La petite Note de Franck... (67)

J’ai un doute sur les médias, j’attendais depuis un moment déjà que l’on parle dans l’émission de France 5 « C’est dans l’air » du traité transatlantique. Ce fut chose faite avant-hier, et cela en dix minutes ; le sujet fut abordé, car de toute évidence : « ne rien dire cela paraîtrait louche. » Effectivement, ce n’était pas le sujet principal (et il ne faut surtout pas s’étendre dessus, c’est trop délicat) ; le sujet de l’émission avait ce titre : « économie : Horizon brouillé ». J’ai l’impression de plus en plus que cette émission est de complaisance avec une certaine idéologie bien-pensante dans le but d’anesthésier les spectateurs en rabâchant toujours les mêmes débats avec les mêmes interlocuteurs pour endormir l’information et démystifier cette même information pour la rendre plus opaque selon le thème abordé. Ne parlons pas de ces « choses » ou alors que très brièvement, cela doit rester confidentiel. C’est bien là, à mon avis, qu’il y a un problème, car s’il ne faut pas en débattre cela cache bien des choses bizarres, d’ailleurs Philippe Dessertine apparaissait gêné aux entournures par le propos. Heureusement qu’il y a Médiapart, France Inter et quelques autres pour nous en informer, mais à petites doses. À mon très humble avis, il y a « anguille sous roche », il n’y a rien de bon à attendre de ce côté-là, j’ai l’impression que les médias ont ordre de ne pas évoquer « la chose ». Alors qu’il aurait fallu un grand débat public en ce qui concerne ce traité. J’ai bien peur que nous soyons « manger », par Les États-Unis, tout cru sans que l’on puisse dire notre avis. Chut ! il ne faut surtout pas trop en dire, c’est un sujet « top secret, » c’est bien là que se cache la malhonnêteté de ce traité dont la transparence est absente ! Et puis bientôt, il y aura la Coupe du monde de football au Brésil, une façon d’occulter les problèmes, de noyer les informations les plus dérangeantes de cette planète au néolibéralisme exacerbé.

 

 

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Nouvelle Petite note...

Je renouvelle ma page sur "La Petite Note de Franck" du 29/04/2014, car il y a urgence ! 

 

L’Europe est-elle prête à vendre son âme aux États-Unis et au libre-échange planétaire et tout cela dans la discrétion ? Pascal Lamy (voir ma page d’hier) se veut rassurant et pragmatique, mais voilà pourquoi il faut lire entre les lignes et voir les non-dits. Pour moi, c’est l’ouverture : « de libre échange pour les riches... au détriment des pauvres, car il ne faut pas croire que cela est fait pour les plus démunis, cela se fera sur le dos des plus faibles, les salaires n’augmenteront pas pour autant pour les salariés, il n’est fait que pour enrichir les riches... » Voilà les propos qui sont les miens et que je traduis dans un langage lisible. Car ces petits arrangements entre amis sont les arrangements de riches pour les riches et pour entretenir un niveau de vie aux plus aisés de ces deux continents qui ont décidé d’en finir avec les plus pauvres. En ce qui concerne les contrats industriels, agricoles, culturels... la parole des États-Unis sera bien plus forte que celle des Européens qui négocient en douce pour des accords qui les arrangent, mais sur le dos de la population des Européens qui n’ont pas droit au chapitre et qui verront leurs droits au fil des années (car cela se fera dans le temps pour faire avaler la pilule et pour qu’elle soit moins amère) fondre comme neige au soleil et je pose la question : « Et les jeunes dans tout cela ? » Pascal Lamy nous dit que ce libre échange favorisera le peuple et qu’il y aura moins de chômage, et moins de pauvres. Vraiment, il se trouve qu’il est le seul ou avec deux ou trois autres à le croire, il rêve au redémarrage de la croissance, et même si elle se devait de repartir cela se ferait dans l’aveuglement général. Il ne faut pas croire à leur lubie de nous faire penser : « regardez — moi dans les yeux je vous dis la vérité. » Ce monde capitaliste est arrivé à bout souffle, ils veulent entretenir un quelconque espoir avec le mot : croissance. Tout est à remettre à plat, il serait bon de repartir sur des bases saines en favorisant un monde dirigé vers l’humain avant tout avec une valorisation de la planète et non une poursuite effrénée vers l’argent qui nous emmène tout droit au désastre. Messieurs les Dirigeants, faites appel à votre bon sens et celui de votre peuple !

