Allez les yeux invisibles vers le beau.

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15/12/2013

Pensée pour Mandela...

images-2.jpeg... Une pensée pour Nelson Mandela...

 

"Le sourire des grands hommes est une passerelle vers le coeur des peuples"


Pôl Kraly

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07/10/2013

Pensée du Jour...

 

socrate,homme,adaptation,philosophe,réflexion,comprendre,savoir,pensée

« Ce qui fait l'homme, c'est sa grande faculté d'adaptation.  »


Socrate

06/12/2012

Hommage à Dave Brubeck...

14/08/2012

L'Instinct...

L'acte et le comportement instinctif[modifier]

L'acte instinctif se définit par la formule de Nikolaas Tinbergen :

acte instinctif = stimulus clef + coordination héréditaire + taxie

Cette définition entraine plusieurs choses :

  1. Les actes instinctifs constituent la majorité des comportements de la plupart des animaux.
  2. Ils se raréfient chez les animaux supérieurs pour devenir pratiquement absents chez l'homme.
  3. La composante taxie permet de distinguer les réflexes (générés par le rachis) des actes instinctifs (générés par le cerveau).

Un réflexe comme le retrait automatique de la main en cas de brûlure n'est pas un acte instinctif car le mouvement ne change pas en fonction de la direction du stimulus. Par contre, le mouvement automatique de rotation de la tête en cas de bruit soudain ou celui du sursaut de peur (ontogénétiquement dérivé du réflexe de Moro) est un acte instinctif car la tête s'oriente vers le stimulus dans le premier cas et le corps s'éloigne de celui-ci dans le second.

Chez l'humain, le contrôle volontaire permet d'inhiber les actes instinctifs comme le salut des yeux mais nécessite une attention constante. L'homme possède un tel contrôle volontaire qu'il peut même résister à ses réflexes comme en laissant délibérément sa main sur le feu.

Si chez l'humain l'acte instinctif est très rare, le terme de comportement instinctif permet de décrire l'ensemble des comportements génétiquement déterminés pouvant être modulés, dans une certaine mesure, par la culture. Toutes les activités biologiques fondamentales comme la miction, la défécation, la nutrition, le toilettage et autres sont innés. L'homme n'apprend pas à uriner, déféquer, manger ou à se toiletter mais comment il doit le faire au sein de sa socioculture. Le bébé sait instinctivement comment manger, il est capable, après rodage moteur, d'apporter la nourriture à sa bouche avec ses mains, de goûter et de cracher ce qu'il n'aime pas, il sait instinctivement mâcher et déglutir mais il ne sait pas utiliser une fourchette. De même, si la toilette semble une activité totalement apprise, le fait qu'il s'agit de la manifestation névrotique la plus courante démontre le contraire. En effet, si chez l'homme le lavage compulsif des mains est la névrose la plus courante, le toilettage compulsif est également celle des animaux domestiques (chiens et chats névrosés)


Source Wikipedia...

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12/06/2012

Un Temps pour une Conscience... (7)

L'homme et la nature...

 

images.jpegLa nature a autant sa place que nous sur cette planète, elle est le fruit, j’ose le penser, d’elle-même. Son intérêt, c’est sa différence avec l’Homo Sapiens, qui pour la nature est son avatar. Je veux dire par là que l’homme se réduit à sa propre intelligence, qu’il ne conçoit pas de déchiffrer la nature qui est plus complexe et plus savante que lui. Elle s’administre par elle, et ce que l’hominidé lui vole, la nature le lui reprendra, car elle a surtout interprété ce rejeton, et celui-ci n’avait pas d’autre but que de faire obstacle à son intégrité et aux ondes rationnelles qu’elle dégage. Ces ondes négatives, que le simple mortel, à forte dose, injecte. En définitive, elles se retourneront contre lui. La nature a son langage, sa grammaire, ses pouvoirs se décèlent dans sa compréhension ; elle a une attitude noble et sincère, que l’être humain ne perçoit pas, mais il faut qu’il le sache. Il y a « les éveilleurs », qui eux libèrent des lumières positives ce qui équilibre cette planète (mais pour combien de temps), la destruction d’arbres, de végétaux fait fuir la faune et la flore ; la biodiversité est plus que menacée, sa stabilité précaire ; l’espèce y perdra sa vie si elle n’ouvre pas les yeux.

