Allez les yeux invisibles vers le beau.

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08/02/2014

France Inter (Interactiv')...


L'invité de 8h20 : Jean de Kervasdoué et... par franceinter

 

(Demain lisez la petite note de Franck ou l'esprit de contradiction en ce qui concerne cette émission)

23/04/2013

Un savon contre le paludisme...

Deux étudiants africains viennent d’inventer un savon pour lutter contre une maladie des plus meurtrières en Afrique : le paludisme. Du nom de Faso Soap, ce savon de l’espoir est composé de karité, citronnelle et autres herbes tenues secrètes.
 

Unknown.jpegUne maladie dévastatrice et meurtrière. Le paludisme, qui se transmet par les piqûres de moustiques, tue, dans le continent noir, un enfant chaque minute et près d’un million de personnes dans le monde chaque année, rapporteYouphil.com. Alors ce savon, un remède tant espéré et recherché, pourrait mettre un terme à ce fléau destructeur.

Ce savon pour lutter contre le paludisme a été créé par deux jeunes africains ; Moctar Dembélé, un Burkinabé et Gérard Niyondiko, un Burundais. Tous deux étudiants à l’Institut international d’ingénierie de l’eau et l’environnement (2iE) à Ouagadougou ont remporté grâce à cette invention salvatrice, le concours Global Social Venture Competition (GSVC) qui récompense des projets d’entreprise innovants et sociaux de grandes écoles dans le monde, ainsi que la somme totale de 35 000 dollars.

Une importante visée sociale et écologique

Se laver les mains avec Faso Soap, un produit naturel et local, permettrait à la population de se nettoyer et de se protéger des parasites qui deviennent résistants face aux médicaments et soins anti paludisme. Il se présente ainsi comme « une solution simple et efficace ».

Savon à composantes secrètes. Vaccins et médicaments n’ont pas réussi à faire reculer le parasite responsable du paludisme, le plasmodium. Ses solutions n’ont guère été efficaces. C’est pourquoi les deux étudiants africains tentent d’inverser la tendance. Les ingrédients du savon n’ont pas été entièrement révélés. Des composantes naturelles telles que la citronnelle et le karité ont, eux, été mis en avant.

En essai sur une partie de la population, dans la ville de Ouagadougou, lesavon a observé des effets positifs non négligeables. La chargée entrepreneuriat chez 2iE, Lisa Barutel, a indiqué que « les moustiques et les larves des moustiques se développent dans les nombreuses eaux stagnantes de la ville. Utiliser le savon et le mettre dans les lessives évite la contamination ».

Un projet qui doit porter ses fruits

Le projet Faso Soap doit prouver son impact. Des études supplémentaires, en collaboration avec le Centre national de lutte contre le paludisme du Burkina Faso, seront menées grâce à l’argent gagné par le biais du concours pour déterminer la viabilité du produit et de ses effets secondaires. Souhaitant perfectionner leur savon et ouvrir leur propre entreprise, les jeunes étudiants veulent procéder à sa distribution avec l’aide des laboratoires environnants. Un savon coûtera 300 francs CFA (soit 46 centimes d’euros), un prix d’unsavon lambda en Afrique.

Une prise de contact avec les ONG luttant contre le paludisme est envisagée pour cibler davantage les personnes les plus enclines à contracter cette maladie. Les deux gagnants du concours savourent leur première victoire qui montre par la même occasion, et ce au-delà de leur résolution à vaincre cette maladie, une « Afrique qui défie les clichés ».

 

02/12/2011

Génération Sida...



27/05/2011

La petite note de Franck ... (33)

Je ne suis pas très bien en ce moment, des ennuis de santé mental me perturbe et cela depuis des années. Aujourd'hui cela remonte à la surface, troubles de mon adolescence et de mon début de vie d'adulte. C'est pour cela que depuis 1 an je suis en invalidité, alors que j'ai effectué le respectable travail de typographe pendant 37 ans (j'ai commencé à l'âge de 16 ans). La difficulté dans ma maladie, c'est qu'elle est perverse et ressort lorsque je suis confronté à des soucis relationnelles fragiles, je suis un paranoïaque chronique avec de grosses crises d'angoisses paralysantes. Dans ce cas, je vois tout en noir avec des idées de suicide, je me soigne auprès d'une psychanalyste et d'une analyse qui dure depuis une trentaine d'années déjà et qui m'équilibre à-peu-près. 

La maladie mental pour ceux qui ne sont pas confronté est atroce car elle vous réduit à un légume sans cerveau confronté avec vos idées morbides qui vous obsèdent. Il est difficile pour un bien portant de comprendre ce genre de maladie, mais je souhaite à personne d'être dans ce genre de cas. Nous sommes souvent des incompris et pour certains des fabulateurs, mais cette maladie vient souvent de ce qui a de plus fragile dans un être. C'est pourquoi que l'enfance, l'adolescence sont des périodes à ne pas négliger pour des parents pour que leurs enfants deviennent "bien dans leur peau". Pour moi, il me reste à me soigner et à prendre sur moi, cette maladie se soigne, aussi, avec soi... en sortant, en voyant du monde, par le dialogue les amis peuvent vous aider à cela. Surtout ne pas se renfermer sur soi-même, pas facile à faire quand même, la maladie est tenace...

Il est possible que mon blog soit affecté par son service, j'essayerai qu'il en soit le moins perturber, mais dans ce cas on ne peut rien présager.

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck plus gaie)