Allez les yeux invisibles vers le beau.

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28/06/2015

Vient de Paraitre...

Vient de Paraitre :

 

(en version numérique chez Kindle Edition sur Amazon en téléchargement au prix de 2,99 Euros)

 

de

Pôl Kraly 

 

"Génétiquement pas pareil semblait dire le contenu de cette émission sur Arte, du fait de leurs chromosomes, XY pour l'homme et XX pour la femme. Des chercheurs émettent l'hypothèse selon laquelle il existe une évaluation de distance entre l'ADN de l'homme et de la femme. Alors que le génome humain est totalement décrypté, il s'avère que 300 gènes séparent la fille du garçon, soit 1% de leur patrimoine héréditaire. L'écart peu paraître minime, mais selon les chercheurs, il est presque aussi grand que celui qui sépare le genre humain des grands singes soir 1,5 %. Il  aurait donc de distance, génétiquement parlant, entre la femme et l'homme qu'entre les primates et Homo sapiens. L'émission terminée et encore sous le choc, je me glissai sous les draps et plongeai dans une réflexion, qui au bénéfice de la nuit, allait se montrer constructive puisqu'elle déboucha sur ce livre. Réflexion qui se veut une sorte de voyage allégorique, fantastique et poétique à l'intérieur du corps de la femme."

 

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05/12/2014

Sagesse de la Conscience... (6)

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LE BAISER DU MATIN

 

Une silhouette solitaire agrippée à l'âme s’envola vers le ciel, elle murmura ce nom : « Pensée »... et alors apparut la destinée blanche de la conscience. Celle-ci demeura étincelante jusqu’à l’aurore, car elle s’était levée à l’aube, ignorant au passage tous les côtés du talus du chemin qu’elle avait emprunté, plaisant et épanouissant. Il nous faudra chercher dans sa démarche ailée, la beauté évanescente de sa grandeur ; lumineuse, elle réveilla le jour. La prophétie qu’elle promène influence cette vie de son souffle serein et admirable. Elle embrase les parfums des champs qui se trouvent dans ses pas, dont de multiples idées foisonnent dans le vent et caressent ses joues roses. Le saviez-vous : l’esprit demeure son plus puissant ami, il nourrit en lui de fortes pensées positives qui s’émerveillent à chaque embarquement pour l’amour. Cherchez ce que cette chose produira de fleurissant à l’âme et vous comprendrez le pourquoi de tant de joies dans ce monde ; venez nous retrouver dans ce paradis bleuté, il y a des sentiments à entendre. Mais mon cœur grandit sous les assauts du bonheur, il nous faut en préparer le nid, les oiseaux piaillent déjà.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître)

 

à suivre...

14/03/2014

Pensée du Jour...

boileau,pensée,écrire,penser,art,poétique,réflexions,comprendre,savoir,écrivain,philosophie,"Avant donc que d'écrire, apprenez à penser."

                   

Nicolas Boileau, Art poétique.

03/08/2011

D'un Corps à l'Autre (Chapitre 1)... (6)

Chapitre 1 - "Le saut de l'ange" (suite)...

 

Je m’approchai vers un endroit où il aurait fallu une lampe torche pour distinguer où je mettais les pieds. Je ne savais pas où j’étais. J’avais perdu ma besace; sans chaussure et besace, je n’étais pas rassuré du tout. Il était, aussi, l’heure de s’arrêter pour dormir, aucune idée de l’endroit où j’étais, il faisait noir comme chez les loups, et surtout cela ne sentait pas bon. Il était tard, il fallait bien se coucher. Je m’allongeai, à même le sol, en chien de fusil et je regardai une dernière fois autour de moi comme si cela était nécessaire dans cette obscurité. Peu à peu, je glissai dans les bras de Morphée, « ça ne sent vraiment pas bon par ici »... disais-je dans un soupir.

 

— J’ai une question à vous poser.

— Posez là...

— Pourquoi les femmes font-elles des bébés ?

 — C’est vrai que j’y avais fait allusion. Certes j’ai de plusieurs raisons, bien entendu, toutes respectables, ce qui me gêne en premier lieu, et chez quelques hommes aussi, c’était l’entêtement à infantiliser son comportement. Ce besoin permanent, pour certaines personnes (et elles sont nombreuses à redevenir en quelque sorte « bébé », à sucer le sein de sa mère, et à jouer à « la maman »). Il y a même des femmes qui sont mères et qui jouent encore à la « maman » tout en pensant à l’enfant qu’elles étaient lorsqu’elles jouaient à « la maman », cela paraît d’une absurdité totale. Quand deviendra-t-on, une bonne fois pour toutes, des adultes responsables ? Quand, dans cette société (dite moderne), cesserons-nous chaque jour d’abêtir les gens, de les rendre plus idiots qu’ils ne sont en vérité ? par la pub, les « sermons » de niaiseries télévisuelles, les faux prédicateurs, par des politiciens véreux qui ne pensent plus à leur image personnelle et leur avenir politique qu’à celui de leurs concitoyens... quand cessera-t-on de jouer à l’enfant?

 

 ("D'un corps à l'autre" - récit de Franck Roy - Ed. "Pays d'herbes" - 2006)

08/07/2011

D'un Corps à l'Autre (Chapitre 1)... (4)

 

Chapitre 1 - "Le saut de l'ange". (suite)...


 Une voix douce, une voix à peine perceptible, on aurait dit celle d’un enfant;  non... c’était le chant d’une jeune naïade, grande et belle. Elle était vêtue d’une tunique blanche nouée d’un cordon rose autour de sa taille. Elle avait les cheveux mi-longs et bouclés d’une blondeur germanique et cela laissait en deviner un visage fin aux traits réguliers et d’une pureté sublime, un visage d’ange. Ses yeux étaient d’un bleu méthylène et vous guérissaient à distance de tous vos maux, même ceux du coeur, ceux de l’âme aussi; une beauté qui vous faisait voyager de l’Orient aux portes de l’Asie. 

 — Dis-moi encore, je veux... je veux ce « monde » !

— On y va, on plonge...

J’arpentai ce col de l’utérus à vitesse, grand V;  je ne me souciai pas de l’aridité de la pente, ni du charme du site. L’aspect du décor, j’y apportais peu d’attention, même si l’endroit apparaissait austère, mais douillet. Je ne songeais pas à ce lieu-là éternellement, mais y venir de temps en temps ne me déplairait pas. Songez, braves gens, que bien des hommes n'auront aucune chance d’avoir ce privilège de séjourner ici, à un prix raisonnable défiant toute concurrence; car un tel paradis existe. J’eus, jadis, le plaisir d’y prolonger longuement un séjour, j’en ai gardé que de bons souvenirs. À vrai dire, les hommes se plaignent, alors qu’ils se voilent la face refusant ces petits à côté qui sont pour moi les meilleurs moments de la vie. J’avais certainement vécu, dans une autre vie, la même expérience ponctuée d’anecdotes tout aussi croustillantes, comme celles de gravir ce « col » en kilt ou d’apercevoir PPDA le redescendre, lui aussi, à vitesse, grand V. Mais cela était maintenant loin ; mon bonheur, c’est que ça reste un vrai bonheur. Certes, les femmes ne sauront jamais arpenter d’une façon agile une telle montagne, d’ailleurs, elles n’y ont pas accès. Tout cela me permet de penser : « Ah! le plaisir d’être un homme au sommet de l’Everest ». 

 

 

("D'un corps à l'autre" - récit de Franck Roy aux Editions "Pays d'Herbes" - 2006)

 

à suivre...

06/05/2011

Christian Bobin et la foi poétique...



20/11/2010

Cosmique Méditation...