Allez les yeux invisibles vers le beau.

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05/06/2016

Music d'hier et de toujours... (5)

22/07/2014

La Puissance de la Pensée Positive...(2)

Les enseignements de la Bible :

 

images-2.jpegJe trouvai la solution à mon problème dans les enseignements de la Bible : les principes bibliques reposent sur des bases solides et scientifiques capables de guérir n'importe qui d'un complexe d'infériorité. Leur pratique permet de libérer les forces intérieures étouffées jusqu'alors par les sentiments d'impuissance.
L'origine du complexe d'infériorité, qui empêche le plein épanouissement de la personnalité, vient souvent de l'enfance.

 

Croyez-en vous..

 

Peut-être aviez-vous une soeur ou un frère aîné qui réussissait mieux ses études que vous ? Inconsciemment, vous en avez conclu qu'il en serait de même toute votre vie ; jamais, pensiez-vous, vous en connaîtriez vous aussi le succès. Croire cela c'est ignorer que ceux qui réussissent ne sont pas nécessairement les élèves doués.

Pour éliminer un complexe d'infériorité, il suffit d'avoir la foi. Croire en Dieu aide à acquérir cette confiance en soi. La foi dynamique s'acquiert par la prière, par la lecture de la Bible et par l'application de ses enseignements. Je donnerai plus loin des exemples de prière, mais je tiens à souligner, à ce stade-ci, que, pour éveiller une foi suffisamment puissante pour vaincre le sentiment d'infériorité, il faut prier avec ferveur.

Une femme à qui l'on demandait comment elle surmontait toutes ses difficultés répondit : "Pour les obstacles ordinaires, une simple prière suffit. Mais les problèmes graves demandent des prières ferventes qui viennent du fond du coeur.

 

(Extrait de "La puissance de la pensée positive" de Norman Vincent Peale - Ed. "Marabout" - 2013)

à suivre...

30/04/2014

Noam Chomsky...

chomsky,bon sens,cartésien,blog,intellectuel, américain,philosophe,idéologieVous avez déjà décrit dans vos ouvrages comment les idéologues professionnels et les mandarins occultent la réalité. Vous avez également évoqué – vous parlez d’ailleurs parfois de ‘bon sens cartésien’ – les capacités de bon sens que chacun d’entre nous possède. C’est d’ailleurs ce bon sens que vous mettez en avant en montrant les aspects idéologiques derrière certains débats, notamment ceux qui agitent les sciences sociales contemporaines.

Qu’entendez-vous exactement par ‘bon sens’ ? Qu’est-ce que cela veut dire dans une société telle que la nôtre ? Vous avez écrit à ce sujet, que, dans une société à la fois excessivement compétitive et fragmentée, les gens ont beaucoup de mal à savoir où se trouvent leurs intérêts. Lorsqu’on ne peut pas véritablement participer à la vie politique et si notre rôle se résume à celui du spectateur passif, alors, quel genre de connaissance peut-on avoir ? Comment le bon sens peut-il émerger dans un tel contexte ?

Chomsky : Je vais vous donner un exemple. Souvent, quand j’écoute la radio au volant de ma voiture, je tombe sur des débats ayant trait au sport. Il s’agit de conversations téléphoniques. Les auditeurs appellent et se lancent dans des discussions à la fois longues et complexes, qui, à l’évidence, mettent en œuvre un haut degré de réflexion et d’analyse. Ces personnes savent énormément de choses. Elles connaissent toutes sortes de détails compliqués et se livrent à des discussions interminables afin de savoir par exemple si la décision prise la veille par l’entraîneur était la bonne ou non, etc. Il ne s’agit pas de professionnels mais bien de personnes tout à fait ordinaires qui mettent leur intelligence et leurs capacités d’analyse au service de ces domaines. Elles accumulent une quantité énorme de connaissances et, je pense, de compréhension. A contrario, lorsque j’entends des gens parler d’affaires internationales ou intérieures, c’est incroyablement superficiel.

Ce sentiment peut être en partie lié aux domaines de prédilection qui sont les miens, mais je pense ne pas me tromper. Je pense également que l’intérêt porté à des sujets tels que le sport s’explique : le système est organisé de telle manière que pratiquement personne ne peut agir sur le monde réel sans un degré minimum d’organisation qui est sans commune mesure avec ce qui existe aujourd’hui. C’est comme si ces personnes vivaient dans un monde imaginaire, et c’est bel et bien ce qui se passe. Je suis convaincu que ces personnes exploitent réellement leur bon sens et leurs capacités intellectuelles, mais elles le font au service d’un sujet qui n’a aucune importance, et qui jouit sans doute de cette popularité justement parce qu’il n’a aucune importance ; on observe en quelque sorte un contournement des problèmes graves sur lesquels les citoyens n’ont aucune influence, ni aucune prise, parce qu’il se trouve que le pouvoir réside ailleurs.

Il me semble que ces capacités intellectuelles, cette aptitude à l’entendement, cette faculté à rechercher les preuves et les informations, à résoudre les problèmes pourraient être exploitées – seraient exploitées – sous des formes de gouvernement où le peuple prend part aux décisions importantes, et dans des domaines qui touchent véritablement la vie humaine.

Certes, certains sujets sont difficiles et certains domaines exigent un savoir spécialisé. Ce que je propose n’a rien à voir avec un anti-intellectualisme, je pense simplement que beaucoup de choses peuvent très bien être comprises, même en l’absence de connaissances profondes et spécialisées. D’ailleurs, l’acquisition d’un savoir spécialisé dans ces domaines n’est pas impossible, pour peu qu’on s’y intéresse.