Il serait important d’exister en réelle complicité avec la nature, et qu’elle nous le renvoie par sa joie et sa générosité. Elle ferait de nous des êtres accomplis, et en symbiose avec ces entités qui nous entourent donc en adéquation avec ce monde. Nous avons là la capacité d’atteindre un degré de bonheur pur auprès de ce qu’auparavant nous aurions pu vivre. Apprendre à réfléchir sur les substances que celle-ci nous donne pourrait nous ouvrir des portes.

Des connaissances pour notre avenir, l’origine des composants des végétaux pour une utilisation de bienfaits médicinaux ou biologiques est une des raisons pour en savoir plus sur nous-mêmes. Le feuillu fait de lui un monument. Sa stature en fait sa respectabilité ; il est le chef, digne héritier de ce que la nature nous offre, je lui attribue des pouvoirs suprêmes encore aujourd’hui, il a un rôle sur notre mental. La disparition de cet ancêtre ne ferait qu’accroître nos malheurs, un arbre dans un champ et la vie autour se crée. Il nous faut préserver ce résineux ; sommes-nous capables, aussi, d’être à l'écoute des végétaux, des animaux, pour notre devenir ?

 

(Extrait de "Un temps pour une conscience" de Franck Roy allias Pôl Kraly à paraître prochainement aux Ed. "Pays d'Herbes")

En exclusivité sur mon blog !

à suivre...

21/01/2012

Saint-Thomas d'Aquin...

Saint-Thomas d'Aquin... Un personnage à découvrir.

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Né en 1225 à Aquino, près de Naples, en Italie, Thomas d’Aquin appartient à l’une des plus importantes familles d’Italie. Il étudie d'abord la grammaire, les sciences naturelles, la science arabe et la philosophie grecque chez les dominicains de Naples.

À dix-neuf ans, il est reçu parmi les novices de l’ordre dominicain, déclenchant une vive opposition de sa famille, qui le fait enlever sur la route qui le conduit à Paris. Il prononce toutefois ses voeux en 1243 et étudie à Paris, puis à Cologne, où il a pour maître Albert le Grandet pour condisciples Ambroise de Sienne et Thomas de Cantimpré.

Il est taciturne et ses compagnons le surnomment « le grand boeuf muet de Sicile ». Mais dans une argumentation qu’il soutient publiquement, il répond avec une dialectique si pointue et si lumineuse qu’Albert le Grand se tourne tout ému vers ses élèves et leur prédit que « les mugissements de ce boeuf retentiront dans tout l’univers ». Comme son maître, il est ouvert à la renaissance des oeuvres de l’Antiquité, celles d’Aristote notamment.

En 1248, il commence à enseigner à Cologne puis revient à Paris, où il est reçu bachelier et occupe une chaire de théologie. En 1257, il obtient le grade de docteur et dirige une des deux écoles du collège de Saint-Jacques. Dès lors, sa renommée s’étend dans toute l’Europe et les papes qui se succèdent l’appellent à leurs côtés.

Il consacre les neuf dernières années de sa vie à la rédaction de sa grande oeuvre, la Somme de théologie. Il meurt le 2 mars 1274 à quarante-neuf ans, en se rendant au concile de Lyon, où il avait été convoqué comme expert.

La pensée théologique de Thomas d'Aquin repose sur deux axes fondamentaux :

  • une confiance active en la raison,
  • une référence permanente à la nature.

Sa vision optimiste réconcilie foi et raison en mettant les ressources de la raison au service de l’intelligence de la foi, au point de constituer la théologie en science véritable - science des choses divines construite à l’aide de raisonnements et de démonstrations conformes aux principes aristotéliciens

(Source Google)

23/04/2011

L'avenir du cerveau & des ordis.... (5)

ROBOTSAPIENS... Suite &Fin

Un document tout à fait exceptionnel dont la diffusion fut sur Arte, c'est avec celui-ci (voir ci-dessus) le dernier numéro. Je vous invite à le découvrir... Arte est indispensable pour ce genre de reportage internet et mon blog font le lien vers un univers intéressant d'un possible futur inquiétant... Note de Franck.