Chemin… (2)
À travers notre propre expérience, suivons infiniment notre parcours, celui qui nous conduit à nous-mêmes dans les dédales de notre vécu. C’est le moment d’apprivoiser notre destin, par la seule force d’être constamment dans le positif des choses. C’est comme cela que nous nous construisons, c’est comme cela que l’être devient lui-même dans son entité. Force est de constater que cette « délivrance » nécessaire se fait dans une complicité absolue de notre conscience, savoir l’entendre est primordial, savoir vers quoi ou vers où elle nous mène est essentiel. Il est capital et cela n’est pas simple d’entendre sa voix, car, elle est notre passé, aussi bien que notre futur et cela dans notre présent. Toutes définitions venant de ses suggestions ne peuvent être pour nous, sujets à satisfaction pour le monde à venir. Être les garants du savoir de son langage fait de nous des humains plus que vivant, cela fait de nous des êtres d’esprit.
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Dialogue… (2)
Sommes-nous en mesure d’entendre la voix qui résonne en nous, cette voix si sonore et si intelligente ? Encore faut-il la dissocier des autres voix, car si sonore qu’elle soit, elle peut se perdre dans les méandres audacieux de notre inconscient. Alors, comment la reconnaître ? Il suffit d’être en harmonie, lorsqu’elle nous vient en soi (pas toujours facile), d’être en nous-mêmes. Elle nous parvient dans sa singularité en osmose avec notre conscience, car la voix est bien distincte de notre pensée, même si son émanation vient d’elle-même, je l’appelle ainsi « la voix unique. » Celle qui nous perçoit, qui nous dirige, elle est savante et constructive, elle nous enseigne le vrai sans détour. Son honnêteté se résume par sa façon de nous guider dans les dédales de notre cerveau. La voix de la conscience est précieuse et nous préserve, il faut savoir l’entendre avec intelligence.
(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître... (peut être... rire)
à suivre...