03/02/2014
Chemins escarpés...
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À la naissance germe la conscience comme vecteur aux songes qui vivent en nous, l’impulsion que nous donnons aux rêves fait que ceux-là se déplacent dans notre inconscient. De cet inconscient, ils revivent sous différentes formes en notre conscience qui laisse cheminer en elle tout ce décorum, spectacle des pouvoirs de notre cerveau. Ainsi les plus belles images progressent de notre imagination par les confins de notre esprit qui en déterminent le sens, sens progressif vers un mieux-être. Toute envolée suspecte de ces rêves ne serait que l’intime cheminement de ces rêves vers les contrées mystérieuses de notre inconscient qui en faciliterait les paysages qui se formuleraient. Géniales dispositions à se diriger ; d’aller vers les pensées les plus directes de notre épanouissement pour faire éclore ces choses de nous. Cherchons, alors, à comprendre vers où ces pensées se dirigent, car nul voyage ne se fait sans raison. Dès lors que l’on pourra savoir vers quels endroits elles ont la possibilité de vivre, le moment sera venu de refléter la lumière sur ces destinations ombragées. De quoi sont faites ces émanations dans leur traversée interne et dans quelle direction iront-elles, je pense, dans nos refuges cérébraux ? Car là, il y aura la possibilité de déchiffrer les messages intelligents, porteurs d’un savoir commun. Le poète pourra en formuler le langage par : « Que tout ce qui touche aux songes vient à la conscience, berceau de nos naissances latentes ». Ces songes vivront, et cela grâce à l’inconscient, car ils nous arriveront par la conscience.
(Extrait de "Chemins escarpés" de Pôl Kraly - à paraître en Février 2012 aux Ed. "Pays d'Herbes")
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02/02/2014
Santé & Cosmo Tellurisme... (28)
La spiritualité :
... Toute parole, tout geste, tout acte, tout comportement doit être mesuré. Non par la volonté ou par un contrôle de soi, mais par une autre notion qui est "la mesure".
Chaque personne est une cellule différente, mais par rapport à un Tout, ce principe est celui du microcosme et du macrocosme. C'est donc à chacun de mesurer sa connaissance, ses possibilités, ses pouvoirs, par rapport à cet Ensemble, ce Tout.
La Vie est une aventure qui se vit entre la notion du Bien et du Mal. L'homme a tous les enseignements en lui par rapport au bien et au mal (la notion du bien et du mal sur le plan physique, mais aussi sur le plan mental).
La spiritualité est le monde supérieur de toute conscience physique de cette Terre et la radiesthologie est une science d'approche de la Connaissance. La radiesthologie est l'ouverture vers la Voie, la voie de la Lumière divine.
La spiritualité est intimement liée à la radiesthologie parce que cette forme de radiesthésie est une ouverture vers la spiritualité et peut aider à un discernement et à une "maîtrise de soi". Cette maîtrise de soi n'est pas une discipline, mais un Etat qui consiste à canaliser et à diriger son "Moi".
La radiesthologie doit être considérée comme un moyen d'approche vers des états supérieurs. C'est une science qui facilite cette élévation, parce qu'elle est le support d'un instinct, de l'intuition, d'où la maîtrise, le discernement et la canalisation.
La spiritualité n'est donc pas seulement un enseignement, mais aussi un état d'âme. L'âme est le subtil de l'esprit, comme l'esprit est le subtil de la matière.
(Extrait de "Santé et Cosmo Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. "Dangles" - 1984)
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20/01/2014
Chemins & Dialogues... (8)
Chemin… (8)
Ce qui nous empêche de percevoir, ce que l’inconscient, en son sein, fabrique pour masquer ce qu’il y a d’essentiel à la conscience. Je veux dire par là que notre inconscient est l’exemple même de la suspicion, l’inconscient dirige de mauvaises interprétations à la conscience. Savoir discerner la juste parole que nous délivre la conscience n’est pas toujours facile. À nous de comprendre dans les dédales du cerveau « la vraie voix » celle qui se traduit par une écoute assidue de notre intelligence. Celle-là est faite pour déceler et renforcer notre esprit à l’urgence des mots ; ses conseils sont nécessaires, je pense avoir formulé cette notion de « l’unique voix », par-delà les pensées qui se structurent en nous-mêmes et nous confortent dans le choix positif du message reçu. De là, nous devons faire ce que nous dit la conscience en parfaite harmonie avec nos pensées, il nous faut la considérer par ses messages authentiques et dans leur déchiffrage.