 

 

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La Petite Note de Franck... (65)

Comme il est difficile de se faire un nom en littérature, d’ailleurs Pôl Kraly n’est pas mon nom, mais un pseudo. Pourquoi me dites-vous, je vous réponds, qu’il existe un autre Franck Roy (mon vrai nom) et qu’il écrit des livres sur les groupes Rock comme Led Zeppelin (groupe que j’adore au demeurant). Pourquoi ne changerait-il pas son nom parce que c’est moi qui ai découvert cette imposture, parce qu’il est plus connu que moi (il est publié chez des Éditeurs nationaux), c’est au plus petit de s’effacer dans ce cas (je ne sais pas l’âge qu’il a, mais cela fait 40 ans que j’écris. Bref Pôl Kraly cela me va bien) ? Oui, il est difficile de se faire un pseudo (rire), dans cet autre monde de requins, non pas que je ne pense pas avoir du talent (bien au contraire), mais si tu ne t’appelles pas Michel Drucker, Michel Onfray ou Tartempion que tu passes à la télé, que tu es professeur de « je ne sais quoi », que tu possèdes des amis bien placés dans la place, près des journaux ou des Maisons d’Édition... Pôl Kraly n’a quasiment aucune chance de voir un de ses livres paraître à la devanture des libraires. Je viens d’achever deux livres ; un troisième est en cours, pour le moins que l’on puisse dire que je ne fais pas un tabac avec « Chemins existants », Pensées philosophiques et spirituelles et « Ce que doivent être les choses » (un roman que j’ai retravaillé dernièrement et qui date de 2008)... Pourtant je suis sûr de mon talent, mais je ne renonce cependant pas à taquiner les Éditeurs nationaux en envoyant mes manuscrits, qui sont toujours si mal accueillis. En attendant un Éditeur digne de ce nom, je les publie à compte d’auteur comme l’on fait Rimbaud, Proust et d’autres... Je voudrais, pour conclure, que les refus des Éditeurs ne dictent pas mon choix d’écrire, j’ai cela dans le sang, mais quand même si cela est parfois décourageant...

 

Tient bon Pôl Kraly !

 

 

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Une petite note toujours actuelle...

Croissance ou décroissance ? Même si je ne crois pas que l’austérité soit la solution, je ne crois pas à la croissance non plus, vous me demandez pourquoi. Certes, la croissance peut générer de l’emploi et redonner de la confiance au marché, mais au détriment de l’épuisement des dernières richesses de cette planète dont les pays les plus riches exploitent les ressources au grand désespoir des plus pauvres. La croissance est réservée à l’Europe, La Chine, Les États-Unis, La Russie et quelques pays émergents. Examinons la réalité, ce choix-là est pour servir une minorité de la population mondiale. Reste la décroissance qui serait là la solution, faire du développement durable une réalité, faire que les objets du quotidien (Téléviseur, ordinateur, machine à laver… que ces objets soient durables dans le temps), cela mettra en péril des milliers d’emplois, les requins de la finance ne sont pas prêts à cela (je vous rappelle que nous vivons dans un système capitaliste) la question est ailleurs que faisons-nous de cette population menacée par cette décroissance (et aussi par cette croissance que les hommes politiques nous veulent faire croire aux vertus), que faisons-nous de ces gens justes là nantis pour qu’ils puissent continuer à vivre ? Et les pauvres dans les pays africains, asiatiques... vivent une situation de survie actuellement ? J’ai bien peur que les pauvres demain soient nous. Je ne voudrais pas rester sur une note négative, même s’il nous reste un faible espoir ; ayons conscience de cet état chose et, cela fera naître en nous ce qu’il y a de plus humain dans l’homme et la femme : notre cœur et notre raison.

 

(Une note que j'avais déjà publié sur mon blog , il y a quelques temps, mais toujours actuelle)

La Petite Note de Franck... (63)

L’avenir réside dans nos têtes, dans cet idéal d’une vie non basée sur l’argent roi. Les mers se rencontrent pour que nous naviguions vers d’autres eaux plus sereines  ; cherchons ces îles sécurisantes pour un demain apaisé. À ce moment, constitue notre grande espérance, concrètement essayons de vivre sur une planète dont le souci demeurait de la rendre plus fréquentable en la protégeant, à l’aidant, en cultivant ses vraies richesses potentielles dans le respect de celle-ci. Nous ne maîtrisons pas grand-chose de ce qu’elle peut nous offrir. Sachons l’explorer judicieusement et non à épuiser ses ressources fossiles. Notre force est de comprendre notre planète dans son intégrité, dans son intelligence à nous enseigner ce qu’elle est en droit de nous donner et dans ce que l’on peut lui accorder de notre part. Dans l’obligation de repenser notre idéal de vie, de pouvoir avec nos connaissances façonner un modèle de société plus enviable. Où vivre ensemble, le lien social deviendrait notre véritable destin de s’épanouir dans nos différences  ; nos cultures, nos couleurs de peau, etc. S’instruire dans notre exploration intime, il nous faut méditer  ; dans notre évaluation  ; de notre intériorité à nous mouvoir sereinement  ; expliquer et savoir. L’humain doit à son échelle se réaliser dans sa capacité à exister vraiment, cela se mesure dans ses possibilités... Qu’est-ce qu’il est habile de créer  ; aimer nos points forts et nos faiblesses  ; inspecter nos rêves  ; comment concevons-nous notre réalité  ; comment peut-on opérer pour évoluer dans un monde et un nouveau système que celui-ci (celui de notre époque)  ? Pourquoi ne pas demander au citoyen où se trouve pour lui la vraie démocratie, pourquoi ne pas lui donner sa chance de réussite  ? L’avenir se trace devant nous et nous cherchons à faire émerger l’autre qui demeure en nous avec ses aspirations et ses désirs. Demain, la vie existera que si nous essayons de comprendre la Terre qui tend à se profiler dans l’harmonie la plus essentielle à son devenir.

