Allez les yeux invisibles vers le beau.

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25/08/2012

Poème du jour...

Coucou me revoilou !

avec un petit poème de Emily Dickinson...

 

La Beauté m'assiège à en mourir

Beauté aie pitié de moi

Mais si j'expire aujourd'hui

Que ce soit en vue de toi.


(Poème de Emily Dickinson - extrait de "Quatrains" - Ed. Gallimard - 2011)

12/08/2012

Poème du jour...

Dieu est en vérité un Dieu jaloux -

Il ne supporte pas de voir

Qu'on aime mieux plutôt qu'avec Lui

Jouer entre nous.

 

(Poème de Emily Dickinson - Extrait de "Quatrains" - Ed. Gallimard - 2000)

à suivre...

06/08/2012

Poème du jour...

Je profite de cette Eté pour faire honneur à la Poésie avec les Poèmes de Emily DICKINSON :

 

Non qu'il s'en aille - nous l'aimons davantage

lui qui étant là nous guidait.

Par-delà le seuil mercantile de la Terre,

car ce qu'il mut, il le créait.

 

à suivre...

05/08/2012

Poème du jour...

Pour aider nos Côtés plus Sombres

Des Heures salubres sont dispensées

Qui à défaut de rendre apte à la Terre -

En silence rompent au Ciel  -

 

(Poème de Emily DICKINSON - Extrait de "Quatrains" - Ed. Poésie/Gallimard -  2011)

22/05/2012

Poème du jour...

Fêtes

 

poésie,salem-marin,poétesse,écrivaine,recueil,fêtes,réflexion,dé bleuLa fête bat son plein. Sur les bancs de la fraternité, les hommes aux visages rougeauds rient en montrant les dents.

Il n'y a plus de ciel, il y a le pacha de Guadalahaha qui est gras, qui est fat, mais qui en a, haha, le pacha de Guadalahaha.

La fête bat son plein. Sur les bancs de la fraternité, les femmes sourient en montrant les dents, les enfants pas.

 

(Poème de Anne Salem-Marin -"Voler selon" aux Ed. "Le Dé Bleu" - 1997)

01/11/2011

Poème du Jour...

Ne crois pas que c'est le poids du jour à venir qui nous entrave, demain ne pèse rien encore, ce n'est qu'une hotte ouverte à tous les vents.

Tu appelles souvenirs ces longs câbles qui traînent des chariots pleins de cadavres. Et tu butes sur le seuil de la porte d'aujourd'hui. Mais tu n'oses pas dételer, dis ? des fois que tes rêves mettraient des ailes à ton pauvre coeur.

(Poème de Régine Albert extrait de "Un paradis qui bouge dans la mémoire" - Ed. "Echo Optique" - 1991)