Allez les yeux invisibles vers le beau.

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05/10/2010

La petite note de Franck ... (22)

Cela fait longtemps que je voulais vous parler du site du journaliste Daniel Schneidermann et de ses émissions sur internet "Arrêt sur image". L'occasion se présente à moi après avoir vu l'excellent sujet sur le Capitalisme dans l'agréable émission de Judith Bernard "Dans le texte", émission qui se veut littéraire et qui déborde magnifiquement vers la philosophie, l'économie... En ce moment on peut voir le brillant et discret économiste Frédéric Lordon qui vient de sortir un livre aux Editions "La Fabrique" (voir ci-dessous) sur le "Capitalisme, désir et servitude" en est le titre. Je dois dire que j'apprécie tout particulièrement cette émission, tellement que le débat est intelligent et intéressant et plein d'enseignements. Des émissions comme cela il faut en exiger, tant que vous êtes plus intelligent après... je vous invite à vous abonner pour la modique somme de 35 Euros (l'année) sur ce site qui nous éloigne des bla-blas de la Télévision commerciale, il y a toujours des choses à voir et à comprendre en voici le lien :http://www.arretsurimages.net/.

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)

 

LE LIVRE DE FREDERIC LORDON :

 

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04/10/2010

La légende des sciences 6/6


La légende des sciences - Prévoir 6/6

02/10/2010

Ce que doivent être les choses... (5)

 

Unknown-6.jpeg- Dans l'harmonie du vivant, dans notre rapport aux êtres et aux choses, dans la création de toi, dans la connaissance de toi, dans ta générosité active, dans l'accomplissement de ton être, ta personnalisation, ton identité propre au service de l'autre et des autres.

- Que dois-je craindre ?

- Rien, si ce n'est la dispersion de tes idées dans ton être. Sache que tu viens de vivre est acquis, mais que la déconnexion de ce qui nous lie peut influencer l'équilibre planétaire, toute chose a des conséquences pertubatrices, la stabilité tient à un fil, sa gravité aussi.

- Puis-je te poser une question importante ? Répondis-je.

- Tu me la poses. Me dit-il.

- Dans ce lieu, les animaux, les végétaux semblent vivre en harmonie. Pourquoi ne vivent-ils pas dans leur milieu naturel ?

- Bonne question, c'est ici un laboratoire qu'on a appelé musée des ondes, à des fins d'expérimentation. Tu remarqueras que les animaux ne sont pas plus d'une centaine et que la végétation respecte la dimension de la zone. Le but est d'en faire un lieu de passage pour les gens, afin qu'ils se connectent aux ondes, pour qu'ils puissent puiser le plus d'énergie pour qu'une fois à l'extérieur, ils en diffusent la puissance. C'est en vérité l'antre du bonheur, c'est le lieu régénérant pour un monde meilleur. Tous ceux qui passent ici doivent, une fois, dehors, transmettre aux autres leur pouvoir et cela libère des ondes positives à l'environnement, l'aura qui s'en dégage éduque les gens à une plénitude absolue.

- Je remarque que les animaux, les végétaux, les images cohabitent en concordance sans stress.

- Tu vois, c'est le paradis ici, à nous de lui donner vie à l'extérieur de ce musée.

 

(Extrait du chapitre 14 de "Ce que doivent être les choses" de Franck ROY/ Pays d'herbes). à suivre...

01/10/2010

Blanc et les bleus


Blanc dévoile la liste des 23 Bleus

29/09/2010

Youn Sun Nah... à découvrir et à savourer !

28/09/2010

Didier Porte toujours & encore !


Mediaporte # 3

27/09/2010

Poème du Jour...

 

Unknown-6.jpegComme il est appelé au soir en un lieu tel

que les portes battant sans fin

facilitent ou dénouent le tête-à-tête

 

hors de la crypte forestière il la traîne

au grand jour, ou plutôt il lui parle

 

il la dénude parmi les rafales de vent

ou plutôt il commence à se taire

avec une telle fureur dans les rayons

de la lumière verticale

une telle émission de silence comme un jet de sang

 

qu'elle se montre nue dans sa parole même

et c'est un corps de femme qui se fend.

 

(Extrait de "Proximité du murmure" du recueil "L'Embrasure" de Jacques Dupin/Gallimard)

 

* Jacques Dupin est né le 4 Mars 1927 à Privas (Ardèche)

Il a passé son enfance en Ardèche dans un asile psychiatrique, dont son père était directeur. Élevé avec les pensionnaires, dont l'un notamment donnera son nom à un poème, Chapurlat, il vit à Paris depuis 1943.

Il rencontre René Char, qui préface son premier recueil publié, Cendrier du voyage, chez GLM. Très tôt attendu comme le successeur de ce dernier, il prend le contre-pied en imposant, de livre en livre, une écriture atypique, souvent en ruptures. Ses textes suscitent l'admiration d'auteurs, de peintres comme Antoni TàpiesPaul Auster traduit ses poèmes en anglais. Mais c'est dans l'ombre qu'œuvre Dupin, dans le retrait. Jamais tenté par le roman, à peine écrira-t-il une pièce de théâtre, proche tout de même de la forme poétique :L'Éboulement.

Il a travaillé pour plusieurs galeristes, en particulier pour la Galerie Maeght et la Galerie Lelong. Ce travail l'a amené à rencontrer de nombreux artistes modernes, au premier rang desquelsAlberto Giacometti et Joan Miró occupent une place majeure dans son œuvre. Expert de l'œuvre de Miró, il est président du comité de l'A.D.O.M., Association pour la défense de l'œuvre de Joan Miró, qui promeut l'œuvre du peintre et statue sur l'authenticité des œuvres qui lui sont soumises.

Chez Maeght, il participe à la revue L'Éphémère, mêlant critique d'art et poésie, avec Gaétan PiconLouis-René des ForêtsYves Bonnefoy et André du Bouchet.

Il obtient le Prix national de poésie en 1988.