Allez les yeux invisibles vers le beau.

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04/04/2014

Santé & Cosmo Tellurisme... (19)

Les antennes géodynamiques :

 

antennes géodynamiques,cosmos,tellurisme,sangles,essai,écrivains,radiesthologue,ciel, terre,réflexions,comprendre,savoir,bien-êtreLes antennes géodynamiques permettent à un radiesthologue qui a su élever son taux vibratoire de discerner la nocivité du rayonnement. Un sourcier traditionnel trouvera de l'eau mais ne saura pas si elle est nocive ou non.

Dans le phénomène des "Ondes Nocives" qui perturbent l'équilibre-santé, il est nécessaire de faire la différence entre le rayonnement et la nocivité. Aussi, un dispositif protecteur devra-t-il régulariser le phénomène de nocivité et respecter le rayonnement, c'est-à-dire ne pas dévier, ni le condenser ou le neutraliser.

Les antennes géodynamiques, maniées par un radiesthologue détectent les zones néfastes à la santé.Ces zones peuvent provenir, comme nous l'avons étudié précédemment, de cours d'eau souterrains, failles géologiques, poches de gaz, cavernes souterraines, cassures de terrain, conjugués éventuellement avec les points du réseau Hartmann ou du rayon Curry.

La radiesthologie détecte également des ondes nocives produites par les formes de l'architecture et la nocivité de l'électrification.

A un autre niveau, la radiesthologue professionnel est en mesure de détecter, avec les antennes géodynamiques, la présence d'un "fluide nocif" chez une personne. C'est ce que nous appelons une personne "imprégnée".

Il est à noter qu'un lieu et une habitation peuvent également être "imprégnés" (mémoire des murs).

 

(Extrait de "Santé et Cosmo Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)

 

à suivre...

17/02/2014

Trois maîtres de vie... (21)

Les sources :

 

images-2.jpeg... L'essentiel de ce que nous savons d'eux a été rapporté par des témoins de leur vie. Essentiellement par des disciples qui, en dépit du caractère élogieux du portrait qu'ils dressent, semblent avoir eu l'intention de transmettre un témoignage fidèle, montrant parfois leur maître avec ses qualités et ses défauts, ses humeurs aussi, son caractère quelquefois inégal. L'essentiel des travaux de recherche et d'exégèse ultérieurs ont été réalisés à partir des matériaux transmis par ces disciples, témoins directs ou indirects de leur parcours. Néanmoins, quelques indices extérieurs à ces cercles de fidèles sont là, aussi ténus soient-ils, pour confirmer l'historicité des personnages et leur inscription dans l'histoire.

 

(Extrait de"Socrate,Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. " Fayard" - 2009)

 

à suivre...

03/02/2014

Chemins escarpés...

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 À la naissance germe la conscience comme vecteur aux songes qui vivent en nous, l’impulsion que nous donnons aux rêves fait que ceux-là se déplacent dans notre inconscient. De cet inconscient, ils revivent sous différentes formes en notre conscience qui laisse cheminer en elle tout ce décorum, spectacle des pouvoirs de notre cerveau. Ainsi les plus belles images progressent de notre imagination par les confins de notre esprit qui en déterminent le sens, sens progressif vers un mieux-être. Toute envolée suspecte de ces rêves ne serait que l’intime cheminement de ces rêves vers les contrées mystérieuses de notre inconscient qui en faciliterait les paysages qui se formuleraient. Géniales dispositions à se diriger ; d’aller vers les pensées les plus directes de notre épanouissement pour faire éclore ces choses de nous. Cherchons, alors, à comprendre vers où ces pensées se dirigent, car nul voyage ne se fait sans raison. Dès lors que l’on pourra savoir vers quels endroits elles ont la possibilité de vivre, le moment sera venu de refléter la lumière sur ces destinations ombragées. De quoi sont faites ces émanations dans leur traversée interne et dans quelle direction iront-elles, je pense, dans nos refuges cérébraux ? Car là, il y aura la possibilité de déchiffrer les messages intelligents, porteurs d’un savoir commun. Le poète pourra en formuler le langage par : « Que tout ce qui touche aux songes vient à la conscience, berceau de nos naissances latentes ». Ces songes vivront, et cela grâce à l’inconscient, car ils nous arriveront par la conscience.

