Dans ce processus, qu’il soit positif ou négatif, il ne peut y avoir de compréhension. Le mouvement de la pensée, du sentiment, ne peut être compris, et il ne peut y avoir de connaissance de soi tant que subsiste l’intention d’amasser ou de résister. Il n’y a pas d’intelligence sans connaissance de soi. La connaissance de soi est un présent actif, non un jugement ; toute autocritique implique une accumulation, une évaluation à partir d’un centre d’expérience et de savoir. C’est ce passé qui fait obstacle à la compréhension du présent actif. La poursuite de la connaissance de soi est un acte d’intelligence.
Jiddu Krishnamurti









a) Efficacité et dangers :
Bien des livres et bien des personnes expliquent les bienfaits immenses résultant d'une respiration correcte. Ils témoignent de ce qu'une personne qui sait respirer est dotée d'une vitalité sans limites : la respiration forme les poumons, renforce le sang et revitalise tous les organes de notre corps. Ils disent aussi qu'une respiration correcte est plus importante encore que la nourriture. Toutes ces affirmations sont fondées.
L’ignorance n’est point le manque de savoir, mais le manque de connaissance de soi.
"Toute joie est bonheur, dès lors qu'elle nous apparaît à la conscience en état, justement, de bonheur."
La répétition constante de pensées, d'actions et d'expériences positives fait naître de nouvelles connexions neuronales. Plus ces connexions sont utilisées, plus elles se renforcent. Et elles influencent la manière dont nous allons nous comporter la prochaine fois dans une situation donnée. Nos nouvelles expériences entraînent une nouvelle extension de nos réseaux neuronaux. Ce processus, appelé "neuroplasticité", se poursuit tout au long de la vie.