Allez les yeux invisibles vers le beau.

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/08/2016

Santé & Cosmo Tellurisme... (39)

tellurique,santé,cosmo,bien-être,leurrais,altenbach,architecture,béton,armé,homme,vibration,connaissances,vie,molécules,conséquences,immeubles,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreIl n'existe pas de bio-architecture type :

 

Après avoir enfin pris connaissance des influences des éléments du sous-sol sur la santé, l'équilibre et le comportement de l'Homme, les architectes, constructeurs et maîtres d'oeuvre commencent à accepter d'envisager l'influence des matériaux et des formes de l'architecture sur la vie des êtres.

Timidement on commence à reconnaître, en haut niveau, que les immeubles en béton armé provoquent des déséquilibres glandulaires et cellulaires.

Mais il est vrai que l'on accepte beaucoup plus difficilement une "théorie" venant des U.S.A. (qui confirme certains de nos travaux) dénonçant l'influence nocive des vibrations du béton sur le squelette. De nombreuses personnes souffrent de problèmes osseux uniquement parce qu'elles évoluent dans un milieu "bétonner".

Le béton produit une vibration qui agit sur la fréquence vibratoire de la molécule du tissu osseux.

 

(Extrait de "Santé & Cosmo Tellurique" de B. Legrais et G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)

 

à suivre...

09/07/2016

Spiritualité cosmique...

cosmos,dieu,évolution,vibration,humanité,comportement,homme,religieux,idéal,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreSPIRITUALITE COSMIQUE

par Serge-Reiver Nazare ( Son site Internet : VIBRATION VIRGO)

Serge-Reiver Nazare a été contacté directement par des Frères Instructeurs de la Confédération Intergalactique en 1970. Depuis, il retransmet les enseignements qu'ils lui ont légué pour l'Humanité, dans l'humilité et la bienveillance.

 

 

L’INSTAURATION DU DIEU UNIQUE


Pour comprendre comment l'homme fonctionne dans sa psychologie, dans son
comportement interne, dans ses rapports avec autrui, dans ses relations avec la
vie en général, et avec ce qui lui est au-delà de lui-même, il est nécessaire de
voir évoluer cet homme notamment dans ses contextes philosophiques et
religieux.
L'homme de tout temps a regardé vers le haut, a levé les yeux au ciel, a conçu la
possibilité de divinités supérieures à l'homme, habitant d'autres lieux ou d'autres
dimensions, divinités possédant des pouvoirs supérieurs à lui-même.
Mais suivant les époques, les lieux, et les croyances, les hommes ont conçu
différentes formes de divinités.
De même de tous temps des hommes ont réfléchi sur les possibilités de la
création du monde en général, et de la Terre en particulier. Là aussi, les formes
d'élaboration sont diverses.
De tous temps des hommes ont réfléchi sur le comportement idéal humain, sur la
sagesse à atteindre, tant de la part de chaque individu, que de la part des
responsables de groupes et de peuple, tant pour lui-même que dans ses rapports
avec autrui et la société qui les abrite.
Beaucoup ont réfléchi sur l'évolution de l'homme vers des conceptions élaborées
de sa conscience, sur son devenir après le mystérieux passage de la mort.
Et l'homme a réfléchi sur bien des choses encore.
Les hommes ont eu des idées, ils ont reçu des idées émises par d'autres, et ils ont
façonné l'histoire de l'humanité. Cependant l'homme a façonné son histoire à
travers toutes les formes de violence, guerres, émeutes, carnages, tortures, etc.
Dès qu'une idées nouvelle apparaissait, des divergences se manifestaient, des
ramures différentes naissaient du tronc de cette nouvelle idée, de cette nouvelle
philosophie ou religion, (ce qui est légitime et normal), mais souvent ces
hommes ont voulu imposer leurs conceptions par la force, et en même temps
d'autres rejetaient les nouveautés par la force.
Nous allons faire le point, dans cet ouvrage, sur la naissance et le développement
d'une des formes de croyances qu'est le monothéisme mais vue sous un angle
ésotérique.
La plupart des éléments ésotériques qui m'ont permis d'élaborer ce schéma m'ont
été transmis par des êtres de Lumière qui se situent sur des plans cosmiques. Les
informations m'ont été transmises à travers 2 canaux spécialement préparés à
être en contact direct avec leurs hautes fréquences. Les connaissances qu'ils
possèdent et le champ élargi de leur vision des choses m'ont permis d'aborder
cette période de l'histoire spirituelle des hommes à travers un système de
compréhension qui était hors de notre portée.
Mais, avant de nous retrouver en Egypte ancienne, analysons ce que représente
la notion de monothéisme dans les divers systèmes de croyances.

