Allez les yeux invisibles vers le beau.

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06/07/2012

Un Temps pour une Conscience... (9)

La mort du corps charnel...

 

La mort du corps charnel intervient lors de la non-utilité de l’être dans l’instant, dans ses pensées et ses actes ; je m’explique… L’humain vient à disparaître lorsque celui-ci n’est plus en concordance avec ce monde, lorsque son âme a saisi toute la somme des expériences sur cette Terre dans ses capacités. Son esprit a alors amassé tous les vécus de ses vies antérieures et fera de lui un être en symbiose dans la future vie qui l’attend. Ainsi il rentre dans ce que j’appelle « L’état végétatif » — à voir dans le chapitre à suivre — qui est un état où son esprit végète dans les courants des pensées les plus diverses, elles se remplissent (ses pensées) de connaissances. La mort n’est ici que transitoire et se persuade qu’elle est le trait d’union (élément nécessaire et bref) ; car la mort existe, mais n’est que purement le lien vers une nouvelle vie. Je veux dire par là que pendant que nous sommes dans cette « mort », l’âme poursuit son chemin pour un état végétatif, lui aussi transitoire — je m’expliquerai dans le chapitre à suivre —. Le corps ; notre corps de cette vie présente se disloque et devient cendre et poussière. Le droit à vivre une nouvelle vie dans un autre corps se conçoit dans l’univers et le cosmos. Ce corps fait de particules et molécules interagit et fusionne avec les éléments réceptifs des vies précédentes. Notre future vie est déjà bien programmée, mais elle commence à notre naissance, elle saura être le fruit de ce que nous avons accompli en bien et mal dans les vies précédentes. Je parlerai — dans l’avant-dernier chapitre (vers l’accomplissement) de son rôle et de la force que ces vies nous apportent —. La renaissance dans un autre corps a pour le but de nous emplir d’une autre enveloppe corporelle, vêtue d’une âme nouvelle plus riche et plus saine. Je crois à ce que je vous dis, fruit de lectures sur le sujet, vision propre et personnelle. La vie étant le réservoir à cette conjugaison d’une nouvelle âme et d’un nouveau corps pour des pensées tout inédites à venir. Pensées de toute une vie qui viendront nourrir les autres pensées des vies antérieures. L’être n’aura plus qu’à suivre son propre destin qu’il agrémentera de lui-même, de ses expériences et problèmes que la vie lui mettra en chemin. Mais il s’en sortira toujours plus fort, même dans la difficulté. Ceux dont le chemin est plus facile avec moins d’embûches ne sont que les êtres qui dans les vies antérieures ont su franchir les obstacles. De toute façon, nous nous enrichissons de nos échecs et de nos capacités à nous mouvoir devant les obstacles, je crois fortement que les « heureux » d’une vie le méritent, car ils sont enrichis des autres vies. Nous ne sommes pas tous égaux en face de notre destin, ceux qui se persuadent du contraire ont tort, car nous façonnons chacun le destin de nos vies. L’univers est le complément, le refuge de nos âmes, dans ce lieu, elles s’alimentent, la couleur de leur enveloppe se recompose de nouvelles couleurs dont elles distillent un parfum nouveau qui s’échappe à travers le cosmos. C’est pour cela que chaque élément qui le constitue rentre en symbiose avec toutes les particules de ce vaste monde, et nous lie par ce que j’appelle l’esprit.


(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy alias Pôl Kraly - Vient de paraître aux Ed. "Pays d'Herbes" - 2012)

30/06/2012

Un Temps pour une Conscience... (8)

L'homme et la nature... (suite)

 

images.jpegL’eau procure le calme et la sérénité, elle incarne, à mes yeux, la joie de vivre. Dans son chant, on peut voir la lumière qui comme une goutte éclate sur la terre pour engendrer de l’existence. De la source naît l’espoir des jours paisibles ; le fruit de cette substance, c’est son savoir, elle a le pouvoir de nous en donner la valeur de l’or.

