Sagesse de la Conscience... (1)

 

LES EXIGENCES DE L’AUBE

 

Il y a à acquérir des heures fortes qui submergent la transition de l’aube au jour. Formaliser de la puissance de celle-ci pour qu’elle se hisse au-dessus des nuages le moment venu. Que pouvons-nous penser de cette injonction au temps,  notre être la perçoit-il toujours ? Pouvoir obtenir une cognition discrète susceptible de s’élever dans ce laps de temps issu de cet instant. Cherchons à comprendre le pourquoi de cet éveil soudain au soleil, au jour, à l’heure, ou alors à la minute. Dans tout réveil, il y a une fraction de seconde où l’aube se lève. Ce que notre corps a du mal à concevoir, c'est sa relation au matin, et pendant ce temps, celui-ci parvient à s’ouvrir au monde. Penser que toute lueur apparaît prédisposée à voir dans une fleur, un animal, une pierre à ressentir les premières chaleurs des rayons de l’astre du jour. La métamorphose de ce macrocosme se met en place pour une nouvelle journée, qui orchestrera son cycle. Ce que certains êtres ne sauront pas expliquer, c'est le renouvellement immuable qui s’établit de façon naturelle sur vingt-quatre heures et qui prédispose à ce que les humains en comprennent les lois. Il y a les saisons qui ont une fréquence que la rotation de la Terre entraîne vers l’exigence d’elle-même, dont nos yeux ne conçoivent même pas la réalité. Si ceux-ci ne captent pas ces changements, les individus que nous sommes ne verront pas les influences néfastes qui sur le métabolisme de chaque être agiront en conséquence. Il nous faut recevoir l’intensité de la lumière de chaque période pour évaluer le degré d’influence dans tout notre organisme, obtenir cette lueur diaphane ne peut que nous donner le rythme ancestral de l’univers lié au cosmos. Tout resplendit dans nos têtes à condition que notre esprit soit en osmose avec les éléments de la nature. Utiliser son cerveau pour connaître la saveur de ces composants et nous saisirons le système de base de toutes choses.

 

 (Prose philosophique & spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience" - à paraître) 

Chemins existants... (Extrait)

9

 

Une existence basée sur le spirituel ouvre l’esprit, qui engendre de la connaissance vers des richesses insoupçonnées, signe de l’intellect au service de l’universel en quête de sens. Une dimension propice, alors, à procréer un esprit sain est la base de ce qui prédispose la question existentielle au réel. Ne pas confondre, dans ce cas, l’obtention de ce que demande le réel par rapport à l’esprit, même si une parfaite harmonie demeure subjacente. Définitivement libéré, le corps apprend dans le giron de l’esprit que la claire lumière n’est pas le fruit d’une chimère quelconque. Mais en revanche la familiarité des points clés de ce que nous donne la conscience. Toutes naissances naturelles de nos âmes qui s’exhalent par la conscience sont le fruit d’une intelligence non parasitée par l’ordinaire, le quotidien de nos pensées. En résumé, cherchons à connaître la vérité qui anime nos vraies pensées dans l’insouciance d’un corps sain et d’un esprit attentif aux signes positifs de l’éveil de notre conscience. La libération naturelle de nos peurs se fait par l’écoute de nos sens, par la quintessence subliminale et l’euphonie de l’au-delà qui stimule notre acuité intellectuelle.

 

(Pensée philosophique et spirituelle de Pôl Kraly in "Chemins existants" - vient de paraître)

 

 

 

La Myrtille...

 La myrtille est un trésor de bienfaits. Ce petit fruit violet, délicat, à la saveur si particulière, est délicieux nature, en confiture et dans bien des préparations.

La myrtille est composée de près de 83 % d'eau. Riche en fibres c'est un excellent aliment équilibrant du transit intestinal avec ses 4 g de fibres pour 100 g de fruits, voire jusqu'à 8g pour les fruits sauvages. Sa teneur en oligo-éléments et minéraux est variée et importante en phosphore (11g/100g) et calcium (9g/100g). Elle apporte des vitamines, plus particulièrement de la vitamine C avec 20 g pour 100 g de myrtilles. Moyennement énergétiques, 100 g de myrtilles apportent 50 kc, ce qui classe ce fruit au niveau comparatif de l'ananas ou encore de l'abricot.

 

La myrtille fait partie des fruits raisonnablement sucrés. Mais selon qu'il s'agisse de la myrtille sauvage ou de la myrtille de culture, sa teneur en glucides est différente avec respectivement 6 g et 11 g pour 100 g de baies.

Ses vertus bien connues en font un fruit à consommer durant toute la saison de récolte, à savoir de Juin à Septembre selon les variétés. La myrtille apporte à l'organisme antioxydants et flavonoïdes. Elle est particulièrement conseillée pour protéger les capillaires.

La myrtille se conserve bien au congélateur. Ce qui permet d'en manger toute l'année et il serait bien dommage de s'en priver car elle est excellente sur le plan santé.