Partons de cas simples, par exemple, l’invasion russe en Afghanistan : c’est une situation assez simple. Tout le monde comprend immédiatement, sans qu’aucune connaissance spécialisée ne soit requise, que l’Union Soviétique a envahi l’Afghanistan. C’est exactement de cela qu’il s’agit. Ce point ne peut pas être débattu, il ne s’agit pas d’une question ardue et difficile à comprendre. Il n’est pas nécessaire de connaître l’histoire de l’Afghanistan pour comprendre ce qui se passe. Bien. A présent, intéressons-nous àl’invasion américaine du Sud Vietnam. Cette formulation elle-même est étrange. Je crois bien que cette formulation n’a jamais été utilisée, je doute que l’on puisse trouver une seule occurrence de cette formulation dans la presse généraliste ou autre, y compris dans la presse de gauche pendant la guerre. Pourtant, c’était bien une invasion du Sud Vietnam perpétrée par les EU, tout comme on parle d’une invasion russe de l’Afghanistan. En 1962, dans l’indifférence générale, des pilotes américains (pas de simples mercenaires mais de véritables pilotes américains) ont mené des bombardements meurtriers contre des villages vietnamiens. Ce n’était ni plus ni moins qu’une invasion américaine du Sud Vietnam. L’objectif de ce raid était de détruire le tissu social du sud Vietnam rural afin de décimer une résistance que le régime soutenu et imposé par l’Amérique avait fait naître en raison de la répression qu’il exerçait et qu’il était incapable de contrôler bien qu’environ quatre vingt milliers de sud vietnamiens avaient déjà trouvé la mort depuis le refus de la ratification des Accords de Genève de 1954 qui devaient aboutir à un règlement politique du conflit.

Il y a donc eu une offensive des EU contre le Sud Vietnam au début des années 60, sans parler de la fin des années 60 qui virent l’arrivée de corps expéditionnaires américains visant à occuper le territoire et à détruire la résistance indigène. Cet épisode n’a pourtant jamais été présenté ni même pensé comme une invasion américaine du Sud Vietnam.

Je ne suis pas très au fait de l’opinion publique russe, mais j’imagine que là bas, l’homme de la rue serait surpris d’entendre parler d’une quelconque invasion russe de l’Afghanistan. Ils défendent l’Afghanistan contre les complots du capitalisme et contre les bandits protégés par la CIA, etc. Mais je pense qu’il n’aurait aucun mal à comprendre que les Etats-Unis ont envahi le Sud Vietnam.

Ces sociétés sont très différentes : les processus de contrôle et d’endoctrinement y fonctionnent d’une manière complètement différente. Certes, on ne peut pas comparer l’usage de la force avec le recours à d’autres méthodes. Cependant, les effets sont pratiquement identiques, et ces effets se répandent dans l’élite intellectuelle même. En fait, je pense que l’élite intellectuelle représente la catégorie la plus endoctrinée, et ce, pour de bonnes raisons : son rôle, en tant que clergé séculier, est de véritablement croire aux inepties qu’elle avance. Les autres peuvent se contenter de répéter, mais il n’est pas essentiel qu’ils y croient vraiment. Il est en revanche fondamental que l’élite intellectuelle, elle, y croit, dans la mesure où, au final, c’est elle la gardienne de la foi. Il est très difficile d’apparaître comme l’un des défenseurs de la foi à celui qui n’a pas intégré cette foi ou qui n’a pas fini par devenir un croyant lui-même, à moins d’être un menteur hors pair. Figurez-vous que les intellectuels me lancent des regards vides d’incompréhension quand je fais allusion à l’invasion américaine du Sud Vietnam, tandis que quand je m’adresse à des auditoires plus larges, les gens ne semblent pas avoir de grosses difficultés à saisir les points importants, une fois que les faits leur ont été rendus accessibles. Tout cela est parfaitement normal, c’est ce que l’on peut attendre d’une société construite comme la nôtre.

Quand je parle du bon sens cartésien, par exemple, ce que je veux dire c’est qu’il n’est pas nécessaire d’être doté de connaissances extrêmement poussées ou spécialisées pour comprendre que les Etats-Unis ont envahi le Sud Vietnam. Ni même pour démonter ce système fait d’illusions et de supercheries qui est mis en œuvre pour empêcher la compréhension de la réalité contemporaine ; ce n’est pas une tâche qui requiert un talent ou une intelligence particulière. Elle nécessite une certaine dose de scepticisme et la volonté d’utiliser les capacités analytiques dont la majorité des gens est douée et qu’ils sont en mesure d’exploiter. Il se trouve qu’ils les exploitent afin d’analyser ce que devrait faire l’équipe des New England Patriots le dimanche suivant au lieu d’analyser des sujets qui touchent réellement à la vie des êtres humains, y compris la leur.

 

Source : Blog sur Noam Chomsky

14/10/2012

Le génial Jeff Buckley...

17/06/2011

Pensée du Jour...

Rire souvent et beaucoup ;

gagner le respect des gens intelligents

et l'affection des enfants ;

savoir qu'un être a respiré plus aisément

parce que vous avec vécu.

C'est cela réussir sa vie.                                              images-2.jpeg

 

(Ralph Waldo Emerson - philosophe et poète américain)

04/06/2011

Pensée du Jour...

Pour chaque

minute où vous

êtes en colère,

vous perdez

soixante secondes

de bonheur.pensée, réflexion, bonheur, philosophe, philosophie, Ralph Waldo, Emerson, pète, américain

 

(Ralph Waldo Emerson - Philosophe & poète américain)

08/04/2011

Pensée du Jour...

 

 

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On peut supporter

seul le chagrin

mais il faut être deux

pour être heureux.

 

(Elbert Hubbard - écrivain américain