Il faut que les humanoïdes mettent à profit leurs sens, pour que les paroles de la nature agissent sur nous, pour qu’elle nous fasse comprendre son importance, son degré de résistance à l’épreuve. Elle en ressortira vainqueur, car sa volonté est aussi vraie que sa colère. Sincèrement, l’homme et la nature naissent et se lient avec une herbe, une branche, un insecte, un animal… L’équilibre d’une fleur tient à la verticalité d’une personne ; un arbre décède et c’est la mort simultanée d’un être vivant dans un coin de l’univers. Un papillon qui se pose sur une plante se traduit par un acte ou une conséquence pour le globe ! Si seulement nous pouvions mettre en harmonie nos intelligences mutuelles, je parle celle des créatures et de la nature confondue, il en ressortirait une jouissance orgasmique stellaire pour le bien des âmes. Cette terre, dont le sol se nourrit après notre mort, de nos cendres et de nos poussières, se fertilise pour capter la quintessence de toutes nos vies. Car les ondes qui émanent du terroir agissent positivement dans l’air, connaissons-les, elles épousent les espèces de l’univers. Nous sommes, inconsciemment, sous l’emprise de cet air invisible — parce que nous sommes aveugles —, mais nous le respirons quand même. La nature nous en donne le parfum.

 

(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy alias Pôl kraly à paraître prochainement aux Ed. "Pays d'Herbes".

En exclusivité sur mon blog !

à suivre...

12/06/2012

Un Temps pour une Conscience... (7)

L'homme et la nature...

 

images.jpegLa nature a autant sa place que nous sur cette planète, elle est le fruit, j’ose le penser, d’elle-même. Son intérêt, c’est sa différence avec l’Homo Sapiens, qui pour la nature est son avatar. Je veux dire par là que l’homme se réduit à sa propre intelligence, qu’il ne conçoit pas de déchiffrer la nature qui est plus complexe et plus savante que lui. Elle s’administre par elle, et ce que l’hominidé lui vole, la nature le lui reprendra, car elle a surtout interprété ce rejeton, et celui-ci n’avait pas d’autre but que de faire obstacle à son intégrité et aux ondes rationnelles qu’elle dégage. Ces ondes négatives, que le simple mortel, à forte dose, injecte. En définitive, elles se retourneront contre lui. La nature a son langage, sa grammaire, ses pouvoirs se décèlent dans sa compréhension ; elle a une attitude noble et sincère, que l’être humain ne perçoit pas, mais il faut qu’il le sache. Il y a « les éveilleurs », qui eux libèrent des lumières positives ce qui équilibre cette planète (mais pour combien de temps), la destruction d’arbres, de végétaux fait fuir la faune et la flore ; la biodiversité est plus que menacée, sa stabilité précaire ; l’espèce y perdra sa vie si elle n’ouvre pas les yeux.

Il serait important d’exister en réelle complicité avec la nature, et qu’elle nous le renvoie par sa joie et sa générosité. Elle ferait de nous des êtres accomplis, et en symbiose avec ces entités qui nous entourent donc en adéquation avec ce monde. Nous avons là la capacité d’atteindre un degré de bonheur pur auprès de ce qu’auparavant nous aurions pu vivre. Apprendre à réfléchir sur les substances que celle-ci nous donne pourrait nous ouvrir des portes.

Des connaissances pour notre avenir, l’origine des composants des végétaux pour une utilisation de bienfaits médicinaux ou biologiques est une des raisons pour en savoir plus sur nous-mêmes. Le feuillu fait de lui un monument. Sa stature en fait sa respectabilité ; il est le chef, digne héritier de ce que la nature nous offre, je lui attribue des pouvoirs suprêmes encore aujourd’hui, il a un rôle sur notre mental. La disparition de cet ancêtre ne ferait qu’accroître nos malheurs, un arbre dans un champ et la vie autour se crée. Il nous faut préserver ce résineux ; sommes-nous capables, aussi, d’être à l'écoute des végétaux, des animaux, pour notre devenir ?

 

(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly à paraître prochainement aux Ed. "Pays d'Herbes")

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à suivre...

02/06/2012

Un Temps pour une Conscience... (6)

La vie dans notre conscience (suite)...

