Trois maîtres de vie... (24)

(suite...)

Dans ces édits, gravés et proclamés dans l'ensemble de son royaume, il appelle à l'adoption de règles morales inspirées des préceptes du Bouddha : "Le don (du dharma) consiste à traiter équitablement esclaves et serviteurs, à obéir à sa mère et à son père, à être généreux pour les amis, les parents, les prêtres, les ascètes, et à ne pas tuer d'animaux." Dans l'un de ces édits, le souverain exprime très clairement son intention de transmettre à la postérité la loi bouddhiste : " Dans le passé, il n'y avait pas porteurs de la parole du dharma, mais j'ai appointé des prêtres treize ans après mon couronnement. Maintenant, ils oeuvrent au sein de toutes les religions pour l'établissement du dharma, pour la promotion du dharma, et pour le bien-être et le bonheur de tous ceux qui se dédient au dharma. Ils oeuvrent parmi les Grecs, les Gandharas, les Rastrikas, les Pitinikas et d'autres peuples sur les frontières ouest. Ils oeuvrent parmi les soldats, les chefs, les brahmanes, les pauvres, les vieux et ceux qui se dédient au dharma, pour le bien-être et leur bonheur (...). Cet édit du dharma a été écrit sur la pierre, pour qu'il dure longtemps et que mes descendants travaillent conformément à ce qu'il édicte." Comme plus tard l'empereur romain Constantin pour le christianisme, Ashoka fut une pièce maîtresse dans l'essor du bouddhisme dans toute l'Asie.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)

 

à suivre...

Ce que doivent être les choses...

Vient de Paraître :

 

 

Je vous annonce la parution de mon roman « Ce que doivent être les choses » en version numérique chez Kindle Edition (Amazon) au prix de 2,68 Euros,

vous pouvez le commander et le télécharger sur votre tablette ou PC.

 

 

Bonne lecture à ceux que cela intéresse…

 

Amitiés.

 

Pôl Kraly

(Alias Franck Roy)

Chemins & Dialogues... (16)

Chemin... (16)

 

Nous allons vers ce qui nous illumine, ces ondes d’intelligences qui se connectent entre elles pour mieux se diffuser dans notre organisme. De là, elles partent avec toutes les énergies possibles et traversent les pores de notre peau se tisant de l’air ambiant. Nos consciences en capturent les émanations concrètes qui parfument la planète de sensations positives, tout cela s’orchestre parfaitement dans une alchimie sublime. La réalité de cet état de fait nous procure un bien-être serein, apothéose de cycles notoires comme un déferlement d’étoiles dans notre cosmos intérieur. Il en régit une union synchronisée avec les animaux, les végétaux et autres microcosmes... La vie s’emploie à renaître sous nos yeux de profane dans un décor harmonieux qui amplifie l’atmosphère d’ondes existantes. Vers le cosmos se dirigent nos pensées souveraines prêtes à apprendre et à connaître les lieux.

 

&

 

 

Dialogue... (16)

 

Ces ondes qui se stimulent entre elles et se connectent à nos intelligences recherchent en nous cet organisme propre à entendre ses chants. Elles parfument l’air par ses sensibilités notoires et se déferlent à l’intérieur de notre cosmos personnel. Des émanations concrètes et diverses en prolongent les effluves jusqu’à notre cerveau, et en diffusent les choses positives à nos existences. Les étoiles apparaissent en des chemins harmonieux que la vie synchronise à l’atmosphère par des vibrations affectives et réelles. Savoir où se trouvent les lieux sonores pour que nos pensées se remplissent de l’alchimie sublime de nos attentes spirituelles et en devenir... Du merveilleux, le soleil esquisse un sourire à nos yeux imprégnés.

 

 

(Pensée & Réflexion inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)

 

 

Poème du jour...

Par d'aussi menues Courtoisies,

Une fleur, ou un Livre,

Se plantes de graines de sourires -

Qui dans l'ombre fleurissent.

 

(Poème de Emily Dickinson - Extrait de "Quatrains" - Ed. Poésie/Gallimard - 2011)

Hommage à Gabriel Garcia Marquez...

Gabriel Garcia Marquez, Nobel de Littérature...

Sylvie Joly...

Sylvie Joly sketch - L'apres-diner

Poème du jour...

Le Navire Mystique

Il se sera perdu le navire archaïque
Aux mers où baigneront mes rêves éperdus ;
Et ses immenses mâts se seront confondus
Dans les brouillards d’un ciel de bible et de cantiques.

Un air jouera, mais non d’antique bucolique,
Mystérieusement parmi les arbres nus ;
Et le navire saint n’aura jamais vendu
La très rare denrée aux pays exotiques.

Il ne sait pas les feux des havres de la terre.
Il ne connaît que Dieu, et sans fin, solitaire
Il sépare les flots glorieux de l’infini.

Le bout de son beaupré plonge dans le mystère.
Aux pointes de ses mâts tremble toutes les nuits
L’argent mystique et pur de l’étoile polaire.

 

Antonin Artaud