechnologies se devaient d’être un bonheur assuré et sain. Elles le sauront si elles sont comprises et maîtrisées, pour nous s’offrira alors une réelle chance de changer agréablement notre quotidien! La force résultera de notre conviction pour qu’elles soient innovantes et progressives et leur but sera de nous servir dans tous les usages usuels de nos besoins journaliers. Le transhumanisme est pour moi un sujet à se méfier, le besoin de transformer l’homme en objet connecté à l’intérieur du corps de l’humain me paraît dangereux, sauf pour des aides pour handicapés de la vie. La médecine peut rendre la vie de ceux-ci plus sereine et durable. Mais je voudrais vous parler de « La Beauté de l’humain » sur lui-même;  par une profonde connaissance de soi et de son corps; de pouvoir entrer en connexion avec la voix de sa conscience par la méditation et pour moi le point fort de l’homme pour son devenir. 

J’explique pêle-mêle : de comprendre son environnement proche, soit par la nature et par la capacité d’entrer en relation avec tout ce qui l’entoure, la connaissance de l’autre par l’altruisme, l’utilisation de son intelligence dans l’intérêt de chacun, savoir gérer à bon escient son quotidien. De là naîtra la compréhension usuelle de chaque objet dans son utilité la plus pratique, apprendre à aimer la chose qu’on entreprend, d’aimer la terre nourricière et en comprendre son intelligence et la façon dont celle-ci se transforme, faire du travail un plaisir et non une servitude, se tolérer… Et un point important à mes yeux savoir dialoguer en argumentant de façon constructive.

« La beauté de l’humain » se fabrique en aimant son prochain, en comprenant le monde, les cultures, les religions, les différences, les couleurs de peau, les faiblesses de chacun de nous, et cela s’apprend par une profonde connaissance de soi et par la méditation, nécessaire par ces temps incertains. Mais je crois que le plus essentiel est de prendre du temps pour soi pour penser au monde et de concevoir une profonde étude sur son attitude dans sa vie!

 

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)

11/09/2012

Philosophie... La Gentillesse.

15/05/2012

Un Temps pour une Conscience... (5)

La vie dans notre conscience...

 

essai,conscience,réflexion,écrivain,roy,kraly,étude,comprendre,éveilleursQu’est-ce que la vie dans notre conscience ? C’est vivre en harmonie avec celle-ci, avec nous-mêmes. Nous sommes les fruits d’un arbre dont les branches vivent, tout ce qui vit autour de nous fusionne avec notre mental pour l’équilibre de notre propre personne. Entrons dans notre conscience... On y voit la raison accrochée à l’esprit, les organes de notre cerveau transmettre aux branches de notre corps tous les paramètres de nos vies. Dans notre cerveau s’activent les éléments moteurs de notre pensée qui entre en connexion avec l’univers par les ondes que nous dégageons. Car tout être vivant dégage des ondes positives ou négatives. Dans le monde actuel, cela est un réel combat entre elles (les ondes) pour l’harmonie de notre bien-être contre le mal incarné. Il y a chez certains hommes et femmes ceux qui ont le pouvoir de diffuser ces ondes positives pour que cette planète tienne en équilibre, contre les ondes négatives qui sont l’antidote et l’antipyrétique des forces du bien. Chez ces « éveilleurs » (voir chapitre précédent), ce combat se mène, souvent dans l’ombre, pour l’euphonie de la terre, pour son épanouissement, pour son évolution. La nature, dans son ensemble, vit en osmose avec nous-mêmes comme nous vivons en osmose avec elle-même (j’en parlerai dans le chapitre à venir). Suivre ce raisonnement donne à penser que l’arbre, lui aussi, pense qu’un simple écueil à son intégrité aurait des conséquences graves non seulement sur lui-même, mais sur les autres qu’il soit humain, animal ou bien végétal. L’intérêt ici est de vivre en accord avec les autres intelligences ; le genre humain ne se sert que de 10 % de son esprit, ce qui le perturbe fort sur l’activité globale de la planète et je dirais même sur le cosmos. Je crois qu’il y a une synergie fusionnelle de tout cela, qu’à travers, le cosmos passe des électrons organiques qui nous parviennent par les lois de la physique sous forme de molécules à nos sens et que celles-ci se répartissent dans notre organisme pour se libérer par des ondes. Ce qui est rassurant pour les années à venir c’est l’effet positif de la télépathie par l’émanation qu’elle exhale vers les êtres vivants, parler à un arbre ou un légume aussi bien par la parole que par la pensée est une avancée certaine ; il y a, en Afrique, des tribus qui le font. Mais la télépathie ira à l’essentiel par son propre jeu de diffusion, de la pensée à la pensée. Cela sera une pensée intelligente et bénéfique, je crois aux bienfaits de la télépathie cette empathie forcément communicative pour le bien de l’humanité. Ce siècle est à naître sous l’impulsion des « éveilleurs » qui font leur travail de sape, leur travail de raison. Faut-il voir là la naissance d’un Nouveau Monde, oui je le crois tant que les « ignares » n’attaqueront pas avant ce monde-là de leur bêtise, de leur peur, de petitesse d’esprit ? Sachons nous les « éveilleurs » éveiller les consciences, et la lumière jaillira et fera fleurir les cœurs.

 

Mais je veux vous raconter sous la forme d’un conte le lien qui unit la conscience et la vie, vous faire entrer dans un monde merveilleux. Métaphore du sublime et du beau pour le bien-être de nous-mêmes.

 

Ainsi commence l’histoire…


(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly à paraître en Mai 2012 - Ed. "Pays d'Herbes")

En exclusivité sur mon blog !

