Allez les yeux invisibles vers le beau.

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/09/2016

La Glande Pinéale...(2)

(suite...)

glande,pinéale,cerveau,fluide,cristaux,minéraux,pouvoir,détartrage,corps,physique,mélanine,conscience,éveil,oeil,troisième,processus,entartrée,cause,moyens,accidents,vasculaires,système,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreEau, alimentation et mode de vie

Les principales causes de calcification comprennent:

 

– Fluorure (magnétiquement attiré par la glande pinéale où il forme des cristaux de phosphate de calcium plus que partout ailleurs dans le corps).
-Suppléments de calcium (de loin la principale cause de la calcification. Si votre médecin vous recommande de les prendre, je vous recommande d’arrêter immédiatement)
– D’autres halogénures comme le chlore et le bromure.
– Le calcium dans l’alimentation (presque tous les aliments transformés contiennent une certaine forme de calcium0.
– Eau du robinet (l’eau du robinet est rempli avec de substances calcifiantes).
– Eau de source (distillée elle peut être nocive à long terme (même si c’est beaucoup mieux que l’eau du robinet).
La détox de la glande pinéale

Options de détoxication naturelles pour du fluorure de sodium et les métaux lourds

 

Zéolite

 

Les zéolithes sont des minéraux présents dans les fonds marins anciens et de roches volcaniques. Les molécules en forme de nid d’abeilles de zéolite ont la capacité de capturer les toxines métalliques de tous types et en toute sécurité les transporter hors du corps. (Pas tous les produits de zéolite sont égaux, alors assurez-vous d’obtenir une grande qualité.)

 

Argile de bentonite

 

Comme zéolite, de l’argile bentonite contient des ions négatifs qui attirent les ions positifs de toxines et pathogens. Vous pouvez faire tremper dans un bain d’argile ou de prendre l’argile bentonite de qualité alimentaire à l’intérieur. (Notez que les bains d’argile ne sont peut être pas la meilleure option si vous avez une maladie cardiaque.)

 

Chlorella

 

Une série d’études cliniques montrent que la qualité fibreuse de la chlorelle se lient aux métaux toxiques et les débusque. Vous pouvez prendre des capsules ou faire des smoothies avec de la poudre de chlorella. Le goût est assez agréable.

 

Coriandre

 

Cette plante polyvalente culinaire, utilisé couramment dans la cuisine mexicaine contribue également à l’élimination des métaux lourds. Pesto à la coriandre a été utilisé efficacement pour la thérapie de chélation par beaucoup.

 

Magnésium

 

Le magnésium possède la capacité d’inhiber l’absorption de fluorure dans nos cellules, donc lors de l’embarquement sur un detox de métal et de fluorure, assurez-vous que vous avez trouvé une bonne dose quotidienne de magnésium à partir d’une source de grande qualité, comme cela facilitera grandement vos efforts désintoxication.

 

Homéopathie

 

En prenant également homéopathique Boiron Borax 30, à granules, 80 ct -. 5 pilules http://amzn.to/x5mqpp jour 3x désintoxication de la glande pinéale.

En conséquence, le nettoyage de votre corps de la pollution par les métaux lourds et le fluorure de sodium ne sera pas seulement capable d’aider à normaliser votre production de mélatonine, mais permettra également d’améliorer votre fonction cognitive et augmenter vos niveaux de vitalité.

 

à suivre...

 

16/09/2016

Le non-jugement dans le Bouddhisme...(2)

images.jpeg(suite...)

 

Surtout, les personnes ne sont pas comme elles sont pour rien, il y a toujours une raison à ce qu'elles sont ( ou à ce que leur égo est, plutôt), nous ne pouvons donc nous permettre de les juger, de dire si ce sont de « bonnes » ou « mauvaises » personnes, sans être à leur place, ou au moins sans avoir toutes les données.

