Allez les yeux invisibles vers le beau.

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21/01/2014

Sous l'esprit de son manteau...

 

SOUS L'ESPRIT DE SON MANTEAU

 

 

images-2.jpegSous l'esprit de son manteau, un homme utopique marchait sur le chemin de son rêve. Sa seule angoisse était de ne pas arriver vers son but. Il parvint à se dire : il me faut chercher des chemins de traverse pour aller plus vite. Le soleil derrière les grands arbres de la forêt où il marchait lui montrait parfois la voie entre deux branches d’arbres géants. Il ignorait le lointain de son rêve, il se confia, ainsi, la nuit à une étoile au nord de lui-même et la suivit avec entêtement. Il ne savait pas encore que c’était sa bonne étoile et qu’elle disparaissait lorsque le jour venait. Il se persuada ainsi de se reposer le jour et de marcher la nuit et de ne suivre que ce corps céleste. C’est alors qu’il fut conscient que sa marche étoilée l’emmènerait quelque part. Ainsi se manifesta son esprit sous son manteau, l'idée se maintenait au chaud, elle faisait corps avec son habit, à l’abri de celui-ci sa conscience avançait. À pied, il allait toujours vers cette chose qui se révéla à lui de plus en plus. Voilà le dénouement : sous l’esprit de son manteau, il était l’homme utopique, mais il avait compris qu’il avait une bonne étoile et surtout un nulle part lumineux, qui était son véritable chemin, car ce chemin était celui de son rêve.

 

(Texte inédit de Pôl Kraly)

20/01/2014

Chemins & Dialogues... (8)

images-2.jpegChemin… (8)

 

 Ce qui nous empêche de percevoir, ce que l’inconscient, en son sein, fabrique pour masquer ce qu’il y a d’essentiel à la conscience. Je veux dire par là que notre inconscient est l’exemple même de la suspicion, l’inconscient dirige de mauvaises interprétations à la conscience. Savoir discerner la juste parole que nous délivre la conscience n’est pas toujours facile. À nous de comprendre dans les dédales du cerveau « la vraie voix » celle qui se traduit par une écoute assidue de notre intelligence. Celle-là est faite pour déceler et renforcer notre esprit à l’urgence des mots ; ses conseils sont nécessaires, je pense avoir formulé cette notion de « l’unique voix », par-delà les pensées qui se structurent en nous-mêmes et nous confortent dans le choix positif du message reçu. De là, nous devons faire ce que nous dit la conscience en parfaite harmonie avec nos pensées, il nous faut la considérer par ses messages authentiques et dans leur déchiffrage.

 

 

&

 

Dialogue…(8)

 

 L’inconscient est la parole qu’il faut traduire lorsqu’elle arrive à la conscience. On dit souvent qu’il faut plus écouter ce que dit notre inconscient, c’est ce que les psychiatres veulent nous faire croire, mais il ne faut pas oublier que la conscience possède la vraie voix et qu’il faut l'écouter. Parfois, celle-ci est parasitée par notre inconscient qui voudrait être la parole juste, sauf que la conscience est le passage véritable pour nous arriver à nous. Je conseille à tous et à toutes de savoir discerner « cette voix essentielle » ; qui de nos pensées nous transmettre la marche à suivre ? En tous les cas, il faut savoir, écouter la parole authentique cela se fait par une grande connaissance de notre intelligence. Personnellement, je parle à ma conscience et elle me répond, ses mots sont toujours la certitude du choix que vous devez faire, car ce choix est toujours positif. Pour terminer, méfiez-vous de l’inconscient, car il est vague et n’a pas cette « voix unique ». Quelquefois, il veut parler par une voix, mais elle n’est jamais positive. Pourtant tout part de l’inconscient et se construit dans la conscience, mais la conscience purge toutes les informations négatives pour nous donner le naturel message à écouter. L’inconscient est le réservoir de tous nos déchets du quotidien, de nos peurs et de nos frustrations.

 

 

 (Pensées et Réflexions inédites  in "Chemins & Dialogues" de Pôl Kraly - à paraître).

 

à suivre...

19/01/2014

Pensée du Jour...

Bouddha

09/01/2014

Pensée du Jour...

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"L'homme est un être culturel par nature parce qu'il est un être naturel par culture."