L'efficacité de la myrtille sur le maintien de la santé oculaire n'est pas une légende. Aujourd'hui, les professionnels de la santé s'accordent à reconnaître son action dans la lutte contre la DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l'Age). Contre l'oxydation du cristallin et de la rétine, la myrtille n'a pas son pareil. Il existe d'ailleurs des compléments alimentaires 100 % naturels conséquemment dosés en myrtilles utiles pour limiter les troubles du fonctionnement des yeux, particulièrement fréquents chez les plus de 50 ans.

Coupelle de fromage blanc et myrtilles, coulis et gelées, confiture, crumble pommes/myrtilles, muffin, tarte ou sorbet myrtille, les idées desserts ne manquent pas. Mais il est aussi possible de l'utiliser en accompagnement d'une viande (poulet, dinde, biche et autres gibiers), ou de crustacés (notamment les crevettes).

 

source : Exicte/lifestyle

 

 

Pensée du Jour...

 

"Le rêve est l'aquarium de la nuit."

 

Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer.

 

Chemins & Dialogues... (26)

Chemin... (25)

 

     Méditez en sachant évaluer notre grandeur d’âme, prête à expérimenter ce que nos consciences ont à nous dire. De toutes évolutions naissantes, dans notre esprit nous explorons nos connaissances, et cela avec discernement. Nos visions sur le monde s’en trouveront, énergiquement différentes et esquisseront un sourire à notre face. Nous parviendrons à saisir ce que les humains apparaîtront aptes à enseigner par leurs pensées. Nous pourrons vivre de façon altruiste envers la planète et pour nous-mêmes. Une source de cohésion viendra à s’écouler à travers nos veines, de cette vivacité spontanée, de nos cœurs et nos cerveaux, une élévation s’offrira. L’âme se transformera par une illumination, qu’une chaleur de compréhension actionnera à toutes les intelligences à l’intérieur des êtres, cela constituera en nous une lumière intime qui réchauffera nos existences. Il n’en demeurera pas moins que la raison s’appropriera tous les territoires permis. Nous faciliterons toute la force interne qui nous habitera. Nous viendrons de créer ce que nous désirons de plus précieux pour nous, la vie dans un écrin !

 

&

 

Dialogue... (25)

 

  Notre grandeur d’âme se trouvera prête à entendre ce que la conscience comprendra à nos sens. Sachons en discerner toutes les capacités notoires à notre esprit, explorons le champ de nos connaissances. Le monde apparaîtra de façon énergisante à notre être, de nos pensées nous parviendrons à saisir ce que notre spiritualité à nous dire. De cette façon s’installera en nous l’altruiste qui sommeille et qui s’éveillera lorsque tout le sang qui circule dans nos veines viendra irriguer notre cerveau dans une parfaite cohérence. Notre âme en recueillera toutes les formes parfaites qu’une lumière intime sollicitera à nos existences. Notre raison s’en accommodera fort bien et s’appropriera tous les territoires acquis. Nous emmagasinerons une énergie phénoménale en nous qui permettra de parachever notre œuvre, la vie deviendra plus forte à nos cœurs !

 

 

 (Pensées et réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" à paraître)

 

à suivre... 

 

 

 

 

Trois maîtres de vie... (28)

... Que faut-il retenir de cet ensemble de textes ? Son objectivité - il prétend rapporter littéralement les paroles du Bouddha - est évidemment aléatoire. D'une part, parce que en dépit des capacités mnémotechniques surdéveloppées des moines il est tout à fait naturel qu'au fil des générations des altérations, des omissions, des ajouts, des enjolivements, des précisions, aient été apportés au discours d'origine. Par ailleurs, les moines ont probablement imprimé sur ces enseignements en pali la marque de leur école, le Theravada, à un moment où les divisions apparaissaient au sein du bouddhisme. Une fois ces réserves émises, il faut néanmoins reconnaître un substrat historique aux textes pali. Les descriptions indirectes qu'ils font de l'Inde religieuse des VIe et Ve siècles avant notre ère sont corroborées par d'autres sources non bouddhistes, notamment par les textes du jaïnisme, religion légèrement antérieure au bouddhisme. Mais, surtout, les précisions qu'ils fournissent au sujet du védisme, la religion dominante de l'époque constituent à elles seules une preuve que ces textes n'ont pas été inventés de toutes pièces au tournant de notre ère, ni même dans les deux ou trois siècles qui l'ont précédée : le védisme avait en effet alors cédé le pas à ce que l'on appelle aujourd'hui l'hindouisme. Par ailleurs, les détails historiques que recèlent les textes pali - qui citent des noms de rois ayant effectivement existé à cette époque, comme Bimbisara souverain du Magadha, qui décrivent aussi l'émergence de la vie citadine en des lieux précis, des strates sociales, des conventions usitées -, tous ces détails sont corroborés par les archéologues et les historiens. Cette abondance de précisions historiques avérées confirme l'existence d'un substrat réel aux pérégrinations, gestes et paroles du Bouddha tels qu'ils sont rapportés par la tradition.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed."Fayard" - 2009)

 

à suivre...