 

72042165.jpgDans cette immense forêt vivait un petit-berger musicien à la recherche de sa cithare. Il se prénommait Élie, on l’appelait aussi le troubadour des cœurs. Élie vivait dans cette forêt depuis toujours, il était né en même temps que celle-ci, sa force était qu’il vivait en harmonie avec elle et avait su grandir en elle. Toujours joyeux et souriant, il était sans états d’âme et allait avec le vent et ses moutons à travers les prairies pour chercher son instrument bienheureux. Son humeur était constamment gaie, ses pas allégés — il sautillait en marchant avec une brindille à la bouche —, sûr de retrouver un jour son instrument chéri. Les oiseaux autour de lui chantonnaient des chants mélodieux, les arbres le couvraient de leurs bonnes intentions, les animaux se mêlaient à sa marche. Tout vivait autour de lui, même le soleil le caressait de ses rayons tendres, la vie n’était pas un poids, mais au contraire un soulagement. Il était le seul être humain vivant sur la terre, et se contentait de cela. Sachant qu’un jour, un autre être naîtrait plus en phase avec le monde, et qu’une étincelle émergerait de sa personne pour rejoindre ce grand arbre ? Il en aimait la grandeur et de son petit corps, il se métamorphoserait en une feuille magique. À la nuit tombée, il vint dormir au pied du grand arbre et quand il s’éveilla la forêt s’illumina, c’était le jour et la nuit, il était lui-même. Le chant des oiseaux le transportait lui, le berger, vers un chêne centenaire au pied de celui-ci, sa cithare chérie dans l’herbe reposait, il la prit et commença à jouer le premier air de la journée. C’était un musicien dans l’âme, il fit frissonner tous les arbres de la forêt, les oiseaux gazouillaient, les animaux tous, autour de lui, l’écoutaient dans un silence religieux. Élie reçut en échange à travers les pores de sa peau toutes les sensations du monde, des ailes lui poussèrent au-dessus de ses épaules et il s’envola, tout en jouant, vers le ciel.


(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly à paraître prochainement aux Ed. "Pays d'herbes")

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à suivre...

15/05/2012

Un Temps pour une Conscience... (5)

La vie dans notre conscience...

 

essai,conscience,réflexion,écrivain,roy,kraly,étude,comprendre,éveilleursQu’est-ce que la vie dans notre conscience ? C’est vivre en harmonie avec celle-ci, avec nous-mêmes. Nous sommes les fruits d’un arbre dont les branches vivent, tout ce qui vit autour de nous fusionne avec notre mental pour l’équilibre de notre propre personne. Entrons dans notre conscience... On y voit la raison accrochée à l’esprit, les organes de notre cerveau transmettre aux branches de notre corps tous les paramètres de nos vies. Dans notre cerveau s’activent les éléments moteurs de notre pensée qui entre en connexion avec l’univers par les ondes que nous dégageons. Car tout être vivant dégage des ondes positives ou négatives. Dans le monde actuel, cela est un réel combat entre elles (les ondes) pour l’harmonie de notre bien-être contre le mal incarné. Il y a chez certains hommes et femmes ceux qui ont le pouvoir de diffuser ces ondes positives pour que cette planète tienne en équilibre, contre les ondes négatives qui sont l’antidote et l’antipyrétique des forces du bien. Chez ces « éveilleurs » (voir chapitre précédent), ce combat se mène, souvent dans l’ombre, pour l’euphonie de la terre, pour son épanouissement, pour son évolution. La nature, dans son ensemble, vit en osmose avec nous-mêmes comme nous vivons en osmose avec elle-même (j’en parlerai dans le chapitre à venir). Suivre ce raisonnement donne à penser que l’arbre, lui aussi, pense qu’un simple écueil à son intégrité aurait des conséquences graves non seulement sur lui-même, mais sur les autres qu’il soit humain, animal ou bien végétal. L’intérêt ici est de vivre en accord avec les autres intelligences ; le genre humain ne se sert que de 10 % de son esprit, ce qui le perturbe fort sur l’activité globale de la planète et je dirais même sur le cosmos. Je crois qu’il y a une synergie fusionnelle de tout cela, qu’à travers, le cosmos passe des électrons organiques qui nous parviennent par les lois de la physique sous forme de molécules à nos sens et que celles-ci se répartissent dans notre organisme pour se libérer par des ondes. Ce qui est rassurant pour les années à venir c’est l’effet positif de la télépathie par l’émanation qu’elle exhale vers les êtres vivants, parler à un arbre ou un légume aussi bien par la parole que par la pensée est une avancée certaine ; il y a, en Afrique, des tribus qui le font. Mais la télépathie ira à l’essentiel par son propre jeu de diffusion, de la pensée à la pensée. Cela sera une pensée intelligente et bénéfique, je crois aux bienfaits de la télépathie cette empathie forcément communicative pour le bien de l’humanité. Ce siècle est à naître sous l’impulsion des « éveilleurs » qui font leur travail de sape, leur travail de raison. Faut-il voir là la naissance d’un Nouveau Monde, oui je le crois tant que les « ignares » n’attaqueront pas avant ce monde-là de leur bêtise, de leur peur, de petitesse d’esprit ? Sachons nous les « éveilleurs » éveiller les consciences, et la lumière jaillira et fera fleurir les cœurs.

