Allez les yeux invisibles vers le beau.

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19/10/2013

La puissance de l'esprit...

16/10/2013

Pensée du Jour...

spinoza,pensée,désir,idées,philosophe,philosophie,réflexion,comprendre,savoirQu'il ait des idées claires et distinctes ou des idées confuses, le Mental s'efforce de persévérer dans son être pour une durée indéfinie, et il est consient de son effort. (...) Quand on le rapporte au Mental seul, cet effort s'appelle Volonté ; mais quand on le rapporte à la fois au Mental et au Corps, on le nomme Appétit, et celui-ci n'est rien d'autre que l'essence même de l'homme, essence d'où suivent nécessairement toutes les conduites qui servent sa propre conservation (...) Le Désir est l'appétit avec la conscience de lui-même.

Ethique III, prop. 9 et scolie.

Spinoza

15/10/2013

Santé & Cosmo Tellurisme... (24)

Accord et harmonie des vêtements :

 

images-2.jpegCette application vous permet de sélectionner les qualités de fibres, de tissus qui vous conviennent le mieux.utilisez la même méthode que pour les aliments.

 

Eaux de toilette, parfums, bijoux :

 

Ces applications sont à utiliser dans la vie quotidienne et vous permettront d'être en harmonie avec les éléments qui vous entourent. Vous pourrez rendre de nombreux services autour de vous en conseillant vos proches dans le choix de leurs aliments, vêtements, etc., et ils vous en seront sûrement très reconnaissants.

 

(Extrait de " Santé & Cosmos Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. Dangles - 1984)

14/10/2013

Chemins escarpés... (26)


Unknown.jpegLes discours des hommes sont faits d’étoiles pleureuses, alors ils envoient des messages codés aux planètes pour qu’elles changent l’orientation de ces mêmes étoiles. Le cosmos passe par une mutation qui perturbe l’étude de l’organisation synchronisée de l’horloge du physicien qui ne constate que ses désillusions, face à l’origine du monde, qui a des pouvoirs supérieurs, plus privilégiés qu’il ne pense. Il prend conscience alors, ce chercheur, de son erreur et de son approximation. C’est, alors, que Dieu intervient et décide en accord avec les consciences humaines de créer un nouveau big-bang d’amour qui viendra tout orchestrer. De ce discours, l’homme en aura une autre vision magique, celle que l’univers lui imposera, cela le fera changer d’opinion. C’est ainsi que les étoiles deviendront rieuses et qu’elles enverront des messages bien fondés à l’esprit des humains qui s’apercevront qu’il n’y a pas qu’eux dans la galaxie. D’autres galaxies révéleront leur intelligence en complément de la nôtre. Ainsi l’heure à nos montres changera au plus grand bénéfice de ceux qui auront la certitude que le monde est vaste, et qu’il change, qu’un nouveau soleil vient à briller dans le cœur des hommes pour plus de chaleur, car un nouveau big-bang vient d’éclater, un big-bang d’amour. Énergiquement, la vie s’en trouvera modifiée et se libèrera des contraintes usuelles et conformistes qui s’attachaient à elle. C’est alors que notre esprit prendra son essor et viendra telle une abeille se poser sur une fleur, ainsi le cycle des moissons à nouveau s’offrira à nous sur une nouvelle Terre dans un univers reconstitué. Les consciences unifiées en un seul mot diront : « Le moment est approprié pour que ce Nouveau Monde soit éternel ».

 

(Pensées Philosophiques et spirituelles de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître... -  je l'espère -)


à suivre...

 

 

11/10/2013

René Char... (Le Poète)

 

René Char. Fureur et mystère, Gallimard, 1967 (« Poésie/Gallimard »). Archives Éditions Gallimard

