Allez les yeux invisibles vers le beau.

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11/08/2015

Vient de Paraitre...

Vient de Paraître :

 

(en version numérique chez Kindle Edition sur Amazon  en téléchargement au prix de 2,99 Euros)

 

de

Pôl Kraly

 

"C'est l'histoire de Lôl (le narrateur), Prat, Avia, Nyad et Lian en 2031. Les héros de ce récit vont prendre conscience que tout ce qui harmonise cette vie, ils le doivent à la conjonction des êtres et du cosmos. Que tout est intimement lié, que nos rapports aux destins et aux âmes se connectent par des ondes, mais aussi par notre magnétisme. Ces personnages vont apprendre à s'apprécier, à se connaître davantage mais surtout ils vont comprendre "Ce que doivent être les choses" dans la société de leur époque. Ainsi les protagonistes de cette aventure vont être au coeur des mystères et des lois qui déterminent leur connaissance de soi, pour mieux capter les événements qui, autour d'eux, évoluent.

 

Ce roman pose la question : la conscience ne serait-elle pas le moteur qui anime le mouvement cognitif des choses à l'élaboration d'un monde qui se crée, dans la similitude de toutes existences ?"

 

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10/08/2015

Sagesse de la Conscience... (14)

CE BEAU VOYAGE

 

            voyage,prose,philosophique,spirituelle,pouvoir,connaissance,soi,altruisme,kraly,écrivain,comportement,évolution,monde,choix,grandir,réflexion,comprendre,savoir,connaîtreGrâce au pouvoir que nous avons au fond de nous, il nous faut gravir les mots que nous formons en soi. À savoir que l’espace-temps demeure le meilleur de la vie éternelle et par delà créer à notre conscience un abri nécessaire pour que notre âme puisse choisir l’endroit le plus sûr de notre cerveau pour organiser tout cela. De la joie à venir pour tout le monde sans exclusion, car il est temps de formuler ce vœu qui se fera par le sourire, celui qui viendra du cœur pour semer une plantation d’amour immense et profond aux yeux des plus grands nombres dont les cœurs sont en attente de recevoir ce sourire ? Car il est évident, qu’il viendra sous une pluie d’amour intense flirter avec nos âmes avec un délicieux parfum de bonté ! Tout d’abord, théorie première, il faut rassembler tout ce qui nous semble nécessaire pour l’accomplissement de soi vers les autres, faire de son travail personnel un choix délibéré de libérer l’autre de sa camisole intérieure qui l’emprisonne, cela se fait naturellement dans notre façon d’être, de notre altruisme qui fera évoluer les choses. Mémorisez en nous des livres entiers d’amour qui ne demande qu’à s’extérioriser dans chacun, du fait de notre nature unique et dans une parfaite connaissance de soi, principe authentique d’une vérité inconsciente au départ, mais qui deviendra consciente à l’arrivée ? Pour que ce beau voyage commence à l’intérieur de nous, par la seule force la plus fiable qui nous habite, celle qui nous vient du divin.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience") 

 

à suivre...

06/08/2015

Pensée du Jour...

atlas,confiance,droit,homme,pensée,écrivain,philosophie,devenir,réflexion,comprendre,savoir,connaître“Faire confiance doit devenir un droit de l'Homme.”

Jacques Attali

05/08/2015

Poème du jour...

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Daphnis et Chloé

 

Dans un nouveau parentage, 
Te souviendras-tu de moi ? 
Ah ! je te laisse pour gage 
Mon serment, mon coeur, ma foi.

Me reviendras-tu fidelle ? 
Seras-tu toujours mon Berger ? 
Quelque destin qui m'appelle, 
Mon coeur ne saurait changer.

Ah ! sois-moi toujours fidelle !
Je serai toujours ton berger.

 

Jean-Jacques Rousseau

16/07/2015

Sagesse de la Conscience... (13)

Prose,philosophique,spirituelle,kraly,écrivain,monde,conscience,pensées,dialogue,télépathie,sagesse,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreUN MONDE PAR NOTRE CONSCIENCE

 

Il y a de l’air à respirer dans une nature reconquise, prévoir que sa force propre est de pouvoir exister en nous et vous comprendrez l’immense joie que cela procure. Quoi de plus radieux qu’un soleil qui se couche pour mieux s’éveiller le lendemain ? Je vous invite à demeurer un brin rêveur, de laisser échapper votre conscience vers ses territoires étonnants. Il nous faut communiquer par le dialogue, par la télépathie..., cette dernière apparaît forte et riche d’un service hautement important de nos jours, car elle permettra de fédérer nos pensées tous azimuts. Pondérer nos ardeurs renforcera tous nos canaux cérébraux qui fonctionneront alternativement lorsque les pensées afflueront par des énergies nouvelles. Comprendre, « ici et maintenant », dans l’harmonie des choses de notre cerveau, cela facilitera le positif des situations des demandes engendrées. Être responsable de son esprit constitue le meilleur assortiment à tout contrôle bienveillant de celui-ci par rapport à l’expression qu’il fournira en qualité de pensées. Après, il n’y a plus qu’à concilier le geste et la parole qui fera émerger des actes cohérents et en osmose avec soi-même. Mieux dans notre corps nous avancerons sur des « terres » sereines qui apporteront à notre conscience ce qu’il y avait de mieux à vivre sur cette planète pour nourrir nos appétits de savoir et de concevoir le meilleur pour la nature.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience")

 

à suivre...