 

Mais je veux vous raconter sous la forme d’un conte le lien qui unit la conscience et la vie, vous faire entrer dans un monde merveilleux. Métaphore du sublime et du beau pour le bien-être de nous-mêmes.

 

Ainsi commence l’histoire…


(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly à paraître en Mai 2012 - Ed. "Pays d'Herbes")

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à suivre...

 

13/04/2012

Un Temps pour une Conscience... (3)

Les Eveilleurs de Conscience (suite)...


images.jpegToutes ces lanternes (je parle des plus éclairantes) illuminent la route que l’on doit suivre, parsemée d’embûches certes, mais généreuse à souhait. Le trajet se trace avec pudicité et convenance, la force des « éveilleurs » c’est qu’ils travaillent souvent dans l’ombre. Ils transmettent leur énergie par dose homéopathique parfois, dans l’oreille. Comme, le bouche-à-oreille est le meilleur système pour que celui-ci soit convaincant et pour que l’issue soit toujours gagnante. Il faut que de la conscience à la conscience, votre interlocuteur soit réceptif à votre écoute (comme je l’indique dans les catégories de lanternes ci-dessus). Mais, le plus fort est la télépathie, la plus géniale, car elle émet simultanément, et fabrique des « éveilleurs » à la pelle. Son poids est énorme et sa diffusion rapide. Son intelligence dirige et renforce la capacité de celle-ci à engendrer des êtres en parfaite harmonie avec eux-mêmes. La télépathie est d’une productivité redoutable, car elle exécute sa tâche avec perspicacité et en douceur, sans rompre le lien qui se fait sous l’eau (façon de parler). Elle a toujours existé, depuis les Homos Sapiens, les tribus aborigènes, les sages de l’orient, les bouddhistes, ceux qui ont la capacité de transmettre. Sur cette terre, il y a plus de personnes que l’on ne croit qui arrivent à faire passer le message. Dans ce monde moderne, les intelligences vont vite comme des ordinateurs, elles diffusent. L’ordinateur, outil utile, est l’autre moyen « d’accrocher » les consciences. Son originalité c’est qu’il est partout et que lui aussi est efficace. Il faut, bien sûr, s’en servir à bon escient pour atteindre sa cible… Mais son inventivité est indispensable pour faire communiquer les gens, de nos jours, il est impensable sans lui de faire les choses.

Mais il n’y a pas que les ordinateurs, la télépathie, le dialogue, la conscience, l’intelligence, il y a les actes. « Un éveilleur » se reconnaît, aussi à l’action, humanitaire, ou l’aide à son prochain, il se montre, ici, doublement important comme s’il faisait la cuisine et servait à table. Son rendement n’est plus le même, son énergie n’est plus la même, son mental n’est plus le même, il est la perfection incarnée, si les traits de sa personnalité ne sont pas entachés d’une faiblesse quelconque. Je veux dire qu’un « éveilleur » peut avoir des asthénies notoires dues à son éducation, à sa traversée de vie qui agit sur son comportement ; il peut être jaloux, faible parfois, avoir des curiosités malsaines ou autres choses. À savoir que les « éveilleurs » ne sont pas toujours des hommes ou des femmes irréprochables. Dans tous les cas, ils sauront se montrer à la hauteur dans la discussion ou dans les actes. « L’éveilleur » est dans l’ensemble assez intelligent pour ne pas avoir beaucoup de défauts, son intelligence travaille pour lui.

 

Parlons maintenant du sort de l’humanité entre les mains des « éveilleurs », sachez tout de suite, qu’il est rassurant. Nous sommes dans de bonnes mains et plus leur nombre ira en grandissant, et plus cette planète sera bonne à vivre. Mais l’adversaire est redoutable et surtout bête ; il peut nous emmener au désastre. Sachons être les garants d’un héritage bien précaire, mais important, pour que celui-ci se construise encore de jour en jour. La bêtise est notre plus dure ennemie, parce qu‘elle est avant tout ignare, méchante et gratuite. Elle défie l’entendement et il n’est jamais facile de la raisonner lorsque cela parfois est vain. Mais nous avons des armes, et ces armes sont l’intelligence, la générosité, le courage, l’humanité et d’autres encore… 