 

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La Petite Note de Franck... (62)

LA BEAUTE DE L'HUMAIN

 

Et si les nouvelles technologies du futur et les nanotechnologies se devaient d’être un bonheur assuré et sain. Elles le sauront si elles sont comprises et maîtrisées, pour nous s’offrira alors une réelle chance de changer agréablement notre quotidien ! La force résultera de notre conviction pour qu’elles soient innovantes et progressives et leur but sera de nous servir dans tous les usages usuels de nos besoins journaliers. Mais je voudrais vous parler de « La Beauté de l’humain » sur lui-même ;  par une profonde connaissance de soi et de son corps ; de pouvoir entrer en connexion avec la voix de sa conscience par la méditation et pour moi le point fort de l’homme pour son devenir. 

 

Je m'explique pêle-mêle :

 

 

De comprendre son environnement proche, soit par la nature et par la capacité d’entrer en relation avec tout ce qui l’entoure, la connaissance de l’autre par l’altruisme, l’utilisation de son intelligence dans l’intérêt de chacun. Savoir gérer à bon escient son quotidien, par la compréhension usuelle de chaque objet dans son utilité la plus pratique, apprendre à aimer la chose qu’on entreprend, d’aimer la terre nourricière. Connaître son intelligence et la façon dont celle-ci se transforme, faire du travail un véritable plaisir et non une servitude, se tolérer… et un point important à mes yeux savoir dialoguer en argumentant de façon constructive.

 

« La beauté de l’humain » se fabrique en aimant son prochain, en comprenant le monde, les cultures, les religions, les différences, les couleurs de peau, les faiblesses de chacun de nous, et cela s’apprend par une profonde connaissance de soi et par la méditation, nécessaire par ces temps incertains. Mais je crois que le plus essentiel est de prendre du temps pour soi pour penser au monde et d' entreprendre une profonde étude sur son attitude dans sa vie !

 

 

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Je vous annonce la sortie de mon livre 'Chemins existants", pensées philosophiques et spirituelles aux Editions "Pays d'Herbes" - 95 pages.

 

 

A suivre...

La Petite Note de Franck... (61)

Je viens d’écouter sur France Inter (Interactiv') de ce Vendredi 7 Février avec Patrick Cohen qui avait pour inviter Jean de Kervasdoué et Corinne Lepage. Débat, intéressant avec Jean de Kervasdoué, qui vient d’écrire un livre « Ils ont perdu la raison » chez Robert Laffont qui nous disait qu’il ne faut pas avoir peur du Gaz de schiste, du Diesel, des Pesticides, des OGM... je résume en gros son propos. Je vous invite, cher lecteur de mon blog, d’écouter l’émission sur mon blog d’hier. Il disait, entre autres, que « les jeunes têtes scientifiques et autres quittaient le bateau France, car la loi interdisait tout dans notre cher pays.» Voilà ce que je pense, en humble citoyen du  nouveau monde de cette émission (instructive).  Il disait de ne pas avoir peur de tout ce qui est pour le bien de l’humanité en ce qui concerne les technologies du futur, que les pesticides sont un bien pour les plantes, car elle guérit de la maladie celles-ci, cela peut entraîner une certaine dérive, à mes yeux, dangereuse. Je m’explique : « les produits médicamenteux sont sensés guérir les patients de leur maladie, alors que certains produits sont néfastes pour la santé (voir le scandale du mediator et il y en a d'autres), lorsque l’on sait tout le trafic mercantile qu’il y a derrière on peut avoir des suspicions, pareils pour les pesticides, le gaz de schiste, le diesel, les OGM et autres ». Je crois que la nature, il faut la respecter et comprendre ses services (qui sont multiples) pour mieux la considérer. Il n’est pas nécessaire, pour moi, de guérir les plantes de la maladie par ces choses chimiques, car nous avons tout à apprendre de la nature, nous en connaissons peu de toute sa réelle force. Le vrai progrès est de tirer les enseignements de cette compréhension de la vie même. Les nouvelles technologies peuvent être un bien si elles sont maîtrisées et comprises, si elles servent à bon escient la société. Car dans ce que nous dit Monsieur Jean de Kervasdoué, je n’y vois que l’argent pour attirer des lobbies de grosses sociétés et non l’intérêt du citoyen lambda. Il ne faut pas mettre sur le dos que toute avance technologique est un bien pour l’humanité (voir plus haut), je dirais même le contraire à ce point ou la société est arrivée maintenant. À savoir, lesquels ont perdu la raison...

 

(Rendez-vous pour une nouvelle ... note de Franck)

 

Si voulez vous faire une petite idée de l'auteur de ce livre dont je parle (Voir ci-dessous)....