Avec la confiance...

La vie est pleine de défis. Certaines personnes semblent relever tous les défis avec confiance, tandis que d’autres peinent à les surmonter. Faire face à un défi peut apporter un sentiment d’accomplissement et peut être très enrichissant. En fait, à un certain niveau, vous cherchez les défis. Vous voudriez apprendre et grandir, et l’outil le plus efficace pour ce faire est l’expérience.

Le problème est que, trop souvent, vous pourriez vous retrouver face aux mêmes défis, encore et encore… Vous commencez à perdre en motivation et vous perdez de vue la leçon potentielle. À ce moment-là, les défis peuvent devenir des problèmes qui vous entrainent vers le désespoir et la frustration.

En tant que co-créateur de votre propre réalité, vous avez la possibilité de surmonter ces défis. C’est avec ce sens des responsabilités et en en prenant conscience que vous pouvez commencer votre voyage dans un état supérieur de conscience où les défis ne sont plus des défis, mais des possibilités de progresser.

Voici quelques façons de mieux accepter et répondre à vos défis personnels, quels qu’ils soient.

Affrontez le défi

Dans de nombreux cas, c’est le pas le plus important, le pas le plus évident, mais il est aussi le plus souvent omis ou négligé. Les gens passent du temps à chercher un moyen de contourner le problème, ou à se vautrer dans le désespoir à l’ampleur du défi, au lieu d’y faire face.

Même les choses banales comme un tas de linge ou de travail sont ignorés. Repousser le défi ne le fait pas disparaître. Cela est vrai pour les grands défis, ainsi que pour les petits. Le  plus important est d’affronter la tête haute ce qui est face à vous.

 

Réveil en douceur...

reveil en douceur meditation

Poème du jour...

Colloque sentimental

Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux formes ont tout à l’heure passé.

Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles,
Et l’on entend à peine leurs paroles.

Dans le vieux parc solitaire et glacé,
Deux spectres ont évoqué le passé.

- Te souvient-il de notre extase ancienne ?
- Pourquoi voulez-vous donc qu’il m’en souvienne ?

- Ton coeur bat-il toujours à mon seul nom ?
Toujours vois-tu mon âme en rêve ? - Non.

- Ah ! les beaux jours de bonheur indicible
Où nous joignons nos bouches ! - C’est possible.

- Qu’il était bleu, le ciel, et grand, l’espoir !
- L’espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir.

Tels ils marchaient dans les avoines folles,
Et la nuit seule entendit leurs paroles.

 

Paul Verlaine, Fêtes galantes