Allez les yeux invisibles vers le beau.

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03/05/2015

Vient de Paraitre...

Vient de Paraitre :

 

(en version numérique chez Kindle Edition sur Amazon en téléchargement au prix de 2,99 Euros)

 

de

Pôl Kraly 

 

"Génétiquement pas pareil semblait dire le contenu de cette émission sur Arte, du fait de leurs chromosomes, XY pour l'homme et XX pour la femme. Des chercheurs émettent l'hypothèse selon laquelle il existe une évaluation de distance entre l'ADN de l'homme et de la femme. Alors que le génome humain est totalement décrypté, il s'avère que 300 gènes séparent la fille du garçon, soit 1% de leur patrimoine héréditaire. L'écart peu paraître minime, mais selon les chercheurs, il est presque aussi grand que celui qui sépare le genre humain des grands singes soir 1,5 %. Il  aurait donc de distance, génétiquement parlant, entre la femme et l'homme qu'entre les primates et Homo sapiens. L'émission terminée et encore sous le choc, je me glissai sous les draps et plongeai dans une réflexion, qui au bénéfice de la nuit, allait se montrer constructive puisqu'elle déboucha sur ce livre. Réflexion qui se veut une sorte de voyage allégorique, fantastique et poétique à l'intérieur du corps de la femme."

 

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15/11/2014

La Petite Note de Franck... (70)

images-4.jpegLa mission « Rosetta » commence à être couronnée de succès. Je n’ai pas vu un tel engouement des gens de la planète entière pour l’espace depuis que l’homme a posé son pied sur la lune et planté un ridicule drapeau dessus. Je reste perplexe devant ce concert de louanges pour cet exploit. Certes, c’est merveilleux pour la science d’envoyer le robot « Philae » sur la comète « Tchouri » et sur les éventuelles découvertes que cela va apporter (du moins, il faut l’espérer). Ma perplexité (j’en reviens) me fait penser que si la recherche doit avancer dans ce domaine pour plus de connaissances, premièrement, à savoir « d’où on vient », si vraiment, « il y a de la vie ailleurs. » Je m’interroge à savoir plus sur qui nous sommes nous les humains et quelles sont nos possibilités pour mieux nous connaître. Je veux dire par là, à l’intérieur de chacun, car pour moi la vraie exploration c’est bien dans les profondeurs de l’incommensurabilité de l’être qu’il nous faut en savoir plus. Bien sûr, des recherches sont faites pour comprendre le corps humain, les autistes, toutes les maladies psychologiques et autres qui nous affectent. Je crois que la connaissance de la biodiversité de la nature et dans ce qu’elle peut engendrer dans tous les domaines de sa compréhension, cela avec la clairvoyance de notre propre connaissance de nous-mêmes, amènerait des résultats d’autant plus bénéfiques pour l’homme et la femme qu’ils serviraient la cause de la survie sur notre planète. Ces mêmes personnes pourraient ainsi vivre de façon altruiste l’un envers l’autre et être en adéquation avec la véritable éducation que la nature est prête à nous enseigner si l’on voulait bien davantage s’intéresser à elle. Il y a une richesse à percevoir de chacun de nous au service de notre existence à tous, par une grande acuité de ce que nous pouvons comprendre avec tous les éléments qui peuvent nous donner à construire un avenir sur cette planète si belle. J’ai la forte intuition que le monde change en positif et que des êtres reçoivent à chaque instant sur cette terre, ce chant à peine perceptible à l’oreille et que j’appelle « Euphonie » ce chant est un langage codé hautement intelligent dont le rôle est d’éveiller les consciences. Ce chant nous vient du cosmos d’autres planètes, qui elles, sont habitées et vivent avec une souplesse d’esprit importante dont nous recevons par des voies communicatives ce « chant » sensible, si l’on veut bien prêter l’oreille et ouvrir notre cœur et notre conscience. La vraie expérience ne serait-elle pas de chercher à explorer le cœur des hommes et des femmes, de connaître les richesses de notre Terre, d’acquérir plus d’informations sur le fonctionnement organique de notre corps, de nos cellules, de notre cerveau, de notre ADN ? N’y a-t-il pas là une aberration illogique d’aller comprendre, ce que les étoiles ont à nous dire alors que le véritable voyage à faire est dans les profondeurs de l’humain et la connaissance de notre planète qui a beaucoup, encore, à nous apprendre. Car si il y a des vies dans la galaxie et dans d'autres galaxies, nous parviendrons toujours à entrer en contact, notre intelligence peut nous y aider.

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)

13/11/2012

D'un corps à l'autre... (Chapitre 4... 22)

Chapitre 4 "Allez... toujours allez"... (22)



J’intégrai ce corps encore une nouvelle fois par l’anus, j’aurai pu y entrer par d’autres cavités : par la bouche, le nez, les oreilles, le vagin, tous ces orifices se prêtent à l’arrivée dans ce lieu magique. L’anus me paraissait le plus usuel, le plus naturel, le plus original et sans nul doute le plus désagréable. Je repris mon souffle avant de reprendre mon chemin, je fis le point. Je retirai de ma besace une gourde en peau de bête pour boire quelques gorgées avant de reprendre ma route. J’essayais de récupérer mes esprits — ma survie en dépendait —, j’étais fier d’être cet explorateur du corps intérieur de cette femme dont je ne connaissais rien. J’allumai ma lampe torche et poursuivit mon chemin...


(Extrait de "Un corps à l'autre" de Franck Roy - Ed. "Pays d'Herbes" - 2006)


à suivre...

20/10/2012

Eclectic Method - The future...



26/09/2012

Le cerveau & l'inconscient...

21/06/2012

D'un corps à l'autre... (Chapitre 3... 20)

Chapitre 3 ... "Au coeur des choses" (20)

 

Le cœur a ses raisons que la raison ignore, je devais le quitter et continuer ma marche inlassable. Je descendais ce fleuve impassible, cette mer de sang entraîné par un courant hémodynamique. Je décidai à ne perdre volontairement et temporairement connaissance pour vivre que l’instant présent, me laisser chavirer et voir où cela m’emmène. Force est de constater que j’étais ce « bateau ivre » livré à moi-même perdu dans les méandres de ce corps. Après avoir culbuté ce qui me semblait être l’appendice xiphoïde, je tombai dans un lac à la tranquillité inquiétante et troublante. L’eau de ce lac avait un aspect jaunâtre ;  je portai mon doigt à ma bouche, je fis une grimace tout à fait convaincante, c’était de l’urine, j’étais tombé dans la vessie. Je flottai tant bien que mal à la surface ne sachant que faire de moi lorsque je fus projeté de cet organisme. Je me trouvai encore une nouvelle fois extirpé de ce corps dans la cuvette des toilettes. 


(D'un corps à l'autre" de Franck Roy - Ed. "Pays d'Herbes" - 2006)

à suivre...

 

21/03/2012

Madagascar...