Postface de "Un Temps pour une Conscience"...

 

La fusion des êtres, des végétaux, de la nature avec tout ce qui nous entoure crée des ondes positives et négatives pour la planète entière, le sort d’un arbre, les ondes qu’il dégage... Le fait que, nous aussi, les humains, nous avons une influence sur la végétation comme sur nous-mêmes, mais j’en parlerai plus loin (...).  Il y a dans la personne humaine (mais non seulement), des êtres de demain pour des vies antérieures et futures pour une symbiose de l’état harmonieux de notre univers. L’agnostique que je suis n’a pas réponse à tout, mais il propose des voies dans la nuit, dans le prétendu néant. Car le néant nous réunit dans l’absolu et en nous-mêmes, dans l’accomplissement de nos intelligences, de nos consciences. Philosophe, de ma propre raison, de ma propre intelligence, de mon propre esprit végétatif, je veux dire en vérité prédisposer à cet état. Il nous faut consommer ensemble le meilleur pour que tout cela libère des pulsions vers cette alchimie spirituelle qui nous gouverne, à cela essayons de capter la connexion cérébrale de nos cerveaux en ébullition. Le travail des uns pourrait servir le travail des autres dans l’approche d’une acuité communicative que ce livre offre. On se doit de remettre le lecteur gentiment en place et en accord avec lui-même dans cette vie, où tout lui échappe, lui donner des liens avec les autres, avec ce qui nous entoure, lui faire prendre conscience, comme le dit Sartre : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Reste à faire une vie en harmonie ; un corps en harmonie ; un esprit en harmonie avec les choses. À cela, l’assurance d’un monde plus vivant saura être à notre portée et nous fera comprendre le Cosmos et ce que nous sommes. 

 

(Postface de "Un temps pour une conscience" de Pôl Kraly - Ed. "Pays d'Herbes" - 2012)

Poème du jour...

Dans cette Vie brève

qui ne dure qu'une heure

Tant de choses- si peu -

sont en notre pouvoir.

 

(Poème de Emily Dickinson - "Quatrains" - Ed. Gallimard - 2011)

La petite note de Franck... (48)

Puisque c’est la Rentrée… Et la Rentrée littéraire est là et s’impose elle aussi... je viens d’acheter le dernier Pascal Quignard « Les désarçonnés », roman que je vais lire avec intérêt. Moi je fais en quelque sorte ma « Rentrée » avec mon essai « Un Temps pour une Conscience » qui se veut être une réflexion sur La Vie et La Mort, pour ceux que cela intéresse... on peut le commander à l’adresse mail qui figure sur mon blog, les frais pour l’envoi sont offerts (10 euros pour ce livre événementiel qui le sera dans les mois à venir — rires). Que nous réserve cette Rentrée ? Pour nous tous, bien des interrogations, mais aussi bien des bouleversements… La planète Terre s’y prépare avec fatalisme et résignation, les conflits éclatent un peu partout et le moral des Français est au plus bas (et il n’y a pas que les Français…).  Français champions du monde du pessimisme!... Alors que la France est un pays où il fait bon vivre dans son ensemble. Alors pas de quoi s’appesantir sur notre sort et être malgré tout cela d’un optimisme mesuré et être heureux que la Terre tourne certes plus ou moins bien, mais qu’elle tourne ! Je vais peut-être vous surprendre, moi Pôl Kraly qui par nature étant un homme d’un pessimisme angoissé, je suis devenu quelqu’un d’heureux ! (pour ceux qui liront mon livre, ils comprendront). Pourquoi avoir cet excès d’optimisme béat alors que ce monde capitalisme dérive dangereusement, et qu’un autre monde émerge à mon avis plus exaltant. Un monde qui ne peut être que plus beau, il suffit d’y croire et surtout de rêver de le voir émerger. Puisqu’il faut le désirer pour que ce désir devienne plus fort que tout, mais il faut que cela soit un rêve commun et universel et qu’il soit désiré par le plus grand nombre. Alors il nous faut avoir de la confiance et ne pas avoir peur… Pour ces seules raisons « souriez à la vie ! ». 

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)

Silex and City...

L'orientation des espèces - Silex and the city 

Poème du jour...

Nul par le Ciel ne demeure fustré -

S'il semble nous voler

Il restitue d'une exquise manière

Au secret de son legs -

 

(Poème de Emily Dickinson - extrait de "Quatrains" - Ed. Gallimard - 2002)