Allez les yeux invisibles vers le beau.

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05/01/2014

Chemins & Dialogues... (7)

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Chemin… (14)

 Sûr qu’il nous reste dans la conscience cette chose si belle à percevoir, à voir éclore comme une pensée au soleil. Cherchons à savoir son langage, de sa propre vie qui sommeille en nous comme une image sereine, dès lors que nous connaîtrons son verbe... La vie s’ouvrira, alors, comme une fleur et s’épousera à toutes les chances extraordinaires ; là se situe la vérité. Être dans le positif, être toujours en quête de cela, se mouvoir à cette idée que le positif crée l’existence, et fait naître l’espoir. Toutes les situations heureuses ont une histoire saine et régénérante qu’il nous faut savoir apprendre, ce langage universel auquel je crois vient de cette présence qui s’adapte le mieux à l’élévation de l’esprit par le cœur, cela se conjugue ainsi, cela s’ajuste à nos âmes.

 

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Dialogue… (14)

 

 De la conscience vit ce qui nous fait éclore : une pensée positive, celle qui se situe au zénith, près du soleil. Un langage se propose, ainsi, de nous connaître, il se veut universel et facile d’accès, sa propre facilité tient à ce qu’il nous arrive par le cœur. Son message se veut direct et sans détour, il s’ouvrira à nous comme une fleur dès lors que nous aurons voulu qu’il existe en nous. Ne cherchons pas à dissimuler sa vie ; sa vie demeure dans nos cœurs et notre esprit. Sachons lui donner une belle lumière pour qu’il puisse chanter à notre voix. Il s’amusera à nous dire que les beaux voyages sont à faire, dans l’élévation de nous-mêmes.

 

 

(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)

à suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

04/01/2014

Trois maîtres de vie... (19)

lenoir,jésus,socrate,bouddha,livre,écrivain,philosophe,essai,réflexions,comprendre,savoir... L'hypothèse de leur non-existence historique pose en effet davantage de problèmes que celle de la réalité de leur existence. C'est donc surtout en raisonnant par l'absurde que les historiens sont arrivés à la conviction que ces trois personnages ont bel et bien existé. S'ils étaient des mythes, comment expliquer que ceux qui ont transmis leur message aient été si imprégnés par leur personnalité, parfois au point de sacrifier leur vie, comme ce fut le cas de la plupart des apôtres de Jésus ? On donne moins aisément sa vie pour un mythe que pour un personnage bien réel avec qui on a entretenu des liens affectifs à toute épreuve. Les Evangiles, qui racontent la vie de Jésus, manifestent l'amour et l'admiration puissante de ses disciples à son égard. On ressent aussi dans les écrits de Platon, le principal disciple de Socrate, tout l'amour qu'il portait à son maître. Ses écrits ne sont en rien désincarnés, mais témoignent d'une émotion très humaine, d'une sympathie presque palpable. Ecrites plusieurs siècles après la mort du maître, les vies du Bouddha n'ont guère cette saveur et ce parfum d'authenticité du témoignage direct. Mais la même question se pose à l'historien : comment expliquer que des générations d'hommes et de femmes aient entièrement consacré leur vie à suivre les pas d'un homme qui n'aurait pas existé ? Il y a indiscutablement eu un événement majeur qui a bouleversé Pierre, Platon, Ananda et tant d'autres à leur suite. Ces proches ou lointains disciples nomment cet événement "Jésus", "Socrate" et "Bouddha". Qu'ils aient fidèlement retransmis la vie et les paroles de leurs maîtres est un autre problème, sur lequel je reviendrai. Mais nul doute que leur vie a été marquée par quelque chose de tangible, par une voix, par un discours, par des gestes qui émanaient de "quelqu'un". C'est la mémoire orale tout d'abord, puis l'écrit, qui nous ont légué le nom de ce "quelqu'un".

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à suivre...

