16/03/2014
Ainsi se lève l'aube...
Ainsi se lève l’aube victorieuse, paisible et heureuse, sous la forme de corps flamboyants où de riches liens s’unissent. De ton imagination, tu en fais un dialogue et une saine nourriture de l’esprit en osmose avec les consciences actuelles… De celles qui s’échappent du cerveau par leur émanation naturelle et qui se dirigent vers les êtres de lumière. Bien que je me félicite de les voir ainsi voler tels des papillons vers leurs nids, par une sagesse souveraine, toutes ces luminescences sentent bon la connaissance et s’offrent le bonheur. Promesse de matins radieux sous un ciel tout bleu, j’implore, alors, votre patience pour ce défilé génial qui en ordre serré entrera dans ces esprits clairvoyants. Nul doute, on s’écoutera dire : « Elles sont en lieu sûr pour l’éternité qu’elles sachent en garder les substances essentielles à nos vies. » Semblables aux choses qui s’octroient un décor, ces luminescences seront les gardiennes des lieux. À nous d’en sauvegarder leurs âmes.
(Extrait de "Chemins existants" de Pôl Kraly - vient de paraître)
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05/03/2014
Chemins & Dialogues... (10)
Chemin… (10)
Aller vers le nid de notre conscience, chercher les sensations qui se formulent à notre spiritualité et voir partiellement les sujets à notre esprit. Les points à observer se veulent le pouvoir de constater la vivacité de notre inconscient à concentrer toutes les énergies positives qui siègent aux portes de nos pensées. La crédibilité des forces valorisantes d’apparaître se doit, à ne pas imager leurs existences propres au-delà des réflexions qui nous viennent des paradoxes de notre quotidien. L’objectivité s’illustre dans notre for intérieur, là où se fabrique ce que nous possédons de supérieur pour disperser ce clair-obscur pour les remplacer par des intensités lumineuses. La méditation conforte tout ce qui se diffuse à la base, pour mieux activer ces puretés éblouissantes, il suffit de les concentrer dans son esprit.
&
Dialogue… (10)
Les sensations deviendront belles lorsqu’elles se formuleront en pensées dans notre cerveau. Chercher à comprendre toutes les mollesses de ce que l’inconscient accumulera en lui nous préservera de toutes ses images sans fondement qui se bousculeront à sa porte. Là où se construira notre force, nous posséderons autant de feux éclatants et positifs dans notre conscience. Ces pensées se diffuseront à profusion, et elles dégageront autant d’énergies authentiques, et s’activeront dans notre esprit. Notre intelligence les suivra sur les routes prometteuses, vers où elles devront aller avec une puissance décuplée. Sachons les entretenir dans notre cerveau, dans un temps proche, elles participeront en nous à se libérer.
(Pensées & Réflexions in "Chemins & Dialogues" de Pôl Kraly - à Paraître)
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17/12/2013
Textes pour grandir... (2)
L’HOMME SANS COSTUME
L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.
(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")
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25/10/2013
Chemins escarpés... (18)
La création, comme support à nos vies latentes, se vit dans les pratiques auxiliaires de nos attentes spirituelles. Évocation de nos âmes, enfin, libres de s’aimer mutuellement et harmonieusement. Toutes actions s’accomplissant dans le mouvement parfaitement adapté aux situations les plus abracadabrantesques de l’existence, dans un ensemble ondulant sur lui-même. Dans cet espace approprié, les corps s’unissent d’une matière noble faite d’atomes et de molécules heureuses qui sous l’impulsion de celles-ci se recompose magiquement et de façon naturelles en un corps particulier. Dans cette symbolique de la matière devenant lumière, l’esprit intervient miraculeusement dans cet agglomérat inné. La représentation dorée de tout cela en fait un décor de rêve autour de nous, une fois, que ces éléments ont pris chair. Tout consiste à convoquer nos consciences avec les humains dans leur substance initiale, un nouveau cycle positif se juxtapose à la réalité de son environnement. Ainsi s’invente la mouvance sereine de l’être dans l’équilibre magnifique de son apothéose à renaître dans la pureté architecturale de lui-même. La conscience vient à dire : « Que la beauté des êtres est faite de cette lumière qui brille dans l’élégance des âmes qui s’y raccordent ». La photogénie, alors, de l’humanité s’inscrit dans la concordance des lieux dans une séduction comblée de nos cœurs en émois.
(Pensées philosophiques et spirituelles inédites de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître)
à suivre...
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29/09/2013
Chemins escarpés... (24)
Tout est question de transes pour se projeter dans l’au-delà. Nos consciences, ainsi, vont dans le sens même de la création. Tout s’explore par la reconnaissance, de notre propre regard sur nous ; de ces effervescences jaillissantes toujours dans le rythme et l’impulsion à exister en dehors de soi-même. C’est l’unique force conjuguée au recueillement méditatif que nous faisons à l’intérieur de soi, ici commence la visualisation de tous les rituels que fabrique notre imagination. L’importante phase initiale et tellement exigeante de concentration de nous et de ceux qui pratiquent cette transe secrète et essentielle. C’est la renaissance qui s’évapore lorsque le corps le demande de s’extirper toute cette accumulation profonde et motivante. Nourriture d’une recherche intime avec soi, tu dois en connaître la saveur extrême et pouvoir l’expliquer à ta conscience. Nul doute que cela sera persuasif à ton être, car elle saura à l’origine d’une métamorphose intelligente de ton esprit ouvert. Ne cherche pas à la comprendre, laisse là te guider instinctivement dans les pulsions qu’elle veut bien te donner. Les influences que tu vivras auront des effets bénéfiques à ton intelligence, car ce mysticisme en favorisera la personnification narcissique, tu t’en trouveras tristement exclu, mais sache que cette transe sera le feu qui t’anime.
(Pensée philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître)
à suivre...
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