Allez les yeux invisibles vers le beau.

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09/07/2013

Pensée du Jour...

Unknown.jpeg“ Le paradis n'est pas sur terre, mais il y en a des morceaux. Il y a sur la terre un paradis brisé. ”

Jules Renard

08/07/2013

Trois maîtres de vie... (10)

images-1.jpegLa question du bonheur véritable, de la vie juste, du sens de l'existence, s'est posée pour moi assez tôt. J'étais adolescent. La lecture des dialogue de Platon fut une véritable révélation. Socrate y parlait de la connaissance de soi, de la recherche du vrai, du beau, du bien, de l'immortalité de l'âme. Il abordait sans détours des questions qui me paraissait convaincante, à l'inverse des réponses toutes faites et insatisfaisantes du catéchisme de mon enfance. Et puis, quelques années plus tard, je devais avoir seize ans, ce fut la découverte de l'Inde et particulièrement du Bouddha. Divers ouvrages initiatiques et romanesques - siddharta de Herman Hesse ou Le Troisiéme Oeil de Lobsang Rampa - me conduisirent à un remarquable petit ouvrage : L'Enseignement du Bouddha d'après les textes les plus anciens, de Walpola Rahula. Nouveau déclic : le message du Bouddha me parlait autant que celui de Socrate par sa justesse, sa profonde cohérence, sa rationalité, son exigence pleine de douceur. J'aurais pu en rester là, tant que ces deux maîtres nourrissaient mon esprit. Pourtant, j'allais bientôt faire une troisième rencontre décisive : à dix-neuf ans j'ouvris les Evangiles pour la première fois. Je tombai par hasard sur l'Evangile de Jean, et ce fut un choc profond. Non seulement les paroles de Jésus s'adressaient à mon intelligence, mais elles touchaient aussi mon coeur. Je mesurai alors le décalage parfois abyssal entre ses paroles d'une incroyable audace qui libèrent l'individu en le responsabilisant et le discours moralisateur de tant de chrétiens qui enferment l'individu en le culpabilisant.

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à Suivre...

05/07/2013

Chemins escarpés... (13)

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De la sagesse innée laisse entrevoir ce que tu peux deviner à travers ta conscience comme science de l’esprit. Par-delà, ces choses que tu perçois capte ton intelligence aux intransigeances de tes désirs les plus profonds. Fait de cette sage expérience, le fruit des aspirations à reconnaître le bon grain de l’ivraie épouse les supplices émanant de ton inconscient par des chants inspirés, comme si tu proférais tes actes suprêmes. Négocie ces biens accumulés comme des trésors multiples et variés, sache entretenir cette paisible réalité, de cette représentation s’éveilleront de clairs enseignements, d’une énergie plus dynamique que tu le penseras. Cela sera une saine délivrance ouverte aux âmes protectrices dont se dégagera une intensification de ta lucidité ; alors une idée sous-jacente naîtra des eaux calmes de ton cœur par un sourire. De cette idée se fécondera un monde plus accessible, plus construit, plus noble, plus beau. De cette naissance, la clarification des déités perçues volera en éclats de joie comme la reconnaissance promise de ce monde attendu.


(Poème inédit de Franck Roy in "Chemins escarpés" à paraître)


à suivre...

Astuces Feng shui... (28)

Cours d'eau passant devant la maison :

 

images-1.jpegPour les maisons orientées vers des directions secondaires (en regardant depuis l'intérieur), l'eau doit couler de droite à gauche. Dans le cas des maisons orientées vers des directions cardinales, l'eau doit passer de gauche à droite. Si l'eau d'un grand fossé voisin de la maison coule vers une direction erronée, bloquez sa vue depuis votre porte d'entrée.

 

(Extrait de "365 astuces Feng shui " de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)


à suivre...

