28/01/2013
Astuces feng shui... (19)
Un sentier sinueux vers la porte d'entrée :
Placez neuf pierres de gué rondes le long d'un sentier sinueux allant vers votre porte d'entrée. C'est là l'un des conseils de base du Feng shui taoïste, car l'image de neuf pièces de monnaie est considérée comme un puissant signe de richesse. Ce conseil est semblable à celui d'avoir neuf pièces de monnaie chinoises attachées avec un fil rouge dans le porte-monnaie pour que l'argent soit toujours disponible.
(Extrait de "365 Astuces feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)
à suivre...
05:03 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : feng shui, réflexion, monnaie, sentier, sinueux, taoïste, richesse, disponible, comprendre, savoir, intelligence
27/01/2013
La Petite note de Franck... (50)
Comment va le monde ? Je serais tenté de dire « Il va »... Et c’est bien là le problème, il va doucement vers ses agitations que je qualifierais de préoccupantes. Voilà que le Premier ministre anglais veut quitter le navire de L’Europe, j’y vois le côté insulaire des Anglais trop attachés à leur île, ce qui avait fait leur force par le passé. Je vois sur la carte du monde, ce petit bout détaché du reste du continent. Le mot « détaché » a pour moi son importance et dans le dictionnaire voilà ce que l’on dit de ce mot :
Qui n’est pas attaché. Attention, ce chien est détaché.
Figuré – Qui a ou qui manifeste du détachement, de l’indifférence. Elle est détachée du monde. Son air était désinvolte, son ton détaché.
Le sens figuré me plaît bien, et je vois là toute l’ambiguïté des Anglais et surtout de Monsieur Cameron. Mais il faut qu’il sache ce Monsieur qu’il y a quelques années son petit bout d’île fût rattaché à nous et que les plaques tectoniques fracturaient en deux morceaux le continent. Je voudrais dire à monsieur le premier Ministre que ce lien qui nous unissait autrefois était le fait d’être ensemble, de s’unir devant les autres forces économiques du reste du monde. Messieurs les Anglais ce n’est pas bon de vouloir quitter le navire. Décidément, j’ai parfois du mal à vous comprendre, L’Europe a besoin de vous comme vous avez besoin de nous, et ne prenez pas ces airs désinvoltes à l’égard de nous les Français, mais aussi des Européens. Sachez que l’on est plus fort à être ensemble !
À bon entendeur, salut !
(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : note, franck, réflexion, anglais, île, comprendre, europe, préoccupation
26/01/2013
Zénitude... (17)
Vous avez la gorge nouée :
Assis(e) sur une chaise, les deux pieds bien à plat sur le sol, penchez-vous en avant, les coudes et les avant-bras posés sur vos cuisses. laissez pendre vos deux mains entre vos genoux. Les yeux fermés, respirez lentement en vous concentrant sur la sensation d'ouverture et de fermeture de votre glotte. Au bout d'une minute, vous sentirez votre larynx se décrisper et se libérer. Cet exercice très simple et rapide est excellent lorsque vous avez une épreuve à affronter.
(Extrait de "Petit cahier d'exercices pour rester zen dans un monde agité" de Erik Pigani - Ed. "Jouvence" - 2010)
à suivre...
04:50 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : zen, respiration, mental, gorge, exercices, réflexion, comprendre, savoir, angoisse
25/01/2013
Santé & Cosmo Tellurisme... (15)
La programmation du mental :
La programmation du mental consiste à imprégner son subconscient d'une idée, d'un but pour que cette idée se matérialise concrètement selon certaines lois. Si vous voulez devenir un bon radiesthologue, vous devez, dès aujourd'hui, être ce bon radiesthologue. Vos pensées doivent être celles de ce radiesthologue de demain, celles de celui qui a atteint son but.
Commencez par faire une petite recherche en vous :
- Pourquoi voulez-vous faire de la radiesthologie ?
- Voulez-vous devenir un radiesthologue ?
- Etes-vous prêt de faire des exercices quotidiens ?
Si vous considérez la radiesthologie comme un jeu passager, une curiosité, cantonnez-vous aux exercices de développement des énergies magnétiques et appliquez l'hygiène et la programmation mentale. Ces exercices vous permettront de devenir un être qui se situe nettement au-dessus de la moyenne.
(Extrait de "Santé et Cosmo Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)
à suivre...
04:48 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cosmo, tellurisme, radiesthologie, réflexion, comprendre, savoir, mental, programmation, conscience, intelligence
24/01/2013
Dieu, les extraterrestres et nous...
08:24 Publié dans culture | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dieu, les extraterrestres, nous, réflexion, émission, lcp, lenoir, coppens, comprendre, savoir, religions
21/01/2013
Poème du jour...
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05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, maupassant, réflexion, nuit, neige, plaisir, texte, poète, écrivain
19/01/2013
Vieillir, c'est chiant...
« Vieillir, c’est chiant. J’aurais pu dire, vieillir, c’est désolant, c’est insupportable, c’est douloureux, c’est horrible, c’est déprimant, c’est mortel. Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.A toutes fins utiles !
A mes vieux amis, dont le cerveau est toujours jeune !
Un très beau texte de notre ami Bernard Pivot. Cela fait du bien
de lire pareille chose ! !
Extrait de son livre paru en avril 2011:
Les mots de ma vie.