25/04/2016

Pensée Zen... (6)

kôan,philosophe,homme,fleur,sourire,pensée,zen,amour,beauté,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreL'homme regarde la fleur,

la fleur sourit.

 

Kôan

07/04/2016

Rousseau, le philosophe...

rousseau,humaniste,philosophe,bonté,naturelle,homme,société,monde,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreRousseau et la bonté de l’homme : Une philosophie de la Nature


La philosophie de Jean-Jacques Rousseau constitue un immense édifice moral et politique. Depuis l’Emile jusqu’au Contrat Social, Rousseau présente sa vision de l’humanité, telle qu’elle devrait être et non telle qu’elle est.

Rousseau a en effet une profonde répugnance pour l’homme tel qu’il est. Sa philosophie est donc essentiellement réactive, réactionnaire par rapport à la société et à la modernité.

Dans le Discours sur l’origine des inégalités parmi les hommes, Rousseau développe une longue métaphore sur l’état de nature, l’état pré-civilisationnel. Il décrit cette période de l’humanité comme étant la plus heureuse. Dans l’état de nature selon Rousseau, l’homme est autosuffisant et cultive son bout de terre librement. Etre stupide, robuste et candide, l’homme naturel ne connaît ni le bien ni le mal et vit au présent, sans soucis des lendemains. Contre Hobbes, qui décrit l’état de nature comme un état de guerre, Rousseau fait de l’état pré-civilisationnel une époque de paix et défend le mythe du bon sauvage, pure face à l’homme civilisé perverti.

Cet état de nature idyllique étant posé, Rousseau décrit comment cet état a été rompu par la propriété. Un beau jour, raconte Rousseau, il se trouve quelqu’un pour affirmer son droit sur une terre cultivable : la propriété est née, et avec elle la déchéance de l’humanité. L’avènement de la propriété génère des inégalités et une concurrence nouvelle entre les hommes. La société civile est instituée, volant à l’homme son innocence.

Rousseau s’illustre par un profond pessimisme sur l’histoire en général et la civilisation en particulier, et un optimisme assez béat sur la nature humaine.

“Je voudrais qu’on choisît tellement les sociétés d’un jeune homme, qu’il pensât bien de ceux qui vivent avec lui ; et qu’on lui apprît à si bien connaître le monde, qu’il pensât mal de tout ce qui s’y fait. Qu’il sache que l’homme est naturellement bon, qu’il le sente, qu’il juge de son prochain par lui-même ; mais qu’il voie comment la société déprave et pervertit les hommes ; qu’il trouve dans leurs préjugés la source de tous leurs vices ; qu’il soit porté à estimer chaque individu, mais qu’il méprise la multitude ; qu’il voie que tous les hommes portent à peu près le même masque, mais qu’il sache aussi qu’il y a des visages plus beaux que le masque qui les couvre”

 

08/03/2016

Petite philosophie du soir...(16)

miroir,homme,meilleur,rambert,philosophe,soir,philosophie,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreMiroirs

 

Il n'est de meilleurs miroirs que les hommes.

 

Catherine Rambert

 

à suivre...

20/12/2015

Pensée du Jour...

pensée,philosophe,sartre,homme,inventer,chemin,sagesse,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreChaque homme doit inventer son chemin.

 

Jean-Paul Sartre

08/09/2015

L'homme sans costume...

prose,philosophique,spirituelle,homme,costume,kraly,écrivain,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreL’HOMME SANS COSTUME

 

L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait vêtu. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.

 

 

(Prose Philosophique et Spirituelle de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience")