Astuces Feng shui... (47)

Plusieurs niveaux sont déconseillés :

 

Mieux vaut éviter d'avoir plusieurs niveaux dans la maison. Un rez-de-chaussée présentant des dénivellations suggère l'instabilité. Toutefois, si vous vivez dans une maison comportant plusieurs étages, assurez-vous que la salle à manger est située au niveau le plus haut. Si la maison est à flanc de colline, les chambres doivent être situées aux étages supérieurs et la cuisine au niveau le plus bas.

 

(Extrait de "365 astuces Feng shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)

 

à suivre...

Santé & Cosmo Tellurisme... (27)

La spiritualité :

 

 

La spiritualité est enseignée dans les écoles ésotériques et bibliques. Si la spiritualité est un enseignement, c'est aussi un état d'âme ; c'est l'évolution de l'esprit vers des sphères de conscience cosmique, vers une élévation divine.

La spiritualité est un état intérieur exprimé par certains effets. Un être hautement élevé porte sur son extérieur un rayonnement de pureté et une imprégnation de paix et de sérénité.

La spiritualité ne s'acquiert pas, elle est souvent le résultat d'une vie équilibrée, harmonieuse. Elle est la résultante d'une paix et d'un équilibre intérieur qui suscitent l'harmonie et l'équilibre autour de soi.

- Accéder à la spiritualité nécessite avant toute chose du Silence, autour de soi et en soi.

- Accéder à la spiritualité nécessite une prise de conscience et une étude de soi, une recherche en soi, une notion d'Equilibre. Un face à face avec soi s'impose pour recevoir et concevoir la notion d'Equilibre. Cette recherche de la voie de l'équilibre passe par une descente au fond de soi.

- Accéder à la spiritualité nécessite de la méditation. Arrêtez-vous dans la tempête du rythme de vie qui vous est imposé (ou que vous vous laissez imposer) et prenez le temps de méditer sur vous-même, de méditer sur votre comportement par rapport à votre entourage.

 

(Extrait de "Santé et Cosmo Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)

 

à suivre...

 

Psycho pratique...(6)

Utilisez le langage du corps :

 

Vous ne vous exprimez pas qu'avec les mots, tout votre corps participe : l'expression de votre visage, vos gestes, votre regard, votre attitude, votre respiration, votre voix, votre façon de vous habiller...

Ne négligez donc surtout pas ce qu'on appelle la communication non-verbale : elle est souvent essentielle dans vos rapports avec les autres. Si votre corps exprime le contraire de ce que vous dites par la parole, votre interlocuteur privilégiera toujours - le plus souvent inconsciemment - l'impression que lui laisse votre langage corporel.

Selon les travaux de l'Université de Stanford :

1) 45 % de votre message est exprimé par votre corps ;

2) 20 % par le ton de votre voix ;

3) 35 % par ce que vous dites (par la parole).

 

(Extrait de "Osez parler en public" de Marie-France Muller - Ed. "Jouvence" - 2010)

à suivre...

La Peur...

À quoi sert la peur?

La peur nous avertit de la présence possible d’un danger. L’information qu’elle fournit nous permet de prendre les mesures pour nous protéger. À ce titre, elle est très précieuse et même indispensable à la vie. Les animaux disposent eux aussi de cette émotion protectrice.

Nous avons toutes sortes de réactions devant la peur. Certaines fois ces réactions sont tout à fait fonctionnelles mais à d’autres moments, elles nous handicapent.

La paralysie

Dans certains cas, la paralysie est une réaction protectrice fort efficace. Si j’assiste à un cabriolage où les voleurs sont armés, il est probablement mieux que je me fasse oublier plutôt que de tenter de m’échapper ou de crier de peur. Mais lorsque je rencontre un danger sur la route, il est généralement plus efficace de tenter de l’éviter que d’attendre passivement.

L’évitement

Il est tentant d’éviter, sans discrimination, tout ce qui nous fait peur. Si on vit ainsi, toutefois, on s’aménage une existence qui s’avérera de plus en plus restreinte. Pour gagner de la liberté dans la vie il est nécessaire, au contraire, d’apprivoiser ses peurs.

Jusqu’à quel point et sur lesquelles de nos peurs nous choisirons d’investir sont des décisions que nous devons prendre en fonction de ce qui nous importe. Certains mettront beaucoup d’énergie à vaincre leur peur des hauteurs parce que la montagne les attire, mais choisiront de ne jamais relever le défi de donner une allocution ou de se produire devant les médias, parce que le défi leur semble trop grand ou parce que ces activités ne présentent aucun intérêt à leurs yeux. L’important, pour décider de ce que l’on fait avec une peur, est de prendre soin d’évaluer le prix que nous paierons à l’apprivoiser comparativement à celui de l’éviter.

La négation du danger

À l’opposé de l’évitement on trouve les comportements “contre-phobiques” où la personne fonce, tête baissée, apparemment insensible au danger. Elle aborde le danger en le minimisant ou en ne le considérant pas comme réel.

Une telle attitude amène ces personnes à se lancer dans des aventures qui sont nettement au-delà de leurs forces ou encore à négliger de prendre les précautions nécessaires pour minimiser les dangers.