30/12/2013

La Petite Note de Franck... (60)

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Voilà les raisons d’être positif dans toutes les étapes de sa vie, prendre conscience de soi-même et de vos buts à atteindre, je vais vous narrer mon expérience de ce jour. J’ai écrit en 2007 un roman qui a pour titre « Ce que doivent être les choses », ce roman cherche à être positif dans l’ensemble de son récit, il m’a épuisé énergétiquement jusqu’à son achèvement qui m’a conduit en hôpital psychiatrique. Après être sorti de l’hôpital, j’ai envoyé mon manuscrit à des Maisons d’édition nationales. En retour, je n’ai reçu que des réponses négatives; je le publiais, alors, à compte d’auteur avec la parution 2008. Sûr de mon talent, ce livre était tombé de mes préoccupations pendant cinq années — même qui se plaça en deuxième position dans mon cœur, car j’avais écrit un premier roman « Méloé » que je trouvais meilleur —.  Le temps passa, lorsqu’en ce début d’année 2013, j’ai une révélation venue de ma conscience, car j’entendis sa voix lorsqu’elle me parla — savoir dissocier la voix de sa conscience, de sa voix de son inconscience — cela s’écoute, mais avec une certaine différence. La voix de ma conscience personnelle est toujours positive (après avoir bien réfléchi, je sais maintenant que cela est définitif, elle ne changera plus, car elle vient directement de mon cœur par l’esprit), ce matin-là j’étais dans ma cuisine à préparer mon petit-déjeuner lorsque celle-ci s’éveilla en moi. Elle me disait ceci : « tu as écrit un bon roman “Ce que doivent être les choses”, félicitations, Franck. » Je répondis : « merci. » Cette voix venue de mon cerveau me dit : « tu n’as pas à me remercier. »  Cette belle voix, alors, s’évanouissait dans ma joie, je pris alors conscience de l’importance de ce roman. Je relus plusieurs fois ce fameux roman et j’étais convaincu de la force créatrice de ce que j’avais écrit. C’est alors que je l’envoyais à d’autres Maisons Éditrices, je reçus toujours les mêmes rejets, mais cela ne me décourageait pas pour autant, il y eut un jour (il y a un mois) un prof qui proposa des séances « d’atelier d’écriture » dans ma petite ville, ma conscience me parla à nouveau en me disant d’aller voir ce prof, ce que je fis, alors que je suis, par nature, un être réservé. J’apportais mon roman, il se proposa de le lire, ce monsieur était Professeur d’Universités à Nantes. Je reçus par mail (peu de temps après) une réponse de lui qui me fit plaisir. À part quelques notations (en bas page) pour l’améliorer; il trouva la deuxième partie de mon roman plus convaincant avec une écriture fluide, il lui semblait, cependant, le sujet « relativement ésotérique » donc réservé à un public averti, alors que pour moi mon livre est universel! Il me donna l’adresse d’un éditeur sur Paris pour ce genre d’ouvrage, et ma voix de ma conscience me demanda de le réécrire sans dénaturer l’ensemble du sujet qui avait toujours sa force. Je suis, ainsi, à la réécriture de ce roman grâce aux notations du début de cet ouvrage que le prof avait semblé un peu faible. Une fois terminé, je l’enverrais à cet Éditeur, car pour moi ce livre suit sa bonne étoile qui l’emmènera à sa publication, j’en suis sûr! Croire et être positif c’est le parcours que je me suis choisi, jusqu’au bout; je reste persuadé que ce livre (1) est bon pour ne pas dire qu’il soit génial!

 

 

(1) J’ai publié ce roman sur un site de livres (en seconde édition) « lulu.com » ( je pense qu’il ne ressemblera pas, tout à fait, à celui que je prépare).

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)

 

À suivre...

27/12/2013

Textes pour grandir... (3)

ITINÉRAIRE D’UN HOMME

  

