Allez les yeux invisibles vers le beau.

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04/07/2013

Rétro music... (7)

03/07/2013

La Petite note de Franck... (54)

Unknown.jpegSuis-je un optimiste béat, un doux rêveur (comme le pensent mes amis) pour résumer un utopiste ? Je ne pense pas être la seule personne au monde qui imagine que ça bouge positivement à travers la planète. Je vois chaque jour des initiatives heureuses et conscientes à chaque coin du globe. Tenez, par exemple, l’écologie fait un grand « boum » dans les têtes et je vois, moi qui regarde ou écoute les reportages ou documentaires, une prise de conscience individuelle ou collective de la population pour améliorer le sort de la planète. Même des actes de solidarité ou des effets de bon sens que des gens apportent au quotidien pour une aide salutaire. Ou d’autres initiatives pour parfaire un bien-être immédiat pour que cela aille mieux pour nous tous. Les grincheux ne cesseront pas de nous dire que tout va mal, que ce monde va à sa perte, mais ne voient pas ou ne cherchent pas à voir (ce qui est plus grave) ces choses positives. Non, je ne suis pas pessimiste pour notre avenir et arrêtons de voir le mal partout. Mais il est sûr qu’il y a beaucoup à faire pour que ça change radicalement, laissons le temps au temps pour nous permettre de vivre mieux. En tout cas, la conscience humaine est en marche pour ce changement-là ! Utopiste même dans mes écrits, je veux être, je suis l’auteur d’un roman (publié il y a 5 ans à compte d’auteur) qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où je raconte le monde en 2081, un monde fait de conscience, de bon sens et d’intelligence dont les rapports humains se dévoilent au fil du roman et nous font comprendre les connexions entre les êtres aussi bien des humains, des végétaux et même de toutes les intelligences du cosmos  ! Je vous invite à lire ce beau roman (que j’ai envoyé aux Maisons d’Édition) sur mon blog, (un petit rappel pour une lecture judicieuse) oublier les cinq premières pages et commencer l’ouvrage au chapitre « Éveil à la nourriture des choses »…


Demain, est devant nous, il suffit d’y croire !


(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre...

02/07/2013

Voyages en pays nordiques...

01/07/2013

Poème du jour...

desnos,poète,écrivain,poésie,détente,coteau,réflexionDerrière ce coteau la vallée est dans l’ombre,
L’odeur du bois qui flambe et de l’herbe parvient
Jusqu’au désert présent, lueurs et rocs sans nombre,
Avec des cris d’enfant et des abois de chien.

Les cris sont déchirants de l’enfant qu’on égorge.
Le chien appelle en vain. Un sort est sur ces lieux.
Rien n’est réel ici que cette odeur de forge
Qui nous berce et nous saoule et nous rougit les yeux.

L’aube peut revenir et le soleil nous prendre.
En vain : les aboiements et les cris perceront
L’épaisseur de la nuit, l’épaisseur de la cendre
Qui remplissent nos cœurs, qui brûlent sous nos fronts.