Allez les yeux invisibles vers le beau.

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30/07/2015

La Petite Note de Franck... (75)

note,franck,monde,ici & maintenant,radio,conséquences,système,modèle,société,cause,traité,transaltantique,humeur,information,capitalisme,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreAprès quelques jours de vacances, je réalimente mon blog. Les faits du monde m’exaspèrent, je viens d’entendre sur la radio « Ici & maintenant » (très bonne radio) une émission sur « ce qui agite la planète » ce n’était pas le thème réel de l’émission que je n’ai plus en tête. Mais les intervenants et les auditeurs ont parlé du « Traité transatlantique » et de ses conséquences. Nous constatons qu’on essaie d’en parler le moins possible et même d’étouffer les informations concernant ces accords qui se font sur notre dos et cela sans transparence aucune ;  on camoufle tout cela par d’autres informations insignifiantes pour ne pas ameuter le citoyen lambda sur ce traité, qui pour moi et d’autres est une pure lâcheté de nos dirigeants et qui va détruire un pan entier de nos lois protectrices en ce qui concerne tous nos acquis. Ils veulent faire un commerce international sans les règles institutionnelles de chaque pays. En fait, ils veulent briser les monopoles protecteurs qui régissent encore, et heureusement les pays et créer une voie ouverte à l’anarchie commerciale, industrielle, agricole, etc. par leurs lois à eux. Tout cela pour gagner encore plus d’argents et réduire le peuple à plus d’esclavage avec des salaires réduits  et en supprimant des congés et faire travailler les gens le dimanche, au bénéfice d’engranger le maximum de capitaux, bienvenue dans un monde que nous ne voulons pas. Mais, il y a un autre monde sous-jacent qui émerge petit à petit, c’est un monde de partage, de solidarité, de justice, d’amour, il se fabrique dans les consciences et par les actes au quotidien et il viendra le moment venu à la barbe de celui des capitalistes !

 

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)

16/07/2015

Sagesse de la Conscience... (13)

Prose,philosophique,spirituelle,kraly,écrivain,monde,conscience,pensées,dialogue,télépathie,sagesse,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreUN MONDE PAR NOTRE CONSCIENCE

 

Il y a de l’air à respirer dans une nature reconquise, prévoir que sa force propre est de pouvoir exister en nous et vous comprendrez l’immense joie que cela procure. Quoi de plus radieux qu’un soleil qui se couche pour mieux s’éveiller le lendemain ? Je vous invite à demeurer un brin rêveur, de laisser échapper votre conscience vers ses territoires étonnants. Il nous faut communiquer par le dialogue, par la télépathie..., cette dernière apparaît forte et riche d’un service hautement important de nos jours, car elle permettra de fédérer nos pensées tous azimuts. Pondérer nos ardeurs renforcera tous nos canaux cérébraux qui fonctionneront alternativement lorsque les pensées afflueront par des énergies nouvelles. Comprendre, « ici et maintenant », dans l’harmonie des choses de notre cerveau, cela facilitera le positif des situations des demandes engendrées. Être responsable de son esprit constitue le meilleur assortiment à tout contrôle bienveillant de celui-ci par rapport à l’expression qu’il fournira en qualité de pensées. Après, il n’y a plus qu’à concilier le geste et la parole qui fera émerger des actes cohérents et en osmose avec soi-même. Mieux dans notre corps nous avancerons sur des « terres » sereines qui apporteront à notre conscience ce qu’il y avait de mieux à vivre sur cette planète pour nourrir nos appétits de savoir et de concevoir le meilleur pour la nature.

 

(Prose philosophique et spirituelle inédite de Pôl Kraly in "Sagesse de la Conscience")

 

à suivre...

15/07/2015

Les Anges Gardiens... (1)

anges gardiens,protection,guide,lumière,Mumiah,prière,aide,soutien, courage,nature,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreMumiah est l’ange qu’il convient de prier pour arriver à faire preuve de davantage de rigueur morale. Si notre problème est un grand dilettantisme, si nous nous dispersons plus que nous nous concentrons, et si nous souffrons de tout cela, alors Mumiah est l’ange gardien qu’il nous faut. Sans renier notre nature, Mumiah va nous insuffler des capacités d’organisation et de persévérance. Il nous rendra plus fort et tenace. En appeler à l’ange gardien Mumiah doit se faire via une prière sincère à l’efficacité éprouvée.

Les Dates : du 11-03 au 20-03

Choeur : Anges

 

 

La prière à Mumiah

Saint ange Mumiah, ma lumière, mon guide,
Vous qui veillez sur moi,
Protégez-moi,
Donnez-moi la foi,le courage,
Inspirez-moi tout ce qui est bon,
Aidez-moi dans mes projets,
Détournez de mon chemin les périls de l’âme et du corps,
Permettez-moi de m’accomplir pleinement,
Apportez-moi la confiance et l’assurance,
Eclairez de votre lumière mes relations,
Aidez-moi à prendre les décisions les plus justes,
Saint Ange Mumiah, veillez sur moi et sur tous ceux qui me sont chers,
Et faites que je sois toujours digne de votre bienveillance.