Fureur et mystère en
« Poésie/Gallimard »,
édition de 1967

« Certes, il faut écrire des poèmes, tracer avec de l’encre silencieuse la fureur et les sanglots de notre humeur mortelle, mais tout ne doit pas se borner là. Ce serait dérisoirement insuffisant », confie René Char à son copain Francis Curel, en 1941. Les récents événements politiques, la guerre, le nazisme, la Collaboration requièrent, à son sens, à la fois le silence de l’écrivain et l’action secrète de l’homme. Démobilisé lors de l’armistice de 1940 après avoir combattu en Alsace, Char s’est donc engagé dans la Résistance sous le nom de Capitaine Alexandre ; et, contre l’« incroyable exhibitionnisme » dont font alors preuve « trop d’intellectuels », il a choisi de ne rien publier durant le temps que durerait l’Occupation. Ce qui ne l’empêche bien naturellement ni d’écrire, ni déjà de songer à un livre qui se placerait sous l’« exaltante alliance » de la fureur et du mystère : « c’est un peu solennel, mais c’est une ville de greniers et de pas millionnaires le rapprochement de ces deux mots », explique-t-il à un autre copain, Gilbert Lely, le 15 octobre 1941. 
Depuis 1940, son existence est rude. Il s’est retiré à L’Isle-sur-le-Sorgue puis dans les Basses-Alpes, à Céreste. Au mur de sa chambre chez ses amis Roux, une reproduction du Prisonnier de Georges de La Tour, avec une photographie d’Arthur Rimbaud à seize ans ; et sur la table, une boîte bleue, ronde et plate, qui contient tantôt des détonateurs, tantôt du tabac. Les poèmes qu’il écrit s’apparentent alors aux aphorismes d’Héraclite, mais s’en distinguent en ceci que les textes du Grec reposent sur une totalité dont nous ne possédons plus que des éléments épars. Char cherche à prolonger le Le Marteau sans maître  (1934) et les autres textes qu’il a publiés avant-guerre dans les revues surréalistes, où il exprimait déjà une forme éruptive de révolte, rimbaldienne celle-là contre les mœurs et contre une certaine pratique archaïque de la poésie, « pourrie d’épileurs de chenilles, de rétameurs d’échos ». Dans un carnet qui ne le quitte pas, il consigne aussi sous forme de notes ses pensées ; il rapporte, dans l’urgence, la mort de ses amis résistants, comme celle de Roger Bernard, abattu par les SS à portée de son propre fusil mitrailleur. Il se dégage de ces feuillets une impression paradoxalement contemplative. « Ces notes n’empruntent rien à l’amour de soi, à la nouvelle, à la maxime ou au roman. Un feu d’herbes sèches eût tout aussi bien été leur éditeur ». En juillet 1944, au moment de partir pour Alger, Char cache soigneusement son carnet des jours de résistance. Il entre en rapport avec la revue Fontaine, à laquelle il donne plusieurs poèmes à partir du mois d’août, ainsi qu’aux Cahiers d’Art et àL’Eternelle Revue, créée par Eluard dans la clandestinité. En septembre, il retrouve son carnet, qu’il s’empresse de détruire, non sans avoir pris copie de la partie « Journal » et des notes, intitulant l’ensemble Feuillets d’Hypnos. Après quoi, il essaie de mettre de l’ordre dans sa « manière de voir et d’éprouver qu’un peu de sang a […] tachée, à [s]on corps défendant ».


(Poésie de René Char -Ed. Poésie/Gallimard - 1967)

09/10/2013

Chemins escarpés... (25)

pensées,philosophie,spiritualité,réflexion,kraly,écrivain,comprendre,savoir,Il nous faut produire des affections durables, toutes les civilisations en procurent dans les entrailles de leur corps. Nous avons ce besoin impérieux de les fabriquer en masse pour faire l’éloge de nos consciences, chercher à distiller ces états élémentaires de nos constitutions. L’attachement est le message important de nos engagements avec l’autre ou les autres. Pour que l’on puisse renaître à nos émotions impulsives, il nous faut savoir transformer ces états par une concentration essentielle de notre Moi profond. La fermeté que nous nous imposons doit nous délivrer de nos chaînes, l’esprit se fera entièrement à ces prédispositions nécessaires de ce qui nous permettra d’évoluer vers un être ou des êtres en parfaite harmonie avec leurs pensées. Le bonheur se gagne ainsi par cet échange de procédés immuables et irréversibles, nos affections par compassion nous en offrent la parfaite humanité. Notre cœur n’en demande pas moins, car il est à la base de cette belle chose, ainsi naissent nos sentiments qui nous conduisent à la volupté sereine du septième ciel. La joie que cela nous donne fait de nous l’aspiration de tous nos émois assemblés au fond de l’humain. Il en ressort disposé à acquérir et surtout à recevoir, l’affect des autres hommes, magnifique osmose de ce que nous sommes capables d’engendrer. Force est de constater que la durabilité de nos liens se forge avec l’intelligence.

 

(Pensées philosophiques et spirituelles de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître)


à suivre...

08/10/2013

Astuces Feng shui... (33)

L'eau sous les escaliers blesse les enfants :

 

images-2.jpegUn bassin aménagé en dessous d'un escalier peut être joli, mais il crée une malchance immense pour les enfants de la famille. Plus l'eau est profonde, plus la malchance est intense. Au lieu d'y mettre de l'eau, éclairez bien le bas de l'escalier. Si vous le désirez, aménagez un débarras sous l'escalier, mais n'y entreposez pas des choses importantes, comme des photographies ou un coffre-fort. Gardez là les balais, les brosses et d'autres objets du même genre.

 

(Extrait de "365 astuces Feng-shui" de Lillian tOO - Guy Trédaniel Editeur - 2006)


à suivre...