 

(Extrait de "Chemins escarpés" de Pôl Kraly - à paraître en Février 2012 aux Ed. "Pays d'Herbes")

 

 

26/01/2014

Trois maîtres de vie... (20)

lenoir,socrate,jésus,bouddha,écrivain,philosophe,essai,réflexions,comprendre,savoirQu'il n'existe pas de traces archéologiques directes de l'existence de ces trois personnages s'explique par le fait qu'aucun ne détenait de pouvoir politique. Dans cette lointaine Antiquité, seuls les monarques et les gouvernants pouvaient laisser une trace à la postérité en faisant graver des monnaies à leur effigie, ou des décrets dans la pierre, et en édifiant d'imposants monuments funéraires. L'histoire immédiate était celle des puissants de ce monde. Or ni le Bouddha, ni Socrate, ni Jésus n'étaient puissants, loin de là. Ils ont vécu simplement, ont connu de leur vivant un rayonnement relativement limité, et n'ont laissé aucune oeuvre écrite de leur main. Les autorités publiques de l'époque n'avaient guère de raison de transcrire dans les annales officielles le nom et la vie de cet ascète qui prêchait l'extinction du désir, de ce philosophe provocateur et de ce jeune juif qui annonçait l'avènement du royaume de Dieu. Tous trois enseignaient le renoncement aux illusions de ce monde, et leur rôle dans la cité était secondaire. Compte tenu de leurs faibles moyens financiers et de leur influence politique dérisoire, leurs disciples, quoique convaincus de la grandeur morale et spirituelle de leur maître, n'étaient guère en mesure de leur édifier des monuments. La seule manière de transmettre leur mémoire fut la transmission orale, puis écrite. Ces témoignages, qui n'ont cessé de s'étendre à des cercles de plus en plus larges, ont fait, au fil des siècles, l'incroyable renommée de Socrate, de Jésus et du Bouddha. On pourrait dire que leur succès, comme aujourd'hui celui d'un film de cinéma, ne s'est pas fait par un gros lancement médiatique, mais par la force, lente et efficace, du bouche-à-oreille. C'est parce que leur vie et leurs paroles ont fortement impressionné ceux qui les ont côtoyés qu'elles n'ont cessé d'être transmises avec ferveur pour parvenir jusqu'à nous. C'est finalement le meilleur indice de la réalité de leur existence. Par quelles sources et par quels témoignages leur vie et leur message sont passés à la postérité, voilà ce qu'il convient maintenant de considérer.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)

 

à suivre...

05/01/2014

Chemins & Dialogues... (7)

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Chemin… (14)

 Sûr qu’il nous reste dans la conscience cette chose si belle à percevoir, à voir éclore comme une pensée au soleil. Cherchons à savoir son langage, de sa propre vie qui sommeille en nous comme une image sereine, dès lors que nous connaîtrons son verbe... La vie s’ouvrira, alors, comme une fleur et s’épousera à toutes les chances extraordinaires ; là se situe la vérité. Être dans le positif, être toujours en quête de cela, se mouvoir à cette idée que le positif crée l’existence, et fait naître l’espoir. Toutes les situations heureuses ont une histoire saine et régénérante qu’il nous faut savoir apprendre, ce langage universel auquel je crois vient de cette présence qui s’adapte le mieux à l’élévation de l’esprit par le cœur, cela se conjugue ainsi, cela s’ajuste à nos âmes.

 

&

 

Dialogue… (14)

 

 De la conscience vit ce qui nous fait éclore : une pensée positive, celle qui se situe au zénith, près du soleil. Un langage se propose, ainsi, de nous connaître, il se veut universel et facile d’accès, sa propre facilité tient à ce qu’il nous arrive par le cœur. Son message se veut direct et sans détour, il s’ouvrira à nous comme une fleur dès lors que nous aurons voulu qu’il existe en nous. Ne cherchons pas à dissimuler sa vie ; sa vie demeure dans nos cœurs et notre esprit. Sachons lui donner une belle lumière pour qu’il puisse chanter à notre voix. Il s’amusera à nous dire que les beaux voyages sont à faire, dans l’élévation de nous-mêmes.