&
Dialogue…(8)
L’inconscient est la parole qu’il faut traduire lorsqu’elle arrive à la conscience. On dit souvent qu’il faut plus écouter ce que dit notre inconscient, c’est ce que les psychiatres veulent nous faire croire, mais il ne faut pas oublier que la conscience possède la vraie voix et qu’il faut l'écouter. Parfois, celle-ci est parasitée par notre inconscient qui voudrait être la parole juste, sauf que la conscience est le passage véritable pour nous arriver à nous. Je conseille à tous et à toutes de savoir discerner « cette voix essentielle » ; qui de nos pensées nous transmettre la marche à suivre ? En tous les cas, il faut savoir, écouter la parole authentique cela se fait par une grande connaissance de notre intelligence. Personnellement, je parle à ma conscience et elle me répond, ses mots sont toujours la certitude du choix que vous devez faire, car ce choix est toujours positif. Pour terminer, méfiez-vous de l’inconscient, car il est vague et n’a pas cette « voix unique ». Quelquefois, il veut parler par une voix, mais elle n’est jamais positive. Pourtant tout part de l’inconscient et se construit dans la conscience, mais la conscience purge toutes les informations négatives pour nous donner le naturel message à écouter. L’inconscient est le réservoir de tous nos déchets du quotidien, de nos peurs et de nos frustrations.
(Pensées et Réflexions inédites in "Chemins & Dialogues" de Pôl Kraly - à paraître).
à suivre...
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17/01/2014
Toute conscience est conscience de quelque chose...
Toute conscience est conscience de quelque chose, Husserl
Husserl est le philosophe marquant de la philosophie contemporaine. Il rénova complètement la philosophie à son époque et introduisit des idées qui furent très fécondes et qui influencèrent les philosophes postérieurs comme Sartre, Heidegger ou Lévinas pour ne citer qu'eux. La première de toutes ces découvertes, celle qui nous intéresse ici, s'appelle l'intentionnalité. Elle est un point central dans la doctrine de Husserl, et est souvent exprimée de manière très laconique par l'expression : « Toute conscience est conscience de quelque chose ». Cette formule lapidaire, exprimant l'intentionnalité chez Husserl, fera date car elle brise avec la tradition philosophique dominante jusqu'alors, sur le sujet de la perception.
La perception des objets matériels, la façon pour nous de les voir, était habituellement expliquée, par la philosophie, de la sorte : l'oeil de l'observateur percevait un objet extérieur, dans le monde et, lors de cette vision, une image de l'objet-vu s'imprimait dans la mémoire de l'observateur. La compréhension de la perception était donc très basique, et n'allait pas chercher très loin. Il y avait un homme, un objet dans le monde et une image de ce dernier qui était « captée » par l'homme.
Comment Husserl a-t-il pu expliquer la perception d'une autre manière ? Pourquoi cette explication « évidente » jusqu'à lui ne la satisfaisait-il pas ? Le problème avec cette compréhension, pour Husserl, est qu'elle ne rend pas compte de la réalité. Cette compréhension de la perception ne rendait pas adéquatement l'intimité de la relation entre l'objet et le sujet, entre la chose-vue et l'observateur. Pour elle, il y avait deux objets, l'objet-vu réel et l'objet représenté dans l'esprit, l'image de l'objet réel. La conscience était donc vue comme un réceptacle que des images venaient simplement remplir. La conscience n'était pas assez vivante, elle était passive, elle se contentait de recevoir ce qui se présentait à elle.