images-2.jpegPenser, méditer, il veut comprendre le message que sa conscience a mis en place. Son savoir apparaît immense, mais lui se montre démesurément ridicule aux yeux de certains. Sa force, sa capacité à pouvoir par sa seule volonté de lancer ses chevaux de son cerveau à l’assaut de ces imbéciles l’emprisonne dans le recoin de sa richesse intérieure. Mais comme sa connaissance se rêve sans limites, il a peur de tirer sur les rênes pour freiner son intelligence. Un itinéraire favorable, alors, se trace merveilleusement devant lui, vers une de ces directions, dont son esprit à la possibilité d’en mesurer la longueur. Il prend à nouveau conscience du beau voyage à parcourir, pour aller vers ce point de mire, vers ce soleil éclatant. Ainsi, son inconscient s’entête à le dévier de cette route enchantée, pourquoi ne pas comprendre ou ne pas aimer le sérieux de cet homme, de toute évidence, il possède en lui de sublimes songes. Par prouesses, il emmena ses acolytes vers la rivière de l’existence et sur le chemin de l’amour, car l’important pour nous tous réside dans le devoir de vivre, d’espérer, et de croire. Non seulement en nous-mêmes, mais à cette lumière qui brille à distance. De la sorte s’épanouit la grâce de cette noble âme dont le destin s’obstine dans sa tête à ce que la vie devient la plus positive pour l’universel monde.


(Texte inédit de Pôl Kraly - "Itinéraire d'un homme vers la lumière").


à suivre...

18/12/2013

Chemins & Dialogues... (6)

images-2.jpegChemin… (7)

 

Mon corps tout entier aspire longuement à se créer en ingérant toutes les pulsations possibles. Sa capacité à se mouvoir par des pensées claires venues à lui et à son esprit, par toutes les activités dans une métamorphose agréable au cortex. Des milliers de luminosités captives libéreront par la simple contraction de celui-ci à respirer et à inspirer les suggestions les plus dynamiques à ses cellules. De là se régénéreront de nouvelles cellules, grâce à l’effort du corps pour assimiler les idées parcourant les neurones du cerveau jusqu’à l’intégralité de l’organisme. La conscience apparaîtra utile à cette réalisation avec le soutien de l’inconscient dans une sorte d’émulation collective d’elles-mêmes ; de cette alchimie méditative tout à l’intérieur de l’être se considéra comme transformer par cette seule expérience positive du corps et de l’esprit.

 

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Dialogue… (7)

 

Adopter toutes les respirations utiles, au fonctionnement du corps par des solutions mentales. Absorber toutes les pensées sonores et lumineuses afin que tout s’harmonise dans l’intégralité de l’organisme, par-delà les efforts à accomplir. De façon que de nouvelles cellules intègrent toutes les informations concevables pour l’amélioration du corps et de l’esprit ! Pour que l’inconscient réclame à la conscience comment créer à l’intérieur de l’être une osmose tranquille pour une vie inédite ? Par le positif, atteindre cet idéal, comme référence de l’intelligence en action, de cette pratique immuable viendront se greffer d’autres possibilités merveilleuses que nous réserve notre anatomie.


(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)


à suivre...

 

 

 

 

17/12/2013

Textes pour grandir... (2)

 

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L’HOMME SANS COSTUME

 

L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause  ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience  ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle  ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors  ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.

 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")

14/12/2013

Trois maîtres de vie... (18)

images-2.jpeg... En réalité, il n'existe aucune preuve définitive de leur existence historique. Celui que l'on appelle "le Bouddha", titre qui signifie "l'Eveillé", aurait vécu dans le nord de l'Inde il y a deux mille cinq cent ans. Le Grec Socrate aurait vécu à Athènes il y a environ deux mille trois cent ans. Jésus serait né en Palestine il y a un peu plus de deux mille ans. Leurs tombes ni leurs ossements n'ont été conservés. Il n'existe nulle monnaie, nulle trace archéologique qui leur soient contemporaines et qui puissent attester de leur existence ou valider les évènements de leur vie, comme ce fut le cas pour les grands monarques tels Alexandre le Grand ou Jules César. Ils n'ont eux-mêmes rien écrit, et les textes qui racontent leur vie sont principalement l'oeuvre de disciples et ont été rédigés quelques années après sa mort pour Socrate, quelques décennies pour Jésus, plusieurs siècles pour le Bouddha. En l'absence de traces archéologiques et de témoignages historiques variés et concordants, les historiens ne peuvent donc affirmer avec une certitude absolue l'existence de ces trois personnages. Pourtant, tous s'accordent à reconnaître comme "hautement probable" l'existence historique de Socrate, de Jésus et du Bouddha. Et cela, encore une fois, malgré l'absence de preuves tangibles de cette existence, de décrets signés de leur nom propre, de traces palpables qu'ils auraient directement léguées à la postérité. Pourquoi ?

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à suivre...