03/07/2013

La Petite note de Franck... (54)

Unknown.jpegSuis-je un optimiste béat, un doux rêveur (comme le pensent mes amis) pour résumer un utopiste ? Je ne pense pas être la seule personne au monde qui imagine que ça bouge positivement à travers la planète. Je vois chaque jour des initiatives heureuses et conscientes à chaque coin du globe. Tenez, par exemple, l’écologie fait un grand « boum » dans les têtes et je vois, moi qui regarde ou écoute les reportages ou documentaires, une prise de conscience individuelle ou collective de la population pour améliorer le sort de la planète. Même des actes de solidarité ou des effets de bon sens que des gens apportent au quotidien pour une aide salutaire. Ou d’autres initiatives pour parfaire un bien-être immédiat pour que cela aille mieux pour nous tous. Les grincheux ne cesseront pas de nous dire que tout va mal, que ce monde va à sa perte, mais ne voient pas ou ne cherchent pas à voir (ce qui est plus grave) ces choses positives. Non, je ne suis pas pessimiste pour notre avenir et arrêtons de voir le mal partout. Mais il est sûr qu’il y a beaucoup à faire pour que ça change radicalement, laissons le temps au temps pour nous permettre de vivre mieux. En tout cas, la conscience humaine est en marche pour ce changement-là ! Utopiste même dans mes écrits, je veux être, je suis l’auteur d’un roman (publié il y a 5 ans à compte d’auteur) qui s’intitule « Ce que doivent être les choses » où je raconte le monde en 2081, un monde fait de conscience, de bon sens et d’intelligence dont les rapports humains se dévoilent au fil du roman et nous font comprendre les connexions entre les êtres aussi bien des humains, des végétaux et même de toutes les intelligences du cosmos  ! Je vous invite à lire ce beau roman (que j’ai envoyé aux Maisons d’Édition) sur mon blog, (un petit rappel pour une lecture judicieuse) oublier les cinq premières pages et commencer l’ouvrage au chapitre « Éveil à la nourriture des choses »…


Demain, est devant nous, il suffit d’y croire !


(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)


à suivre...

01/07/2013

Poème du jour...

desnos,poète,écrivain,poésie,détente,coteau,réflexionDerrière ce coteau la vallée est dans l’ombre,
L’odeur du bois qui flambe et de l’herbe parvient
Jusqu’au désert présent, lueurs et rocs sans nombre,
Avec des cris d’enfant et des abois de chien.

Les cris sont déchirants de l’enfant qu’on égorge.
Le chien appelle en vain. Un sort est sur ces lieux.
Rien n’est réel ici que cette odeur de forge
Qui nous berce et nous saoule et nous rougit les yeux.

L’aube peut revenir et le soleil nous prendre.
En vain : les aboiements et les cris perceront
L’épaisseur de la nuit, l’épaisseur de la cendre
Qui remplissent nos cœurs, qui brûlent sous nos fronts.

28/06/2013

Chemins escarpés... (12)

images-1.jpegVers les pouvoirs de la vie où s’ouvrent de multiples chemins, chemin de la connaissance, chemin de la recherche en soi, chemin de la conscience et d’autres…  Mais c’est sur le chemin de la conscience que je veux m’arrêter, car IL est à lui seul le plus lumineux c’est celui qui t’élève au sein de l’espace par le mudrã, comme une danse spirituelle alors tes neurones se font les danseurs de ton esprit en mutation. Toutes les transmissions détentrices du savoir s’exposent alors à la richesse de ton intelligence en perpétuel mouvement. De cela, l’émergence de ce qui régit ton corps à toutes ses cellules qui activent avec force et détermination tout le fonctionnement organique de celui-ci en fait résolument une matière libérée. De cette matière en fusion, les imprégnations et déploiements de toute la vitalité sereine de ton être se terminent par un charmant sourire comme pour conclure une phrase que tes lèvres sensuelles dégagent.

 

(Poème inédit de Franck Roy in "Chemins escarpés" à paraître)

à suivre...