 

 

(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)

à suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

04/01/2014

Trois maîtres de vie... (19)

lenoir,jésus,socrate,bouddha,livre,écrivain,philosophe,essai,réflexions,comprendre,savoir... L'hypothèse de leur non-existence historique pose en effet davantage de problèmes que celle de la réalité de leur existence. C'est donc surtout en raisonnant par l'absurde que les historiens sont arrivés à la conviction que ces trois personnages ont bel et bien existé. S'ils étaient des mythes, comment expliquer que ceux qui ont transmis leur message aient été si imprégnés par leur personnalité, parfois au point de sacrifier leur vie, comme ce fut le cas de la plupart des apôtres de Jésus ? On donne moins aisément sa vie pour un mythe que pour un personnage bien réel avec qui on a entretenu des liens affectifs à toute épreuve. Les Evangiles, qui racontent la vie de Jésus, manifestent l'amour et l'admiration puissante de ses disciples à son égard. On ressent aussi dans les écrits de Platon, le principal disciple de Socrate, tout l'amour qu'il portait à son maître. Ses écrits ne sont en rien désincarnés, mais témoignent d'une émotion très humaine, d'une sympathie presque palpable. Ecrites plusieurs siècles après la mort du maître, les vies du Bouddha n'ont guère cette saveur et ce parfum d'authenticité du témoignage direct. Mais la même question se pose à l'historien : comment expliquer que des générations d'hommes et de femmes aient entièrement consacré leur vie à suivre les pas d'un homme qui n'aurait pas existé ? Il y a indiscutablement eu un événement majeur qui a bouleversé Pierre, Platon, Ananda et tant d'autres à leur suite. Ces proches ou lointains disciples nomment cet événement "Jésus", "Socrate" et "Bouddha". Qu'ils aient fidèlement retransmis la vie et les paroles de leurs maîtres est un autre problème, sur lequel je reviendrai. Mais nul doute que leur vie a été marquée par quelque chose de tangible, par une voix, par un discours, par des gestes qui émanaient de "quelqu'un". C'est la mémoire orale tout d'abord, puis l'écrit, qui nous ont légué le nom de ce "quelqu'un".

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à suivre...

14/12/2013

Trois maîtres de vie... (18)

images-2.jpeg... En réalité, il n'existe aucune preuve définitive de leur existence historique. Celui que l'on appelle "le Bouddha", titre qui signifie "l'Eveillé", aurait vécu dans le nord de l'Inde il y a deux mille cinq cent ans. Le Grec Socrate aurait vécu à Athènes il y a environ deux mille trois cent ans. Jésus serait né en Palestine il y a un peu plus de deux mille ans. Leurs tombes ni leurs ossements n'ont été conservés. Il n'existe nulle monnaie, nulle trace archéologique qui leur soient contemporaines et qui puissent attester de leur existence ou valider les évènements de leur vie, comme ce fut le cas pour les grands monarques tels Alexandre le Grand ou Jules César. Ils n'ont eux-mêmes rien écrit, et les textes qui racontent leur vie sont principalement l'oeuvre de disciples et ont été rédigés quelques années après sa mort pour Socrate, quelques décennies pour Jésus, plusieurs siècles pour le Bouddha. En l'absence de traces archéologiques et de témoignages historiques variés et concordants, les historiens ne peuvent donc affirmer avec une certitude absolue l'existence de ces trois personnages. Pourtant, tous s'accordent à reconnaître comme "hautement probable" l'existence historique de Socrate, de Jésus et du Bouddha. Et cela, encore une fois, malgré l'absence de preuves tangibles de cette existence, de décrets signés de leur nom propre, de traces palpables qu'ils auraient directement léguées à la postérité. Pourquoi ?

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à suivre...