 

Le relatif et l'absolu : la même chose vue sous un angle différent

 

Il faut cependant bien comprendre que la vacuité, le Nirvana, n'est pas non plus indépendant du reste: il est relié au monde relatif, au Samsara. Sans Samsara, pas de Nirvana.. Et inversement, car le Samsara et le Nirvana sont une seule et même chose, la seule chose qui change étant notre regard sur le monde : dans le Samsara, nous jugeons, nous catégorisons, et dans le Nirvana, il n'y a plus rien à juger, nous ne catégorisons plus... Pourtant, nous voyons la même chose. Quand nous sommes dans le Nirvana, nous voyons la même chose que quand nous sommes dans le Samsara. La seule chose qui change, c'est ce que notre esprit fait de ce qu'il voit . Dans le Samsara, il catégorise, et donc « juge » le monde qui nous entoure, alors que dans le Nirvana, il appréhende simplement le monde, sans y apporter une quelconque pensée, juste il est « là », avec le reste... Sans se poser de question, sans se dire que ce qu'il voit est telle ou telle chose, sans se prendre non plus pour l'égo. De manière ultime, l'esprit est libre de toute formation de pensée, et donc le jugement n'en fait pas partie...

 

Le bien et le mal

 

Pour juger quelqu'un, se dire si ce qu'il fait est « bien » ou « mal », nous devons déjà admettre que « bien » et « mal » existent. Hors, ce n'est pas le cas dans le bouddhisme : rien n'est « bien » ni « mal » en soi, de par l'interdépendance, et l'impermanence. Ce n'est pas l'acte en lui-même qui fait que quelque chose est « bien » ou « mal », car d'une époque à l'autre, les conventions changent, et de par l'interdépendance, on peut faire une chose « mal » avec de « bonnes » intentions. Donc, ce qui compte, c'est non pas l'acte en lui-même, mais l'intention qu'il y a derrière. Avant, avoir des rapports sexuels avant le mariage était mal, aujourd'hui, c'est normal. Le bien et le mal sont relatifs, à nos sociétés, à nos intentions, et ils font donc partie du monde relatif, le Samsara. Si vous assommez quelqu'un par plaisir, on peut dire que c'est mal dans une certaine mesure, car votre intention est de faire du mal. Si vous assommez cette même personne exactement de la même façon, mais parce qu'elle est en train d'essayer d'en tuer 30 autres, votre acte ne sera plus motivé par « faire le mal », mais par « empêcher le mal ». On pourra donc dire que votre geste était altruiste, car motivé par le bien des autres, et non par l'intention de faire du mal à quelqu'un. Le non-jugement est un principe bouddhiste, car de manière ultime, il n'y a pas à juger, comme il 'y a pas de soi, ni de bien ou de mal, de manière indépendante. Cependant, ce n'est pas parce que tout est vacuité, que rien n'est « mal ».
Il faut bien comprendre que le bouddhisme n'est pas du nihilisme, il ne s'agit pas de nier le bien, le mal, ni de nier la personnalité. Mais il s'agit par contre de comprendre que tout est vacuité, donc interdépendant et impermanent.


à suivre...

13/09/2016

La Glande Pinéale...(1)

Unknown.jpegLa glande pinéale pourrait être la partie la plus importante de votre système nerveux tout entier. Il s’agit essentiellement d’une antenne spirituelle, votre équivalent physique d’un troisième œil.

Il est essentiel pour atteindre des niveaux plus élevés de conscience tout en restant dans un corps physique.

→ Activer la pinéale pour accéder aux mondes parallèles, un mécanisme naturel qui fera passer l’humanité à l’ère spirituelle

La glande pinéale se trouve au centre géométrique du cerveau. Elle est creuse et rempli d’un fluide contenant des cristaux.

La calcification fait en sorte que les cristaux dans la glande s’attachent aux dépôts de minéraux. Ainsi, les cristaux ne peuvent plus exercer leur propriété de piézoluminescence.

Les effets de la calcification sont la dépression, l’anxiété, la boulimie/anorexie, la schizophrénie et d’autres formes de maladies mentales. La calcification vient aussi perturber la sécrétion de la mélatonine.

La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil, est surtout connue comme étant l’hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d’un certain point de vue, de pratiquement l’ensemble des sécrétions hormonales.(…) Elle est sécrétée par la glande pinéale en réponse à l’absence de lumière. La mélatonine semble avoir de multiples fonctions, autres qu’hormonales, en particulier comme antioxydant (anti-cancer). Elle semble aussi jouer un rôle dans le système immunitaire.