Husserl va faire remarquer qu'en fait, il n'y a pas deux objets dans la perception, mais bien un seul ! Il n'y a pas d'une part l'objet dans la réalité, et d'autre part l'objet dans notre esprit. Il n'y a qu'un seul objet, ce qu'il appelle l'objet intentionnel. L'objet perçu n'est rien d'autre que l'objet vu par une conscience. L'observateur n'aperçoit pas un objet pur, nu, pour le stocker ensuite dans sa mémoire sous forme d'image. La perception est toujours empreinte d'intentionnalité. L'objet dans l'esprit n'est en aucun cas, comme la tradition voulait le croire, l'image dégradée d'un objet existant réellement, d'un objet objectif. Au contraire, l'objet est toujours et déjà appréhendé par la conscience. La conscience pour percevoir s'élance vers un objet, elle se projette vers lui, elle le vise. La conscience est active, la perception n'est pas une réception d'image ; elle est toujours emprunte d'une intention. Si elle voit l'objet perçu, c'est parce qu'elle s'élance vers lui avec une intention préalable.
Husserl dit qu'il y a une intention de signification au départ de toute visée, de toute perception. En ce sens, il affirme que toute conscience est conscience de quelque chose d'autre. Autrement dit, la conscience n'est pas un réceptacle, elle ne reçoit rien. Elle n'est que la projection d'une intention sur un objet visé. Et c'est cette projection seule, cette intention, qui confère une première signification à l'objet visé. Il n'y a pas de conscience seule, il n'y a pas d'objet seul, pur. La conscience est d'emblée portée sur un objet, et l'objet n'est jamais appréhendé sans intention de la part de la conscience.
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14/01/2014
Les Eveilleurs de conscience... (par delà le monde)
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11/01/2014
Le Miracle de la Pleine Conscience... (4)
La tasse entre vos mains :
J'ai un ami très proche aux Etats-Unis qui s'appelle Jim Forest. Lorsque je l'ai rencontré, il y a huit ans, il travaillait avec l'Association catholique pour la paix (Catholic Peace Fellowship). L'hiver dernier, Jim m'a rendu visite. D'habitude, je fais la vaisselle juste après le dîner pour ensuite m'asseoir et prendre le thé avec mes invités. Un soir, Jim m'a demandé s'il pouvait laver la vaisselle. Je lui ai dit : "C'est d'accord, mais il faut le faire selon les règles de l'art." Jim a répliqué : "Allons, pensez-vous que je ne sois pas capable de le faire correctement ?" Je lui ai répondu : "Il y a deux manières de laver la vaisselle : la première, c'est laver la vaisselle pour avoir des assiettes propres ; la seconde, c'est laver la vaisselle pour laver la vaisselle. " En entendant cela, Jim s'est réjoui : "Eh bien, je préfère nettement la deuxième solution : laver la vaisselle pour laver la vaisselle !" Ce jour-là, je lui en ai transmis la responsabilité pour la semaine. Depuis, Jim sait faire la vaisselle.
Lorsque nous nettoyons les assiettes, si nous pensons uniquement à ce qui nous attend - une tasse de thé par exemple - nous allons tenter de nous débarrasser de la vaisselle au plus vite. Celle-ci devient une véritable corvée, un moment franchement déplaisant. Ce n'est pas laver la vaisselle pour laver la vaisselle. De plus, pendant tout ce temps, nous ne sommes pas vraiment vivants car complètement ignorants du fait que c'est un authentique miracle de la vie que d'être debout, là près de l'évier ! Le problème est le suivant : si nous ne savons pas faire la vaisselle, il y a fort à parier que nous ne saurons pas non plus apprécier notre tasse de thé. Quand nous boirons notre thé, nous penserons à tes tas d'autres choses, remarquant à peine la tasse entre nos mains. Nous nous trouvons constamment aspirés par le futur, totalement incapables de réellement vivre la moindre minute de notre vie. Le miracle, c'est de vivre profondément le moment présent.
