23/05/2015
Chemins & Dialogues (extrait)...(5)
Chemin… (7)
Mon corps tout entier aspire longuement à se créer en assimilant toutes les pulsations possibles. Sa capacité à se mouvoir par des pensées claires venues à lui et à son esprit, par toutes ses activités dans une métamorphose agréable au cortex. Des milliers de luminosités captives libéreront par la simple contraction de celui-ci à respirer et à inspirer les suggestions les plus dynamiques à nos cellules. De là se régénéreront de nouvelles cellules, grâce à l’effort du corps pour assimiler les idées parcourant les neurones du cerveau jusqu’à l’intégralité de l’organisme. La conscience apparaîtra utile à cette réalisation avec le soutien de l’inconscient dans une sorte d’émulation collective d’elles-mêmes ; de cette alchimie méditative tout à l’intérieur de l’être s’en trouvera comme transformé par cette seule expérience positive du corps et de l’esprit.
&…
Dialogue… (7)
Adopter toutes les respirations utiles au fonctionnement du corps, par des solutions mentales. Absorber toutes les pensées sonores et lumineuses afin que tout s’harmonise dans l’intégralité de l’organisme, par-delà les efforts à accomplir, de façon que de nouvelles cellules intègrent toutes les informations concevables pour l’amélioration du corps et de l’esprit ! Pour que l’inconscient réclame à la conscience comment créer à l’intérieur de l’être une osmose tranquille pour une vie inédite. Par le positif, atteindre cet idéal, comme référence de l’intelligence en action, de cette pratique immuable viendront se greffer d’autres possibilités merveilleuses que nous réserve notre anatomie.
(Pensées philosophiques & spirituelles inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues")
à suivre...
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : corps, esparit, libération, pulsations, organisme, bien-être, kraly, pensées, philosophiques, spirituelles, écrivain, conscience, cortex, solutions, mentales, réalisation, alchimie, être, intérieur, réflexions, comprendre, savoir, connaître
12/02/2015
Champs vibratoires...
Des champs vibratoires pour mieux comprendre nos modes de fonctionnement
Un certain nombre de chercheurs contemporains se sont intéressés à l’aspect vibratoire de l’existence de diverses manières. Il semblerait que ces champs vobratoires ou morphiques sont porteurs d’informations qui pourraient apporter une ouverture sur une autre façon d’aborder la vie et donc la santé. Citons, à titre d’exemples, les travaux sur les champs du physicien Fritz Albert Popp, du mathématicien Emile Pinel et du biologiste Rupert Sheldrake...
Nous sommes tous unique, il est donc logique de comprendre que chaque type de cellule, de tissu, d’organe, et d’organisme, bref chaque manifestation de la vie a son propre champ ou mode vibratoire. Ces champs "morphiques"comme le souligne souvent le biologiste britannique Rupert Sheldrake sont de véritables sources d’information....
On pourrait presque parler de mémoire vibratoire qui conditionne nos modes de fonctionnement..
Une observation délicate et rigoureuse
Hippocrate disait : "si tu es malade, recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir."
Bien sûr, il ne s’agit là que d’observer ce que nous ressentons simplement sans l’ombre d’un jugement, et de comprendre ce que cette maladie cherche à mettre en évidence dans cette histoire qu’est la nôtre. De cette observation, peut se dégager, une vibration autre que celle qui se manifeste actuellement, et qui donnera à nos cellules l’énergie pour que notre corps fonctionne à nouveau de façon harmonieuse. On dit alors que ce corps est sain et non malade.
En effet, si nos émotions sont des vibrations, cela signifie que nous vibrons de manière différente en fonction de ce que nous ressentons, de ce que nous vivons, des personnes que nous rencontrons, des événements que nous expérimentons... "une évidence" me direz-vous, certes, mais ne cherchons-nous pas toujours à vouloir changer ce qui est pour un hypothétique et imaginaire ailleurs qui par essence serait mieux et ne voyons-nous pas ce qui nous arrive comme un défilé d’événements que l’on qualifie tantôt d’agréables et tantôt de désagréables ?
Comme le disait si bien Albert Einstein "Le problème de notre temps n’est pas la bombe atomique, mais le cœur de l’homme"
En occident, nous avons tendance à privilégier notre cerveau gauche, c’est à dire à insister plus sur le coté rationnel et analytique de l’existence. Notre cerveau droit, celui qui est impliqué dans nos émotions, notre coté intuitif et notre sensitivité - à ne pas confondre avec la sensiblerie- semble être beaucoup moins sollicités par notre mode d’éducation.
Ainsi, si notre coeur est harmonieux, c’est à dire si nous vivons ce que nous ressentons, nos vibrations sont également harmonieuses. Et chacun d’entre nous a son mode vibratoire unique qui correspond à une longueur d’onde ou à une fréquence qui nous caractérise.