07/07/2015

Pensée du Jour...

renard,pensée,énergie,dépense,améliorer,écrivain,philosophie,réflexion,comprendre,savoir,connaître“C'est bon de ne pas regarder à la dépense de son énergie !”

 

Jules Renard

05/07/2015

Cadeau du Jour... (8)

Article écrit par Jean-Mi.

Dans la série des romans adaptés en films, aujourd’hui : La rivière du sixième jour de Norman Maclean, adapté par Robert Redford en 1993 sous le titre Et au milieu coule une rivière.

Pour mémoire, la précédente mention de livre adapté en film, c’était pour Légendes d’automne dans l’article consacré à Jim Harrison. Le film de Edward Zwick avait donné autre chose que ce à quoi pouvait s’attendre le lecteur fan de Harrison. Aujourd’hui, le film de Redford laisse un avis sensiblement différent.

Rappelons d’abord en quelques lignes, les similitudes de ces deux histoires, avec lesquelles il serait aisé d’ajouter L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux ; sans doute en parlerons nous un autre jour. Légendes d’automne et La rivière du Sixième jour ont certains points de ressemblance qu’il est intéressant d’énumérer.
Tout d’abord, le lieu commun aux deux textes : le Montana. Légendes d’automne se déroule près de la frontière nord de l’état, quand La rivière du Sixième jour évoque Missoula, Helena, Wolf Creek, des villes du centre de l’état.
Dans chacun des deux ouvrages, la nature joue son propre rôle. Au coeur de l’intrigue, et jusqu’au titre pour La rivière du Sixième jour, la nature est l’un des principaux protagonistes. Nous l’avions déjà remarqué dans l’oeuvre de Jim Harrison et de beaucoup des auteurs des écrivains du Montana, reconnus sous l’expression Montana Connection, ou à tort, Ecole du Montana, dont Harrison et Maclean font partie.
L’époque est commune à Légendes d’automne et à La rivière du Sixième jour. L’entre-deux-guerres. Légendes d’automne commence avec le départ des trois frères Ludlow pour la Première guerre mondiale, et termine, en gros, entre la fin de la Prohibition et les années 70, à l’heure où Harrison rédigeait sa nouvelle. Dans La rivière du Sixième jour, l’action se déroule dans les années 30, mais la narration évoque également le passé et le « futur », dans les années 60, à l’heure où l’auteur regroupe ses souvenirs pour les coucher sur papier.
Enfin, les deux films convoquaient Brad Pitt dans l’un des rôles principaux.

J’ai toujours eu du mal à définir le film Et au milieu coule une rivière. Entré dans mon panthéon des films « fleur bleue » dès mon jeune âge, avec Légendes d’automne justement, mais aussi Les enfants du marais (entre autre adaptation de roman, mais je m’égare), Et au milieu coule une rivière a longtemps été un film que j’ai aimé voir et revoir, même si je devais en passer par la VF pour cela. Je ne crois pas me planter en disant que c’est un beau film, mais que le roman dont il est adapté est tout simplement magnifique.
Revenons à l’histoire. Norman Maclean rassemble ses souvenirs. Au début du récit il narre la vie de famille, l’enfance, leur père pasteur presbytérien très « collet monté », l’apprentissage de la vie et l’amour à travers les prismes de la pêche à la mouche et de la religion.

Ainsi l’illustre ce court extrait du début du récit : « Il [le père] nous avait expliqué, à mon frère et à moi, que les disciples de Jésus étaient tous des pêcheurs, nous laissant entendre – ce dont nous étions intimement persuadés tous les deux – que les meilleurs pêcheurs du lac de Tibériade étaient tous des pêcheurs à la mouche, et que Jean, le disciple préféré, pêchait à la mouche sèche. »

Au fil de la lecture, les souvenirs de Maclean se concentrent progressivement sur ce qui a fait le drame de sa vie et de celle de ses parents, la mort de son frère Paul. Il ne l’aborde pas frontalement, mais tourne autour du pot pendant un moment, y faisant allusion et, enfin, l’annonçant, vers le milieu du récit. Le reste de l’histoire n’est plus tendu que vers les derniers moments du narrateur avec son frère Paul.
Ce qui au début n’était montré que comme un simple livre de souvenirs, aborde en fait la question de la perte et de la culpabilité face à la mort d’un proche. Cette question entête l’écrivain pendant les dizaines d’années séparant le drame de la rédaction du livre, et son père souffrant lui aussi d’être hanté. Ce livre est comme un carnet de deuil ; après l’écriture de son trauma, il pourra reprendre une vie normale, ou, réconcilié avec lui-même, il pourra enfin, à son tour, mourir, apaisé.

C’est un court roman magnifique. En-dehors des détails techniques liés à la pratique de la pêche à la mouche, pratique à laquelle je ne suis pas familier, l’expression des sentiments et des émotions du narrateur est très bien décrite. Dans le film, cette voix-off entêtante, du début à la fin, reprend le texte de l’écrivain et module un temps pour les actions et un temps pour les dialogues.

La rivière du Sixième jour de Norman Maclean, et aussi : Montana 1919 et La part du feu, tous des souvenirs de l’écrivain, tous chez Rivages, et en poche.

 

Une fois prochaine, je causerai d’un autre auteur de la Montana Connection, et pas des moindres : James Crumley.