Allez les yeux invisibles vers le beau.

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22/03/2015

Chemins & Dialogues (extrait)...14

images-1.jpegChemin… (14)

             Il est certain qu’il nous reste dans la conscience cette chose si belle à percevoir ; sainte image de ce ciel à découvrir comme récompense à ce qu’elle germe comme une pensée au soleil. Cherchons à connaître sa langue propre à son existence qui sommeille en nous comme un spectacle serein, dès lors que nous en maîtrisons son verbe... La vie s’ouvrira, alors, comme une fleur et s’épousera à toutes les chances extraordinaires. Là se place la vérité. Demeurer dans le positif, se savoir en quête de cela, se mouvoir à cette idée que le sens crée la réalité et fait naître l’espoir. Toutes les situations heureuses possèdent une histoire saine et fortifiante qu’il nous faut comprendre. Ce langage universel auquel je crois vient de cette présence qui s’adapte le mieux à l’élévation de l’esprit par le cœur. Cela se conjugue et s’ajuste à nos âmes.

 

&…

 

 Dialogue… (14)

 

            La conscience vit d’une pensée positive où se cachent d’autres amies authentiques, celle-là se situe près du cœur. Dans sa parole, un langage se propose de nous connaître, il se veut universel et commode d’accès. Sa propre facilité tient à ce qu’il nous arrive par sa lucidité. Son message se désire et s’ouvrira à nous comme une fleur dès lors que nous aurons aspiré à ce qu’il habite en nous. Cherchons à créer son existence, sa vie demeure dans nos cœurs et notre esprit. Sachons lui donner une adorable lumière pour qu’il puisse chanter à notre voix. Il s’amusera à nous dire que les beaux voyages sont à approfondir vers l’élévation de nous-mêmes.

 

 

(Pensées philosophiques & spirituelles inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître) 

 

 

à  suivre...

 

 

 

 

29/01/2014

Voyage au pays des âmes... (2)


Chamanisme ou le voyage au pays des âmes 2/5

15/01/2014

Voyage au pays des âmes... (1)


Chamanisme ou le voyage au pays des âmes 1/5

07/03/2013

Petit traité de vie intérieure... (6)

lenoir,réflexion,philosophie,comprendre,savoir,âmes,intelligence,coeur,livreCe petit traité est donc le fruit d'une réflexion personnelle élaborée à partir des courants de sagesse philosophiques d'Orient et d'Occident, de la spiritualité chrétienne libérée de sa gangue normative et de la psychologie des profondeurs. Je n'ai pas d'autre ambition que d'offrir ce qui m'a aidé à vivre et à ma construire. Afin de rendre la lecture de ce livre accessible au plus grand nombre, j'ai choisi de l'élaborer en deux temps. Il est né sous forme d'un enseignement oral, puis j'ai retravaillé le texte qui conserve néanmoins la trace de cette oralité. Ce que je transmets ici relève davantage de l'expérience :

celle tout d'abord des sages dont je m'inspire et que je cite souvent, la mienne ensuite, que, malgré bien des réticences, il m'était difficile de ne pas exposer. Car, comment parler de vie intérieure en évitant de parler de soi ? Qu'il soit clair cependant que je ne me considère en rien comme un modèle : je conserve des parts d'ombre et je ne parviens pas toujours à mettre en pratique les enseignements que j'évoque ici. Ce qui est certain, c'est que je suis aujourd'hui beaucoup plus lucide, apaisé et, tout compte fait, plus heureux que je ne l'ai été dans le passé. Puisse ce petit livre aider d'autres âmes en peine et en quête de lumière à comprendre que l'amour est proche, que la liberté intérieure peut advenir, que la joie est là. Il suffit d'ouvrir les yeux de l'intelligence et du coeur pour les découvrir.

 

(Extrait de "Petit traité de vie intérieure" de Frédéric Lenoir - Ed. "Plon" - 2010)

 

à suivre...

03/02/2013

Poème du jour...

À des âmes envolées.

images-3.jpegCes âmes que tu rappelles, 
Mon coeur, ne reviennent pas. 
Pourquoi donc s'obstinent-elles, 
Hélas ! à rester là-bas ?

Dans les sphères éclatantes, 
Dans l'azur et les rayons, 
Sont-elles donc plus contentes 
Qu'avec nous qui les aimions ?

Nous avions sous les tonnelles 
Une maison près Saint-Leu. 
Comme les fleurs étaient belles ! 
Comme le ciel était bleu !

Parmi les feuilles tombées, 
Nous courions au bois vermeil ; 
Nous cherchions des scarabées 
Sur les vieux murs au soleil ; 
On riait de ce bon rire 
Qu'Éden jadis entendit, 
Ayant toujours à se dire 
Ce qu'on s'était déjà dit ; 

Je contais la Mère l'Oie ; 
On était heureux, Dieu sait ! 
On poussait des cris de joie 
Pour un oiseau qui passait.



Victor Hugo.