Eugène Guillevic

20/12/2013

Pensée du Jour...

spinoza,folie,sage,réflexion,philosophe,philosophie,comprendre,savoir" C'est une grande folie de vouloir être sage tout seul. "

 

Barouch Spinoza

 

17/12/2013

Textes pour grandir... (2)

 

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L’HOMME SANS COSTUME

 

L’homme est pour une grande part, absent de lui-même, de cette révélation qui le met en cause  ; voilà la raison simple ou sotte de se vouloir se grandir. En même temps qu’il essaie de paraître de lui-même par la pensée, l’homme s’habitue à lui-même. De son désir d’être celui qui fait homme, de porter l’habit qu’il se doit d’enfiler pour montrer à tous qu’il est bien habillé. « Des petits jeux de lumière tournaient avec agilité autour de sa tête en des chercheuses de poux, pour se trouver un sens, il demeurait l’homme sans costume ». Alors intervient le vrai bon sens de sa conscience  ; de celle qui le détermine à se vêtir lui-même cet humain et par-delà même de se croire nu, que cache-t-il ? Ce que le monde lui offrait, c’est-à-dire d’être un homme civilisé, l’homme ne se sentit pas ses os à travers cet habit qui n’était pas fait pour lui. Être de ces hommes dont la nudité n’est pas un tabou aux yeux des autres où craindre que « l’habit ne fait pas le moine » selon l’usage que l’on veut bien donner à l’homme qui se voit nu. Chercher alors dans la conscience le vêtement que son inconscience ne veut pas qu’il porte n’est pas à la portée du dernier venu. Une longue étude poussa des savants émérites à savoir la raison de ce désir de ne pas se vêtir. De ne pas comprendre cette pudique chose d’être en somme habillé comme les gens dits « normaux ». Ainsi les consciences se veulent en conformité dès lors qu’elles se reconnaissent avec l’ensemble des êtres vêtus. Que penser de cet homme dont la nudité se situe dans son inconscience, sa conscience le rend-il aveugle  ? Pourquoi ce message partant de son inconscience n’est-il pas arrivé à sa conscience, alors  ? Je vous réponds simplement que son habit est resté dans son inconscience parce que l’homme en question se croyait habillé. Que faut-il alors que vous pensiez de cette petite histoire dont je vous narre la plus confidentielle intrigue ? Je vous en délivre, enfin, l’épilogue : le vêtement n’est pas d’usage à être porté, si on le porte c’est que la décence nous dit de le porter. C’est alors qu’intervient la conscience et l’on doit comprendre que notre attitude doit tenir de ce que nous dit cette seule vérité dans la subjectivité la plus concrète, l’habit se porte sans le pouvoir d’analyse qu’il est sur nous ce vêtement fait de chair et d’os.

 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly sur "Ce que la conscience à nous dire de l'homme sans costume")

11/12/2013

La Marche...


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Le réalisateur de La Marche, Nabil Ben Yadir, a rejeté les critiques sur son film formulées par l'un des fondateurs de SOS Racisme, Julien Dray, soulignant que de « véritables 'marcheurs' » de l'époque y avaient participé.



Dans un entretien au Monde daté de lundi, M. Dray, vice-président de la région Ile-de-France chargé de la culture, critique une « réécriture de l'histoire » de cette marche d'enfants d'immigrés et de militants antiracistes, partis en octobre 1983 deMarseille pour dénoncer les agressions racistes et réclamer l'égalité des droits.

JULIEN DRAY A « COPRODUIT LE FILM »

« Je n'aurais qu'une réponse à lui apporter, c'est qu'il a coproduit le film. Cela s'est très bien passé, on a eu une projection avec eux [...]. Il n'y a ni critique ni polémique à avoir », a réagi Nabil Ben Yadir, en marge d'une projection en avant-première du film à Casablanca, au Maroc.

« Il a dit que c'était un peu romancé ? [...] Il n'y a aucun problème. Nous, on a fait le film avec les 'marcheurs' des Minguettes, donc très bien », a-t-il ajouté. Selon le réalisateur, La Marche est « avant tout un film cinématographique ». Mais le film« a été fait avec de véritables 'marcheurs' », a-t-il insisté.

UN « ACCUEIL EXTRAORDINAIRE » À MARRAKECH

Outre cette avant-première, lundi soir dans la capitale économique marocaine, La Marche a également été présentée dimanche au Festival international du film de Marrakech (FIFM), en présence notamment d'un des acteurs vedettes, Jamel Debbouze.

« Au-delà d'être une histoire française, c'est une histoire universelle. C'est important l'accueil qu'on a eu à Marrakech, qui était assez extraordinaire », a commenté Nabil Ben Yadir.


Source : Le Monde



"Je viens de voir le film, essentiel d'être un "marcheur" dans la tête et participer avec eux  à cette "Belle Marche" pour l'égalité des droits et le droit à la différence cela dans le respect de chacun."


Bravo pour ce film !


Franck