à suivre...

 

05/02/2011

Prospérité sans croissance.

51S8tnwOKmL._SL500_AA300_.jpgNos sociétés sont dominées par la croissance économique. Qu'elle soit effective ou que son absence inquiète, l'idée de croissance est l'alpha et l'oméga de l'univers économique. Et quand bien même l'accent serait mis sur ses conséquences négatives, notamment d'ordre environnemental, la prise en compte de ces dernières ne conduit généralement pas à la remise en cause de la croissance, mais passe par la recherche de constructions qui, dans une large mesure, font figure d'oxymore : « croissance verte », « green business », etc. 
Dans cet ouvrage au style alerte et précis, Tim Jackson s'attaque avec une efficacité remarquable à ce Dieu des temps modernes qu'est la croissance économique. 
Certes, par le passé les contempteurs n'ont pas manqué. Les Baudrillard, Illich, Gorz, ou, dans un registre assez différent, Georgescu-Roegen ont cherché, souvent avec conviction, à mettre en lumière les effets pervers de la croissance économique ainsi que les limites s'imposant à cette dernière. Cependant, la contribution de Tim Jackson n'est pas redondante vis-à-vis de ces écrits parfois anciens. Elle renouvelle, au contraire, très significativement l'argumentaire en lice. En s'appuyant, en effet, sur des statistiques récentes ou sur des apports analytiques de la vaste littérature traitant du développement durable, l'auteur établit une critique en règle de la croissance et de ses avatars de type « croissance verte ». Il tente alors de fonder une nouvelle économie écologique. 
Il est possible de repérer trois temps dans le développement de l'auteur : 
1) La prospérité n'est pas la croissance. Si la corrélation est relativement patente au départ, au-delà d'un certain niveau, l'accumulation de biens matériels n'implique plus une amélioration de certains indicateurs de prospérité (espérance de vie, mortalité infantile, participation à l'enseignement...) ni une augmentation du bonheur ressenti. 
2) Le « découplage » dont parlent beaucoup les économistes de l'environnement ne semble guère constituer un objectif atteignable. Le découplage est la possibilité de réduire les impacts environnementaux négatifs avec une croissance économique maintenue. En s'appuyant, sur un matériau statistique conséquent, Jackson montre que si le « découplage relatif » - à savoir la baisse de l'impact environnemental par unité produite - est souvent avéré, en revanche le « découplage absolu », autrement dit la baisse de l'impact total en situation de croissance ne se retrouve pas, sauf exception, dans la réalité. 
3) Dès lors, puisque la croissance économique ne paraît pas pouvoir s'obtenir sans dégradation de l'environnement, mais que de toute façon, la croissance n'est pas le corollaire de la prospérité, il s'agit de promouvoir une prospérité, ne passant pas par la croissance des biens matériels, et qui viserait à la fois la préservation de l'environnement et l'épanouissement des individus. C'est là l'objet de ce nouveau modèle intitulé « macroéconomie écologique » que propose Tim Jackson. 
Cette nouvelle macroéconomie, qui marque le troisième moment de la thèse, demeure assurément problématique. C'est bien sûr plus un projet à préciser et à mettre en aeuvre qu'un modèle que l'on pourrait comparer avec les schémas économiques dominants. L'auteur, d'ailleurs, le reconnaît aisément. S'il cherche à lui conférer une ossature keynésienne, pour autant, ses caractéristiques précises sont loin d'être stabilisées. Sur un mode quasi humoristique, il écrit : « Alors en quoi peut bien consister l'activité économiquement productive dans cette économie ? La réponse ne saute pas aux yeux. Certainement des 'services énergétiques' plutôt qu'un approvisionnement énergétique. À vendre de la mobilité plutôt que des voitures. À recycler, à réutiliser, à faire du leasing peut-être. À donner des leçons de yoga, sans doute, à couper les cheveux, à jardiner (...) » (p. 134) : des composantes qui n'ont rien de très originales, mais dont l'auteur recherche l'articulation sans vaeu de croissance économique nécessaire. Au contraire, Jackson insiste vivement sur le partage du travail : le bien-être de la population passe aussi par moins de travail pour certains et plus pour ceux qui n'en ont pas. Sans grande surprise, le livre met aussi l'accent sur le rôle essentiel des « investissements écologiques ». 
Une lacune importante de l'ouvrage me semble être l'absence de prise en considération des interactions entre économies au plan international. On ne voit pas très bien d'ailleurs si les préconisations de Jackson visent spécifiquement l'économie du Royaume Uni - ce que laisseraient supposer certains passages - ou concerneraient d'emblée l'économie-monde. Cette omission est vraiment dommageable car comment penser l'émergence d'une économie écologique dans un monde qui ne le serait pas ou comment penser l'instauration d'une économie écologique globale dès lors que certains « partenaires » ne semblent guère tentés par la philosophie sous-jacente (pensons aux Etats-Unis non signataires du Protocole de Kyoto ou les « émergents » avides d'expansion économique)? 
Il n'en reste pas moins que « Prospérité sans croissance », en s'attaquant efficacement au tabou de la croissance économique, constitue un livre important. Déjà, la version originale a pris une place significative dans les débats socioéconomiques du monde anglo-saxon. Il faut espérer que la version française obtiendra également l'attention qu'elle mérite

(Analyse du livre par un lecteur sur Amazon)

07:46 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, essai, tim, jackson, étude, économie

14/04/2010

Jean-Louis Etienne...


Jean-Louis Etienne en Sibe�rie

08:50 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sibérie, voyage, étude, co2