 

à suivre...

14/07/2015

Enfanter un nouveau monde...

08/07/2015

Philosophie analytique...

philosophie,analytique,méthode,pensée,questionnement,intuitive,raisonnement,sens,réflexions,comprendre,savoir,connaître,philosophesDes philosophes se sont dits et se disent encore analystes, à Cambridge, Lwow, Varsovie, Vienne, Prague, Oxford, Pittsburgh, Princeton... Avec l'appellation, ils ont en commun l'idée qu'un certain type d'analyse est philosophique, voire que la philosophie est analyse. Les maîtres mots : « phrase », « proposition », « signification », soulignent aussitôt le caractère linguistique de l'entreprise. On ne la confondra donc pas avec la résolution d'un concept à l'aide de jugements analytiques, ou avec l'analyse transcendantale de Kant, ou encore avec l'analyse philosophique de Lagneau.

Traditionnellement, les philosophes ne s'accordent ni sur la nature de leurs problèmes, ni sur le genre de solutions qui leur convient, ni sur le type de preuve qui caractérise leur argumentation. Le plus clair résultat de la « révolution » analytique, comme on a appelé la réaction anglaise à quelque cinquante années d'hégélianisme, aurait été de réduire un peu et pour un temps l'ampleur du désaccord. On aurait pris une idée plus précise de l'activité philosophique, plus unifiée de son modus operandi et de son domaine. Les questions philosophiques, typologiquement distinctes des questions empiriques comme des questions formelles, appelleraient une clarification logique de la pensée et par là une illumination de la nature ultime des faits. Une nouvelle méthode aurait été découverte, l'analyse, à ne confondre ni avec l'analyse matérielle du savant, ni avec l'analyse formelle du logicien. L'objet de la philosophie serait ce qui a été techniquement appelé un domaine de second degré (a second-order subject). Entendons que son affaire n'est pas de décrire, d'expliquer ou de changer le monde, ou même de produire des énoncés d'un nouveau genre, mais d'apporter une analyse de la signification des énoncés scientifiques et du sens commun que l'on ne met pas en doute. Les analystes ne prétendent pas décourager les approches intuitive et spéculative ; ils se soucient du reste fort peu d'en débattre avec la philosophie continent […]

 

source... "Encyclopédie universalis"

05/07/2015

Cadeau du Jour... (8)

Article écrit par Jean-Mi.

Dans la série des romans adaptés en films, aujourd’hui : La rivière du sixième jour de Norman Maclean, adapté par Robert Redford en 1993 sous le titre Et au milieu coule une rivière.

Pour mémoire, la précédente mention de livre adapté en film, c’était pour Légendes d’automne dans l’article consacré à Jim Harrison. Le film de Edward Zwick avait donné autre chose que ce à quoi pouvait s’attendre le lecteur fan de Harrison. Aujourd’hui, le film de Redford laisse un avis sensiblement différent.

Rappelons d’abord en quelques lignes, les similitudes de ces deux histoires, avec lesquelles il serait aisé d’ajouter L’homme qui murmurait à l’oreille des chevaux ; sans doute en parlerons nous un autre jour. Légendes d’automne et La rivière du Sixième jour ont certains points de ressemblance qu’il est intéressant d’énumérer.
Tout d’abord, le lieu commun aux deux textes : le Montana. Légendes d’automne se déroule près de la frontière nord de l’état, quand La rivière du Sixième jour évoque Missoula, Helena, Wolf Creek, des villes du centre de l’état.
Dans chacun des deux ouvrages, la nature joue son propre rôle. Au coeur de l’intrigue, et jusqu’au titre pour La rivière du Sixième jour, la nature est l’un des principaux protagonistes. Nous l’avions déjà remarqué dans l’oeuvre de Jim Harrison et de beaucoup des auteurs des écrivains du Montana, reconnus sous l’expression Montana Connection, ou à tort, Ecole du Montana, dont Harrison et Maclean font partie.
L’époque est commune à Légendes d’automne et à La rivière du Sixième jour. L’entre-deux-guerres. Légendes d’automne commence avec le départ des trois frères Ludlow pour la Première guerre mondiale, et termine, en gros, entre la fin de la Prohibition et les années 70, à l’heure où Harrison rédigeait sa nouvelle. Dans La rivière du Sixième jour, l’action se déroule dans les années 30, mais la narration évoque également le passé et le « futur », dans les années 60, à l’heure où l’auteur regroupe ses souvenirs pour les coucher sur papier.
Enfin, les deux films convoquaient Brad Pitt dans l’un des rôles principaux.