Vieillir, c'est chiant. J'aurais pu dire: vieillir, c'est désolant, c'est
insupportable, c'est douloureux, c'est horrible, c'est déprimant, c'est
mortel. Mais j'ai préféré « chiant » parce que c'est un adjectif
vigoureux qui ne fait pas triste. Vieillir, c'est chiant parce qu'on ne
sait pas quand ça a commencé et l'on sait encore moins quand ça
finira. Non, ce n'est pas vrai qu'on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant. On était bien
dans sa peau. On se sentait conquérant, invulnérable. La vie
devant soi. Même à cinquante ans, c'était encore très bien. Même
à soixante. Si, si, je vous assure, j'étais encore plein de muscles, de
projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps j'ai vu dans le regard
des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l'âge qu'ils
ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté,
même à la marge.
J'ai lu dans leurs yeux qu'ils n'auraient plus jamais d'indulgence à
mon égard. Qu'ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais
impitoyables. Sans m'en rendre compte, j'étais entré dans
l'apartheid de l'âge. Le plus terrible est venu des dédicaces des
écrivains, surtout des débutants. « Avec respect », « En hommage
respectueux », Avec mes sentiments très respectueux. Les salauds !
Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur
stylo plein de respect? Les cons ! Et du « cher Monsieur Pivot »
long et solennel comme une citation à l'ordre des Arts et Lettres qui
vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c'était la première fois, une jeune fille s'est
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira. Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais si jeune si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant, invulnérable.
La vie devant soi.
Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre temps – mais quand - j’ai vu dans le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs mais impitoyables.
Sans m’en rendre compte, j’étais rentré dans l’apartheid de l’âge.
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect », « en hommage respectueux », « ave mes sentiments très respectueux ». Les salauds !
Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ? Les cons ! Et du « Cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche 10 ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place. J’ai failli la gifler. Puis la priant de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout a-t-elle répondu embarrassée. J’ai pensé que… »
Moi aussitôt : « Vous pensiez que ?... »
Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous asseoir.
Parce que j’ai les cheveux blancs ?
Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âge que moi, ça a été un réflexe, je me suis levée…
Je parais beaucoup plus âgé que vous ?
Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge…
Une question de quoi alors ?
Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…
J’ai arrêté de la taquiner, l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est dans la mesure du possible, ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages, ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni à la sexualité, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire des heures exquises.
C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve, la musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir , rêveur, dans un fauteuil, en écoutant soit l’adagio du concerto n° 23 en la majeur de Mozart, soit, du même, l’andante de son concerto n° 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés.
Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement.
Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années ? En mois ? En jours ?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge ? Non, Mozart. »[2]
Ce texte de Bernard Pivot nous a paru la plus jolie illustration de la réflexion sur la vieillesse. Il nous a semblé utile de chercher à en savoir un peu plus sur l’âge avancé que les stéréotypes réducteurs traités par les médias, et qui concernent principalement la dépendance.
La vieillesse fait peur. Elle est synonyme de perte : de pouvoir d’achat, de force physique, de séduction…et d’isolement, elle conduit la majorité d’entre nous à battre en retraite. Elle réserve pourtant ses plaisirs propres, comme toute autre époque de la vie. Cette période dégagée des contraintes de la productivité peut être celui des satisfactions de l’humanisme. Le constat accablant établi en 1970 par Simone de Beauvoir semble loin derrière nous. Les progrès conséquents en tout genre (santé, droits sociaux, retraite, évolution des mentalités…) ont abouti à un allongement sans précédent de la vie. Les Seniors, dans la troisième partie de leur vie, sont très actifs en vérité. Ils ont juste changé d’activités, abandonnant les contraintes de la productivité pour les joies de l’intérêt général ou particulier.
Nouveauté dans l’histoire de l’humanité, en France une personne sur quatre aura plus de 60 ans en 2020. Cette proportion augmentera encore selon les projections de l’Insee pour passer à une sur trois en 2060. (cf données chiffrées en fin de document). Ce phénomène a de nombreuses répercussions dans tous les domaines de la vie : économique, santé, relations…
Les personnes âgées de 60 ans ont encore statistiquement plus de 20 ans de vie devant elles.
Dans quelle dynamique sommes-nous à notre propre égard ? Dans quelle dynamique sont les autres à l’égard des « vieux » ? Comment penser l’avenir ?levée pour me donner sa place. J'ai failli la gifler. Puis la priant
de se rasseoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je
lui étais apparu fatigué. « Non, non, pas du tout, a-t-elle
répondu, embarrassée. J'ai pensé que… »
Moi aussitôt : «Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait
plaisir de vous asseoir. Parce que j'ai les cheveux blancs? Non,
c'est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que
moi, ça été un réflexe, je me suis levée…
-- Je parais beaucoup, beaucoup plus âgé que vous? Non, oui,
enfin un peu, mais ce n'est pas une question d'âge…
--Une question de quoi, alors ? Je ne sais pas, une question de
politesse, enfin je crois…» J'ai arrêté de la taquiner, je l’ai
remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où
elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c'est, dans la mesure du possible, ne
renoncer à rien. Ni au travail, ni aux voyages, ni aux spectacles,
ni aux livres, ni à la gourmandise, ni à l'amour, ni à la sexualité,
ni au rêve.
Rêver, c'est se souvenir tant qu'à faire, des heures exquises. C'est
penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent. C'est laisser son
esprit vagabonder entre le désir et l'utopie. La musique est un
puissant excitant du rêve. La musique est une drogue douce.
J'aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant soit l'adagio
du Concerto n° 23 en “la-majeur“ de Mozart, soit, du même,
l'andante de son Concerto n° 21 en “ut-majeur“, musiques au bout
desquelles se révéleront à mes yeux pas même étonnés les paysages
sublimes de l'au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons
prendre notre temps. Avec l'âge le temps passe, soit trop vite, soit
trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre
capital. En années ? En mois ? En jours ?... Non, il ne faut
pas considérer le temps qui nous reste comme un capital. Mais
comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut
jouir sans modération.
Après nous, le déluge ?...Non,
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