(Extrait de "Le Miracle de la Pleine Conscience " de Thich Nhat Hanh - Ed. "J'ai lu" - 2008)
à suivre...
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30/12/2013
La Petite Note de Franck... (60)
Voilà les raisons d’être positif dans toutes les étapes de sa vie, prendre conscience de soi-même et de vos buts à atteindre, je vais vous narrer mon expérience de ce jour. J’ai écrit en 2007 un roman qui a pour titre « Ce que doivent être les choses », ce roman cherche à être positif dans l’ensemble de son récit, il m’a épuisé énergétiquement jusqu’à son achèvement qui m’a conduit en hôpital psychiatrique. Après être sorti de l’hôpital, j’ai envoyé mon manuscrit à des Maisons d’édition nationales. En retour, je n’ai reçu que des réponses négatives ; je le publiais, alors, à compte d’auteur avec la parution 2008. Sûr de mon talent, ce livre était tombé de mes préoccupations pendant cinq années — même qui se plaça en deuxième position dans mon cœur, car j’avais écrit un premier roman « Méloé » que je trouvais meilleur —. Le temps passa, lorsqu’en ce début d’année 2013, j’ai une révélation venue de ma conscience, car j’entendis sa voix lorsqu’elle me parla — savoir dissocier la voix de sa conscience, de sa voix de son inconscience — cela s’écoute, mais avec une certaine différence. La voix de ma conscience personnelle est toujours positive (après avoir bien réfléchi, je sais maintenant que cela est définitif, elle ne changera plus, car elle vient directement de mon cœur par l’esprit), ce matin-là j’étais dans ma cuisine à préparer mon petit-déjeuner lorsque celle-ci s’éveilla en moi. Elle me disait ceci : « tu as écrit un bon roman “Ce que doivent être les choses”, félicitations, Franck. » Je répondis : « merci. » Cette voix venue de mon cerveau me dit : « tu n’as pas à me remercier. » Cette belle voix, alors, s’évanouissait dans ma joie, je pris alors conscience de l’importance de ce roman. Je relus plusieurs fois ce fameux roman et j’étais convaincu de la force créatrice de ce que j’avais écrit. C’est alors que je l’envoyais à d’autres Maisons Éditrices, je reçus toujours les mêmes rejets, mais cela ne me décourageait pas pour autant, il y eut un jour (il y a un mois) un prof qui proposa des séances « d’atelier d’écriture » dans ma petite ville, ma conscience me parla à nouveau en me disant d’aller voir ce prof, ce que je fis, alors que je suis, par nature, un être réservé. J’apportais mon roman, il se proposa de le lire, ce monsieur était Professeur d’Universités à Nantes. Je reçus par mail (peu de temps après) une réponse de lui qui me fit plaisir. À part quelques notations (en bas page) pour l’améliorer ; il trouva la deuxième partie de mon roman plus convaincant avec une écriture fluide, il lui semblait, cependant, le sujet « relativement ésotérique » donc réservé à un public averti, alors que pour moi mon livre est universel ! Il me donna l’adresse d’un éditeur sur Paris pour ce genre d’ouvrage, et ma voix de ma conscience me demanda de le réécrire sans dénaturer l’ensemble du sujet qui avait toujours sa force. Je suis, ainsi, à la réécriture de ce roman grâce aux notations du début de cet ouvrage que le prof avait semblé un peu faible. Une fois terminé, je l’enverrais à cet Éditeur, car pour moi ce livre suit sa bonne étoile qui l’emmènera à sa publication, j’en suis sûr ! Croire et être positif c’est le parcours que je me suis choisi, jusqu’au bout ; je reste persuadé que ce livre (1) est bon pour ne pas dire qu’il soit génial !
(1) J’ai publié ce roman sur un site de livres (en seconde édition) « lulu.com » ( je pense qu’il ne ressemblera pas, tout à fait, à celui que je prépare).
(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)
À suivre...
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