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21/01/2012

Saint-Thomas d'Aquin...

Saint-Thomas d'Aquin... Un personnage à découvrir.

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Né en 1225 à Aquino, près de Naples, en Italie, Thomas d’Aquin appartient à l’une des plus importantes familles d’Italie. Il étudie d'abord la grammaire, les sciences naturelles, la science arabe et la philosophie grecque chez les dominicains de Naples.

À dix-neuf ans, il est reçu parmi les novices de l’ordre dominicain, déclenchant une vive opposition de sa famille, qui le fait enlever sur la route qui le conduit à Paris. Il prononce toutefois ses voeux en 1243 et étudie à Paris, puis à Cologne, où il a pour maître Albert le Grandet pour condisciples Ambroise de Sienne et Thomas de Cantimpré.

Il est taciturne et ses compagnons le surnomment « le grand boeuf muet de Sicile ». Mais dans une argumentation qu’il soutient publiquement, il répond avec une dialectique si pointue et si lumineuse qu’Albert le Grand se tourne tout ému vers ses élèves et leur prédit que « les mugissements de ce boeuf retentiront dans tout l’univers ». Comme son maître, il est ouvert à la renaissance des oeuvres de l’Antiquité, celles d’Aristote notamment.

En 1248, il commence à enseigner à Cologne puis revient à Paris, où il est reçu bachelier et occupe une chaire de théologie. En 1257, il obtient le grade de docteur et dirige une des deux écoles du collège de Saint-Jacques. Dès lors, sa renommée s’étend dans toute l’Europe et les papes qui se succèdent l’appellent à leurs côtés.

Il consacre les neuf dernières années de sa vie à la rédaction de sa grande oeuvre, la Somme de théologie. Il meurt le 2 mars 1274 à quarante-neuf ans, en se rendant au concile de Lyon, où il avait été convoqué comme expert.

La pensée théologique de Thomas d'Aquin repose sur deux axes fondamentaux :

  • une confiance active en la raison,
  • une référence permanente à la nature.

Sa vision optimiste réconcilie foi et raison en mettant les ressources de la raison au service de l’intelligence de la foi, au point de constituer la théologie en science véritable - science des choses divines construite à l’aide de raisonnements et de démonstrations conformes aux principes aristotéliciens

(Source Google)

13/11/2011

La petite note de Franck ... (41)

charlot, les lumières, humour, tristesse, film, personnage, grandeur, talent, émotions, sensibilité,C'est dans Les Lumières de la ville que Chaplin débute ce passage au sonore. Il utilise une bande son qu'il a lui-même composée et quelques effets de bruitage. Cependant, comme le dit Michel Chion, il s’agit tout de même d’un « véritable manifeste pour la défense du muet ». Dès le départ, le titre du film le place sous le signe du visuel : la lumière. De nombreuses scènes se font également sous le signe de la révélation visuelle (dévoilement des statues et la scène finale où la jeune femme reconnaît Charlot) et de voyeurisme (Charlot regardant une statue de femme nue). Choisir le sujet d'une jeune aveugle aurait pu permettre à Chaplin de travailler sur le monde du son. Or, s'il y a une chose qui n'est pas sonore, c'est bien le moment où le bruit de la portière fait croire à la jeune aveugle que Charlie est un millionnaire - gag qui a nécessité plusieurs mois d'élaboration, et plusieurs interruptions de tournage. Le bruitage se veut également un pied de nez au parlant. Lors de la scène de l'inauguration des statues, les seuls sons qui sortent de la bouche des officiels sont « quelques bêlements de saxophone à peine synchronisés avec le mouvement des lèvres ", qui évoquent la banalité du discours. De plus, lorsqu'un homme mange le savon de Charlie et que celui-ci se met à le disputer, tout ce qui sort de sa bouche est des bulles de savon, comme si toute parole était vaine...

C’est pour moi « Les Lumières de la ville » qui restera son chef d’oeuvre incontesté, tant que ce film transporte de l’émotion, de la sensibilité, de la beauté, de l’amour. Si vous ne l’avez pas vu courez y... vous ne saurez pas déçu par tant de talents. Charlot restera longtemps dans ma mémoire comme un symbole et un homme fort, qui vous apprend à connaître le coeur des hommes ! Je pourrais vous citer d’autres films comme le vagabond, le dictateur, les temps modernes, sa filmographie est très riche. Merci Charlot, monsieur Charlie Chaplin !


(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)

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