Allez les yeux invisibles vers le beau.

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04/10/2011

Proses des ivresses... (17)


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Fruit du travail de la réalité, nous sommes tous comme des composants naturels de la nature ; le système élémentaire de notre force au réel délivrée de son apesanteur dans l’espace-temps. Tu disais que : « La quiétude n’est pas une fin en soi », mais tu disais aussi : « Que l’inquiétude crée de la peur ». Sachant que ce monde va ainsi, la force dont tu pourras en tirer pourrait suffire à satisfaire la convergence de ton moi intérieur avec l’autre. Que ce qui transforme ton être ne puisse être en aucun cas source à une méditation profonde, mais ce que l’on en fait, sage relaxation de l’esprit vers les manifestations les plus audacieux de ton incommensurabilité à te fondre en toi-même ! Présence intrinsèque de l’existence sur ta vie dans ce qu’elle a de plus riche, puissance de ta reconnaissance alors de ta personne avec ta conscience dans l’effort de celle-ci à te comprendre. J’aime à dire : « Que la conscience devient une vérité dès lors qu’elle s’accomplit dans sa plénitude. » Tous les canaux de ton intelligence sont en équation avec l’éveil que cela suscite dans le réel, toutes divergences néfastes sont obstruées aux abords de l’esprit par la seule distraction de l’indifférence à toi-même. Mais assure-toi que la délivrance se fait par ton abnégation à vouloir libérer tes sens. Tu proféreras dès lors que la soumission au désir est plus lente que sa souffrance à naître. Le parfait éveil te révélera à ta présence reconnue, les apparences flatteuses seront les clés. Le fil vital de nos existences se médite dans l’épanouissement de l’être et dans sa capacité à comprendre les cycles de celle-ci. Tu pourras dire alors : « Que ceux qui parviendront à atteindre leur identité propre seront les seuls à comprendre que la vie est bien plus forte que la mort.

 

(Prose inédite de Franck Roy à paraître dans "Chemins escarpés")

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