Que se passe-t’il lorsque des individus se rencontrent ?
Apparemment, il est dit qu’ils s’entendent bien ou qu’ils sont en rivalité ou en guerre ou encore dans l’indifférence l’un par rapport à l’autre... En réalité, soit leurs vibrations sont sur la même fréquence ou la même longueur d’onde et leur relation est agréable, soit ils ne le sont pas et cela peut conduire à toutes sortes de manifestations en apparence confictuelles. La vie n’est-elle pas un jeu ?
La thérapie bieénergétique ou la recherche de la bonne fréquence
Souvent, c’est une situation de vie intolérable qui attire notre attention et qui nous pousse à "consulter" un thérapeute. Nous allons chercher une personne en qui nous aurons une grande confiance et qui saura nous accueillir pour ce que nous sommes, sans jugement. Vous l’avez deviné, il s’agira d’une personne avec qui nous vibrerons sur le plan émotionnel sur la même longueur d’onde ou encore avec laquelle nous sommes en résonnance vibratoire. C’est là la première étape qui vous conduira à cette observation à la fois délicate et profonde de la vie.
En effet, si par exemple, nous sommes constamment dans des pensées de peur, nous marquons nos cellules de cette émotion, de cette vibration. Notre corps se met donc à vibrer dans les fréquences de cette émotion qu’est la peur. Cela conduit notre organisme à fonctionner de façon non harmonieuse. Cela peut, dans certains cas, conduire à un mauvais fonctionnement de certains organes, à des malaises et même probablement à des maladies.
C’est notre mémoire enfouie depuis des années qui a enregistré ces émotions. Quand un événement que nous vivons met en situation ce qui a été vécu comme un choc, cela déclenche des réactions qui vont, vous l’aurez compris, agir directement sur nos organes. En effet, dans le cas de la peur, il s’agit de la projection d’une émotion très forte qui a été enregistrée comme étant un événement à ne pas revivre car jugé comme trop douloureux ou non acceptable.
Prenons un exemple bien concret.
Gustave veut entammer une thérapie bioénergétique car il souffre de façon chronique et depuis longtemps de crises de foie et il ne comprend pas pourquoi tous les traitements qu’il a suivi n’ont aucune efficacité.
Nous pouvons pour l’instant juste observer que notre ami Gustave vit dans la souffrance et que sa vie n’est pas vraiment en harmonie puisqu’il semblerait qu’il en ait assez de ses crises de foie. Il vibre donc dans des fréquences plutôt négatives et colorées d’une certaine souffrance.
Gustave se sentant en confiance se met spontanément à raconter son histoire. Il découvre que lorsqu’il était petit, on le grondait toujours pour un oui ou pour un non. A la maison, tout le monde lui criait dessus et quand il parlait avec ses parents, il n’était jamais entendu et on se moquait tout le temps de ce qu’il racontait et donc de ce qui avait de l’importance à ses yeux à ce moment précis. On lui disait toujours "ça n’est pas grave, tu ne vas pas en mourir tout de même, quelle petite nature ou encore tu t’écoutes trop"...Son cerveau émotionnel a enregistré depuis la petite enfance que tout ce qu’il faisait, tout ce qu’il pouvait ressentir n’a aucune valeur. Et cela lui provoquait une colère qu’il ne pouvait pas exprimer Il a enregistré tout ceci dans sa mémoire que nous allons ici qualifier de mémoire émotionnelle, c’est à dire celle que nous avons cherché à enfouir pour ne plus souffrir et paradoxalement celle qui provoque en nous des réactions souvent excessives par rapport à la situation que nous vivons et qui nous crée parfois des souffrances incompréhensibles.
Vous commencez à comprendre ce qui se passe ? Cette mémoire qui est reliée à toutes ces émotions enfouies car trop pénibles, provoque en nous un certain nombre de réactions que l’on ne peut pas empêcher.
Au cours d’une conversation, le thérapeute demande à Gustave si ses crises de foie sont reliées à des événements particuliers. Il répond qu’il ne sait pas trop mais qu’il se souvient qu’avant sa dernière crise, il avait présenté un projet d’une grande importance pour la société qui l’emploie et qu’il avait du le défendre seul. Il avait bien sûr l’approbation de sa hiérarchie qui trouvait sa réalisation réussie mais c’était une "première "pour lui de se trouver dans une situation où lui devait "vendre" son projet.
Vous comprenez, n’est-ce pas.? Gustave a bien enregistré dans sa mémoire émotionnlle qu’il ne vaut rien. Donc il est inquiet et son cerveau, malgré lui, va commander à son foie de ne pas bien fonctionner, comme ça il pourra fuir une éventuelle situation qui lui ferait revivre les moqueries de son enfance.
Gustave en reliant ces deux données commence à observer son mode de fonctionnement et sa colère rentrée. De cette observation est née une véritable guérison. Il a compris avec tout son être que ses crises de foie constituait un mécanisme de défense qui finalement faisait tout sauf le défendre puisque cela le rendait malalde.