L’image nous montre le dieu ailé sumérien Enki avec un cône de pin dans la main. On retrouve dans beaucoup de cultures la symbolique du cône de pin représentant la glande pinéale (siège de l’âme).
La calcification de la glande pinéale est causée principalement par le fluorure qui circule dans notre sang.

Le fluorure vient des pâtes à dents, de l’eau du robinet et de l’eau en bouteille, dans certains aliments, des médicaments psychotropes comme le prozac qui est aussi appelé fluoxétine et qui contient 30% de fluorure. La glande pinéale contient la plus grande concentration de fluorure dans le corps.

Calcification …?

Malheureusement, pour la plupart des gens, la glande pinéale est fortement entartrée. Tant et si bien qu’elle apparait comme un morceau de calcium lors d’une IRM. Alors, quelle est la calcification, et quelles en sont les causes?

La calcification est l’accumulation de cristaux de phosphate de calcium dans diverses parties du corps. C’est un processus naturel causé par les nanobactéries primaily. les Nanobactéries sont des microorganismes qui forment de minuscules coquilles de phosphate de calcium autour d’eux, essentiellement pour se protéger de votre système immunitaire. Il ressort de la dernière recherche que cela peut être la cause de la plupart des maladies.

De l’arthrite, aux accidents vasculaires cérébraux, du cancer aux maux de dos. Grâce au système alimentaire SAD (standard régime américain) horribles, la plupart des gens sont exposés à beaucoup plus de ces organismes que jamais, et que non seulement, sont calcifiées par d’autres moyens aussi.

 

à suivre...

 

11/09/2016

Le non-jugement dans le Bouddhisme...(1)

non-jugement,bouddhisme,respect,tolérance,signification,mots,important,conventions,bouddha,nirvana,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreLe non-jugement dans le bouddhisme

 

Tout d'abord, qui signifie « juger » ? Juger c'est mettre une étiquette sur quelque chose et/ou quelqu'un. On peut aussi appeler cela « catégoriser ». On juge et/ou catégorise quoi/qui ? Quelque chose et/ou quelqu'un qu'on considère comme différent de soi-même, et ayant des caractéristiques propres, indépendantes du reste.

 

Dans le bouddhisme, le non-jugement est important, car sans lui on ne peut connaître la vacuité : dans le Nirvana, il n'y a plus de mots, donc plus de jugements... Nous ne sommes plus « nous », mais nous sommes le tout, une fois débarrassés de notre égo. Il n' a donc plus lieu, ni même possibilité de juger, si l'on ne se considère pas comme différent du reste, et que l'on ne peut même plus utiliser de mots, n'étant plus dans le monde relatif... Les mots sont un jugement, une catégorisation du monde qui nous entoure. On appelle un table « table », mais cela représente quoi ? Dans la tête de tout le monde, « table » désigne quelque chose avec 4 pieds, et une planche au milieu. Mais si cette table a 3 pieds, est-ce toujours une table, ou non ? C'est ainsi qu'on peut comprendre à quel point on catégorise le monde qui nous entoure, et à quel point nous sommes habitués, et donc conditionnés, à le faire. On peut ensuite se demander pourquoi tel mot est tel mot, pourquoi la couleur « bleu» s'appelle « bleu » ?
"Qu'y a-t-il dans un nom? Ce que nous appelons une rose, sous un autre nom sentirait aussi bon." (Bouddha, Canon Pali)
C'est là que l'on voit que des étiquettes, des conventions, ont été posées sur des choses, des concepts, et qu'on est tellement conditionné à les employer, qu'on ne se pose même plus la question du pourquoi du comment.