La planète, disais-je, est dans de bonnes mains, car ces mains-là ne sont pas sales et veulent du bien à l’humanité, malgré les conflits qui éclatent un peu partout. Ces « éveilleurs » sont prêts à rendre justice, à faire ou dire les choses qui feront du bien à l’autre et aux autres. Ils sont capables de soulever des montagnes et de s’infiltrer dans les sphères les plus hautes du pouvoir, ce sont en quelque sorte nos pions sur le grand échiquier des hiérarchies octogonales de ceux qui nous dominent, certains sont des nôtres. Car, voyez-vous, je me considère comme un « éveilleur », d’ailleurs pour écrire un livre comme celui-ci, vous l’aviez sans doute deviné. Mais je ne suis pas un « éveilleur » qui vit en harmonie avec ses pensées (je m’expliquerai davantage dans le chapitre à suivre). Je connais des amis proches de moi (ils ne sont pas nombreux) qui vivent en harmonie avec leurs pensées, en plus d’être des « éveilleurs », qualité rare d’être harmonieux en soi. Ces personnes sont doublement précieuses, la sagesse et la grâce les touchent, car il y a peu de gens qui se disent en accord avec leurs pensées. À ce moment, on vient d’atteindre le summum du genre humain, l’heureuse possession de l’âme, ils l’ont entre leurs doigts de fées et ils en connaissent l’origine. Plus loin dans mon récit, je parlerai de l’euphonie qui nous lie avec la nature, car les arbres sont aussi importants que les êtres humains et les animaux sont aussi importants que les végétaux, et les végétaux sont aussi importants que les nuages, et les nuages sont aussi importants... L’univers est grandiose et nous sommes si petits nous les hommes. Si l’on sait mener notre barque, elle nous conduira loin, jusqu’au fond de nous-mêmes pour rechercher ce que nous avons de meilleur. La terre s’en sortira par notre volonté, par notre responsabilité, par notre clairvoyance, par notre esprit. « Les éveilleurs » se chargent d’être des anges gardiens, pour que cette planète puisse voir naître ses enfants de demain.

 

 

En résumé et pour conclure, « les éveilleurs de conscience » ne sont que des gens normaux assimilés à aucune secte, juste des êtres que je qualifie « d’Élus » qui se différencient avant tout par leur bon sens et leur clairvoyance. Leur vie est assimilable aux autres dans leur quotidien, avec une perception aiguë, affublée d’un instinct hors-norme et d’une générosité immense. Leur « pouvoir » est « d’enseigner » le culte du beau et de l’amour, aussi bien par la parole que par l’acte. Ce sont de grands hommes et femmes dont la compagnie flatte ceux qui sont réceptifs à leurs pensées. Il y a des chances énormes de voir leurs enfants s’approcher d’eux par leur esprit, leur façon de vivre, d’être en communion avec les autres. Je pense, sincèrement, qu’ils survivront aux ignares tant que la magie opère sur leur vie. Le risque d’extinction de la planète, si elle devait avoir lieu, ne serait pas en aucun cas dû à ces hommes, ni à ces femmes, trop, en adéquation avec eux-mêmes. La gentillesse qui les anime traversera les temps, jusqu’à la fin du monde, « un temps pour une conscience » vient de naître sous nos yeux, il existe déjà et a toujours existé, mais le temps s’accroît de jour en jour par son évolution naturelle. Je suis en concordance avec Jacques Attali dans son ouvrage « Une brève histoire de l’avenir », nous allons vers l’hyperdémocratie, vers l’autosuffisance, vers une vie meilleure pour tout le monde, lorsque tous les conflits internes et personnels se résoudront. L’hyperdémocratie est en marche, j’y crois, sauf si, les hommes se chargent de réduire la planète en cendre. Je reste persuadé que le bon sens l’emportera, « Les anges gardiens » veillent sur nous et sur cette terre. Au cas où les hommes et les femmes viendraient à disparaître, on ne peut jurer de rien, « les éveilleurs » auront tout fait avant pour sauver cette planète. Ils sont les porteurs d’eau de l’altruisme et je terminerai ce chapitre par la dernière phrase du livre d’Attali : « Pour le plus grand bénéfice de l’humanité. »

 

(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly, à paraître, aux Ed. "Pays d'Herbes en Mai 2012)

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