Allez les yeux invisibles vers le beau.

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04/01/2012

Période de Voeux... (3)


Voeux de François Bayrou pour l'année 2012 par bayrou

03/01/2012

Période de Voeux... (2)


François Hollande : "2012, l'année du changement" par francoishollande

02/01/2012

Période de Voeux... (1)


Voeux de N. Sarkozy aux Français pour l'année 2012 par elysee

06/12/2011

Christophe Barbier...



02/12/2011

Génération Sida...



25/11/2011

Le capitalisme et ses conséquences...

La planète a longtemps été prodigue de ressources naturelles. L'être humain a atteint un impressionnant niveau de connaissances scientifiques et de réalisations techniques. Mais ce développement compromet maintenant l'avenir des générations futures. Le capitalisme est en train de programmer le désastre qui accablera nos petits-enfants. Alors que beaucoup ne soupçonnent encore ni la nature profonde ni l'ampleur du "développement", cette notion touche déjà à sa fin.

C'est en effet sur ses ruines que certains envisagent de construire une "autre" société. La convergence entre les nombreux problèmes (économiques, sociaux, écologiques, culturels, politiques) qui se posent depuis plusieurs décennies a conduit à la naissance d'un courant de pensée qui privilègie la critique de cette notion de dévoloppement. Mais aujourd'hui, de nombreux théoriciens de la "décroissance" abordent la question de la "sortie" du développement en passant sous silence la nécessité d'en finir avec le capitalisme.

Pourtant, le capitalisme, voué à une croisance continue, est un mouvement historiquement suicidaire qui entraînera inexorablement l'ensemble de l'humanité dans sa chute. Pour survivre ou se développer, celui-ci ne peut échapper à la croissance. cela implique qu'il est impossible de réguler le système. Ce qui exclut d'emblée toute stratégie de décroissance réformiste.

Cependant la seule élimination du capitalisme ne saurait suffire, car l'Etat peut très bien mettre en place une conception centralisée de la production d'énergies "propres". L'Etat, selon ses thuriféraires, est supposé être garant de "l'intérêt général". Or le système politique et écoonomique actuel est à la fois autoritaire et inégalitaire. L'Etat défend donc en réalité les intérêts de ceux qui possèdent, et de ceux qui dirigent ploitiquement la société. Pour vivre libres, les individus socialement organisés devront également le faire disparaître.

(Extrait du "Développement à la décroissance..." de Jean-Pierre Tertrais - Ed. "Du monde libertaire")

28/10/2011

Elie Cohen... face à la crise.