Depuis, Gustave est joyeux, il ne craint plus les critiques, ne vit plus dans la peur d’être jugé et bien sûr n’est plus du tout sujet à des crises de foie répétitives.
Tout ceci ne s’est pas fait du jour au lendemain, mais Gustave a découvert que ses émotions le conduisait dans une vibration non harmonieuse et que ces vibrations le conduisait dans des situations qu’il cherchait à éviter. Gustave a accepté de se confronter à ses peurs, à ses souffrances et maintenant, il vibre autrement, son corps est guéri de cet handicap et sa vie est transformée. Comme il l’a justement dit à son thérapeute "je suis libre dans ma tête et je vis, je ne suis plus en état de survie, c’est reposant. J’ai l’impression d’être un autre homme et en même temps, j’ai l’impression que cela a toujours été là, il suffisait que j’accepte cette histoire qui était ma vie.’
Vous pouvez aussi écouter ce beau témoignage d’un jeune de 16 ans directement ici
Voilà, si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter.
Nous vous souhaitons de tomber amoureux du personnage que vous êtes.
Source : Bioénergiecenter
05:00 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bioénergie, champs vibratoires, histoire, ondes, méthodes, harmonie, ressenti, souffrance, instant, thérapie, fréquences, pensées, observations, coeur, individus, cerveau, organisme, cellules, réflexions, comprendre, savoir, connaître, fonctionnement
12/12/2013
Arabidopsis thaliana...
Arabidopsis thaliana est une plante de la famille des Brassicacées (Crucifères) à laquelle appartiennent de nombreuses espèces cultivées utilisées dans l'alimentation (chou, navet, radis, raifort, moutarde etc.). C'est une plante herbacée de 10 à 15 cm de haut à l'état adulte. Elle est formée d'une rosette de feuilles de 2 à 5 cm de diamètre située au ras du sol dont se détachent une courte racine et un pédoncule floral portant une inflorescence. D'autres inflorescences se forment sur les rameaux secondaires. Les fleurs blanches de quelques mm sont typiques des Crucifères avec quatre sépales et quatre pétales disposés en croix, quatre étamines et un pistil. Il y a autofécondation et chaque fleur se transforme en un fruit qui est une capsule allongée, une silique, contenant de 30 à 50 minuscules graines. Chaque plant peut ainsi produire plusieurs milliers de graines à chaque génération. Si la lumière, la température et les autres facteurs de croissance ne sont pas limitants, le cycle se déroule en six à huit semaines.
A. thaliana a cinq paires de chromosomes. La longueur de l'ADN d'une cellule haploïde est estimée entre 60 et 100 millions de paires de bases (60 000 à 100 000 kpb), environ cent fois plus petite que celle de plantes cultivées comme l'orge et le maïs. Plusieurs centaines de mutations sont connues et quelques unes d'entre elles sont aisément détectables à l'œil nu (couleur, poils, fleurs etc.).
L'ensemble de ces caractéristiques (nombreuses mutations, culture facile, croissance rapide, petite taille, autopollinisation, descendants nombreux, petit génome) ont conduit la communauté scientifique internationale à faire de cette plante le représentant des végétaux chlorophylliens vasculaires parmi les organismes modèles utilisés en génétique. Un programme international de séquençage de son génome auquel participent des laboratoires du monde entier, dont une trentaine en Europe, a été lancé en 1989.
- Culture
- Utiliser un mélange de terreau et de vermiculite (10 volumes et 2 volumes respectivement) placé dans de petits pots dont le fond est percé d'un trou.
- Remplir une série de pots avec le mélange ci-dessus et le tasser en donnant un coup sec sur le fond.
- Disposer un peu de terreau sur la surface supérieure et le comprimer légèrement pour former un fin lit sur lequel seront semées les graines.
- Placer les pots à tremper dans l'eau jusqu'à ce que la surface du terreau devienne humide par capillarité.
- Semer les graines en surface. Utiliser l'extrémité humidifiée d'une petite spatule ou d'une pipette Pasteur boutonnée pour transférer 2 ou 3 graines par pot.
- Placer les pots dans un germoir et le germoir au réfrigérateur pendant 2 à 5 jours pour synchroniser la germination.
- Placer le germoir sous une rampe lumineuse dans une enceinte maintenue à 22 à 25°C avec éclairement permanent. Pour maintenir le terreau humide, les pots sont placés dans 1 à 2 cm d'eau pendant une heure chaque jour.
- Dès que la germination se produit, entrouvrir le couvercle du germoir.
- Lorsque la pousse présente ses deux premières vraies feuilles (2 cotylédons et deux feuilles doivent être visibles), enlever le couvercle du germoir. Les plantes peuvent alors être arrosées par le haut. Le terreau doit rester humide mais pas détrempé.
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