 

La vacuité : rien n'est « vraiment » ce par quoi il est désigné

 

En examinant bien, rien n'est vraiment le mot par lequel il est désigné. Exemple tout simple, un mot se dira d'une façon dans une langue, d'une autre façon dans une autre langue.. Pourtant, ce sera exactement le même objet, avec les mêmes caractéristiques. Cela montre bien l'interdépendance de tout. De plus, les choses ne sont pas telles qu'elles sont sans raison : une table est l'endroit sur lequel on mange, mais nous aurions très bien pu manger sur autre chose, et il y a des cultures où ils ne mangent pas à table... Et l'on peut aussi très bien avoir un usage tout autre d'une table, que celui que nous en avons habituellement en Occident. Il en va de même pour les êtres humains : nous mettons des étiquettes pour les « juger », les catégoriser, mais ces étiquettes ne sont que le reflet d'un certain concept, qui ne peut pas représenter à lui seul ce qu'est ou n'est pas la personne (surtout que les humains sont bien plus compliqués que des objets, car chaque humain, bien que regroupant des caractéristiques similaires aux autres, est différent, de par sa psychologie, sa vie, et son karma).

 

à suivre...

04/04/2016

Moment magique...

02/04/2016

L'oeil et Darwin...

darwin,l'oeil,thèse,darwinisme,explications,perfection,sélection,naturelle,évolution,pour,contre,humain,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreL'œil : la preuve suprême de la création divine...


Les plus audacieux déguiseront certains faits en preuves, qu'ils se délecterons à qualifier d' "irréfutables preuves" du génie divin. Leur favorite est la perfection de l'œil humain. C'est un cas particulièrement intéressant parce qu'en plus de s'appuyer sur cette perfection, ils ont eu la chance de trouver dans l'Origine une phrase qu'ils ont réussi à interpréter dans leur sens.

L'oeil, la soi-disante preuve des créationnistesEn effet, Darwin écrit : « Il semble absurde au possible, je le reconnais, de supposer que la sélection naturelle ait pu former l'œil avec toutes [ces] inimitables dispositions [...] ». En lisant au premier degré, le créationniste vous fera passer ceci comme un aveu de Darwin lui-même : voyez que, face à la perfection de l'organe, Darwin reconnaît là l'œuvre du créateur… la sélection n'a pas pu forger un organe aussi parfait. Seulement cette phrase est intégrée dans un chapitre, ce dernier étant lui même intégré à un livre qu'il faut lire. Et une lecture objective nous permet de comprendre ce que Darwin voulait dire, à savoir qu'il était absurde de croire que l'évolution a fait apparaître l'œil tel qu'on le connaît, avec ses facultés d'adaptation à l'intensité lumineuse ou à la distance, et que l'œil a connu bien des états avant d'arriver à celui qu'on connaît.

A ce stade de l'explication, le détracteur avance qu'un œil à moitié formé ne peut pas fonctionner. Nous sommes bien d'accord sur ce fait. Il faut savoir que l’œil n'a pas la même utilité chez tous les porteurs de l'organe. Certains animaux ne perçoivent pas la couleur, d'autres ne focalisent pas sur les sources trop éloignées, d'autres ne perçoivent que l'intensité lumineuse. Qu'est ce qu'une taupe ou un lézard des cavernes ferait d'une vue de rapace ? Le rhinocéros noir se fie beaucoup plus à son ouïe et à son odorat qu'à sa vue. Les requins sont quasiment myopes (presque aveugle en ce qui concerne les espèces benthiques), et en général perçoivent plutôt les mouvements que l'image en détail. Cette vue médiocre ne les empêche pourtant pas d'être des prédateurs efficaces…

Depuis la cellule photosensible, jusqu'à l’œil humain (ou celui du chat qui est capable de voir dans l'obscurité, ou celui du rapace qui focalise à une formidable distance), chaque étape de transition a pu à un moment être profitable à une espèce, jusqu'à ce que cette transition stagne à un état suffisant par rapport à l'environnement, ou continue à se modifier si la concurrence n'a cessé de jouer sur, entre autres, la vue.

 

source : "Hominidés"

19/01/2016

Danger : perturbateurs endocriniens...

Que sont les perturbateurs endocriniens ?