J’ai toujours eu du mal à définir le film Et au milieu coule une rivière. Entré dans mon panthéon des films « fleur bleue » dès mon jeune âge, avec Légendes d’automne justement, mais aussi Les enfants du marais (entre autre adaptation de roman, mais je m’égare), Et au milieu coule une rivière a longtemps été un film que j’ai aimé voir et revoir, même si je devais en passer par la VF pour cela. Je ne crois pas me planter en disant que c’est un beau film, mais que le roman dont il est adapté est tout simplement magnifique.
Revenons à l’histoire. Norman Maclean rassemble ses souvenirs. Au début du récit il narre la vie de famille, l’enfance, leur père pasteur presbytérien très « collet monté », l’apprentissage de la vie et l’amour à travers les prismes de la pêche à la mouche et de la religion.

Ainsi l’illustre ce court extrait du début du récit : « Il [le père] nous avait expliqué, à mon frère et à moi, que les disciples de Jésus étaient tous des pêcheurs, nous laissant entendre – ce dont nous étions intimement persuadés tous les deux – que les meilleurs pêcheurs du lac de Tibériade étaient tous des pêcheurs à la mouche, et que Jean, le disciple préféré, pêchait à la mouche sèche. »

Au fil de la lecture, les souvenirs de Maclean se concentrent progressivement sur ce qui a fait le drame de sa vie et de celle de ses parents, la mort de son frère Paul. Il ne l’aborde pas frontalement, mais tourne autour du pot pendant un moment, y faisant allusion et, enfin, l’annonçant, vers le milieu du récit. Le reste de l’histoire n’est plus tendu que vers les derniers moments du narrateur avec son frère Paul.
Ce qui au début n’était montré que comme un simple livre de souvenirs, aborde en fait la question de la perte et de la culpabilité face à la mort d’un proche. Cette question entête l’écrivain pendant les dizaines d’années séparant le drame de la rédaction du livre, et son père souffrant lui aussi d’être hanté. Ce livre est comme un carnet de deuil ; après l’écriture de son trauma, il pourra reprendre une vie normale, ou, réconcilié avec lui-même, il pourra enfin, à son tour, mourir, apaisé.

C’est un court roman magnifique. En-dehors des détails techniques liés à la pratique de la pêche à la mouche, pratique à laquelle je ne suis pas familier, l’expression des sentiments et des émotions du narrateur est très bien décrite. Dans le film, cette voix-off entêtante, du début à la fin, reprend le texte de l’écrivain et module un temps pour les actions et un temps pour les dialogues.

La rivière du Sixième jour de Norman Maclean, et aussi : Montana 1919 et La part du feu, tous des souvenirs de l’écrivain, tous chez Rivages, et en poche.

 

Une fois prochaine, je causerai d’un autre auteur de la Montana Connection, et pas des moindres : James Crumley.

 

02/07/2015

La Petite Note de Franck... (74)

note,franck,gréce,crise,démocratie,europe,monde,tsipras,réflexions,comprendre,savoir,connaîtreFaut-il parler de la Grèce, de l’Europe, du Monde pour s’étonner des tragédies qui font place au dénouement le plus cruel et aux cris des peuples ? La crise, et surtout celle qui est économique se fracasse sur le socle de ce monde capitaliste, c’est tout un modèle de société qui est à revoir et la soi-disant démocratie est bien malade. Les lobbies industriels ne cèdent pas leur place facilement et ce sont eux qui dirigent avec quelques magnats de l’industrie le monde,  je le constate.  Moi, qui rêve d’une société plus partageuse et moins gourmande, et cela en protégeant la planète qui n’en peut plus de nos gaspillages intempestifs. Le regard que l’on pose en ce moment sur la Grèce me fait penser à ce regard méprisant qu’une certaine diaspora a sur les Grecques en général et sur les pauvres en particulier. Il nous faut un peu plus de solidarité et de reconnaissance envers ce peuple, berceau de la démocratie, ce peuple qui n’arrive plus à vivre comme d’autres pays dans le monde. Je vois là l’échec d’un certain modèle de société, et tous les peuples que l’on traite en esclave je les vois en otages d’une oligarchie financière qui se soucie peu d’eux. Alexis Tsipras a bien du mérite pour défendre sa population dans ce cas, il lui faut l’énergie nécessaire pour emmener son peuple vers la fin de l’austérité, même si je crois que ce système est faussé à la base et qu’il faut revenir à des vertus plus sociables. À mon niveau, je ne peux que dénoncer ces choses et rêver à un monde meilleur où notre plus bel acte à concevoir serait de comprendre l’autre sans violence et avec respect.

 

(Rendez-vous pour une nouvelle petite... de Franck)