Diverses définitions existent au niveau international qui font l’objet de débat. La définition proposée par l’Organisation mondiale de la santé en 2002 est la plus communément admise :
"Un perturbateur endocrinien potentiel est une substance ou un mélange exogène, possédant des propriétés susceptibles d’induire une perturbation endocrinienne dans un organisme intact, chez ses descendants ou au sein de (sous)- populations. Cette catégorie est divisée en deux sous- catégories : la catégorie 2a pour les perturbateurs endocriniens suspectés et la catégorie 2b pour les perturbateurs endocriniens pour les substances possédant des indications de propriétés de perturbation endocrinienne."
De manière générale, il s’agit de substances chimiques d’origine naturelle ou artificielle qui peuvent interférer avec le fonctionnement des glandes endocrines, organes responsables de la sécrétion des hormones. Cette action peut passer par différentes voies :
Le perturbateur endocrinien peut mimer l’action d’une hormone naturelle et entrainer ainsi la réponse due à cette hormone
La substance peut empêcher une hormone de se fixer à son récepteur et ainsi empêcher la transmission du signal hormonal
Enfin la substance peut perturber la production ou la régulation des hormones ou de leurs récepteurs.
Parmi les substances suspectées d’être des perturbateurs endocriniens : le bisphénol A,phtalates, composés bromés, …


pertubateurs,endocriniens,organes,cellules,danger,consommation,lobbies,substances,chimie,maladies,dérèglement,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreD’où viennent les perturbateurs endocriniens ?


Les perturbateurs endocriniens peuvent être d’origine naturelle (hormones et phytoestrogènes) ou être une conséquence des activités humaines (produits issus de l’industrie chimique contenus dans des objets de consommation courante, produits de traitement des cultures, médicaments, cosmétiques, etc …). Ils peuvent ainsi être présents, de manière naturelle ou du fait d’une contamination, dans différents milieux (eaux, aliments, produits ou articles de consommation…).
In fine, en perturbant le système endocrinien, ces substances peuvent altérer différents processus tels que la production, l’utilisation et le stockage de l’énergie et plus largement la régulation du métabolisme et le développement. Certaines de ces substances peuvent par ailleurs avoir d’autres effets toxiques, notamment sur la reproduction, et nuire à la fertilité ou perturber le développement du foetus.

Quelles sont les particularités de ces substances ?


De nombreux effets attribués aux perturbateurs endocriniens sont observés dans des études expérimentales chez l’animal. Toutefois elles soulèvent dans de nombreux cas la question de l’extrapolation des résultats des effets à l’homme, notamment pour des expositions à des faibles concentrations. Il semble que les effets des perturbateurs endocriniens ne passent pas tous par des mécanismes de toxicité « classique » (dysfonctionnements ou mort cellulaire) mais soient liés à des phénomènes de signalisation et de régulation de l’organisme. Certains effets perturbateurs endocriniens n’apparaissant par ailleurs qu’à de très faibles niveaux de concentrations.
Les travaux réalisés montrent, en outre, que la sensibilité aux perturbateurs endocriniens peut varier selon les périodes de la vie. C’est notamment le cas de la période du développement foeto-embryonnaire, des nourrissons, et des jeunes enfants qui présentent une sensibilité accrue à ces substances. Il est ainsi nécessaire de prendre en compte la période d’exposition à ces substances dans l’analyse de leurs effets.
Enfin, divers composés suspectés d’être des perturbateurs endocriniens sont présents dans l’environnement à l’état de traces. L’individu se trouve, ainsi, exposé par de multiples voies (ingestion, inhalation, contact cutané) et de multiples milieux (eaux, aliments, produits ou articles de consommation, dispositifs médicaux,…) à des niveaux de concentration faibles de plusieurs composés dont les effets peuvent être variés et peuvent également être communs à d’autres causes.
La compréhension des effets des perturbateurs endocriniens demande ainsi d’adopter une vision intégrative en replaçant l’homme dans son environnement, mais également de prendre en compte l’exposition de l’individu à un mélange de substances et de comprendre leurs interactions au sein de l’organisme sur le long terme dès la période du développement foeto-embryonnaire et la vie in utero.
Face à cette complexité, la connaissance des effets des perturbateurs endocriniens aux doses rencontrées dans l’environnement se heurte actuellement aux limites de la toxicologie classique et des méthodes d’évaluation des risques. La question est donc d’en développer de nouvelles, adaptées aux spécificités de ces composés.