Allez les yeux invisibles vers le beau.

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21/10/2013

Astuces Feng shui... (34)

Stimulez votre confiance avec du rouge :

 

images-2.jpegLe rouge est la meilleure couleur à porter si votre confiance a besoin d'être stimulée ou si vous travaillez comme commercial, car il est une source complémentaire d'énergie pour conclure des ventes. Le rouge n'est pas simplement la couleur de l'élément feu, il suggère aussi une personne solide et assurée. Particulièrement efficace en hiver, saison yin obscure, à laquelle son essence yang confère un excellent équilibre.

 

(Extrait de "365 astuces Feng-shui" de Lillian Too - Guy Trédaniel Editeur - 2006)


à suivre...

20/10/2013

Chemins & Dialogues... (1)

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Chemin… (1)

 

 

 

De la discipline essentielle comme instrument de mesure, pour que l’on puisse voir nos limites. Chercher à comprendre ce que la conscience nous enseigne, par rebond, par souffle, par apprentissage, nul doute à avoir pour polir tout cela. Refermons nos essences naturelles faites d’intelligence, laissons nos esprits apprivoiser le sens vers ce que la conscience nous dicte, toute la puissance est là et fermente depuis bien longtemps déjà. Allez vers la source même, pour en connaître l’origine savante qui fait que tout s’améliore lorsque celle-ci est au service d’un esprit en transe avec son environnement. C’est ici au-delà des mots dans l’affectation que ceux-ci veulent bien nous prédisposer à être, qu’il faut errer sur ce chemin providentiel, car il est à lui seul le plus facile à parcourir. La liberté est nécessaire si on l’encourage à se développer… En ce sens, on ne peut lui trouver que des qualités.

 


 

 

 

&

 

 

 

Dialogue… (1)

 

 

 

De cette discipline, comme base à être une unité de mesure pour produire par l’esprit, en plein accord avec la conscience, cette essence naturelle qui nous propulse. Sachons en parcourir ce chemin pour savoir ce qui motive nos émotions, améliorons le sens que l’on veut bien donner à ce chemin. L’essentiel n’est-il pas d’exister par les mots dans l’effort de l’esprit, ce qui est un dur apprentissage, de se nourrir, ainsi, de ces choses qui font une conscience en accord avec son environnement ? Être dans cette transe nécessaire est le fruit qui donnera sens à cet itinéraire particulier. De son origine, nous avancerons, car cette orientation se développera selon notre marche vers l’intelligence.

 

 

 (Pensées & Réflexions de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître) 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

19/10/2013

La puissance de l'esprit...

16/10/2013

Pensée du Jour...

spinoza,pensée,désir,idées,philosophe,philosophie,réflexion,comprendre,savoirQu'il ait des idées claires et distinctes ou des idées confuses, le Mental s'efforce de persévérer dans son être pour une durée indéfinie, et il est consient de son effort. (...) Quand on le rapporte au Mental seul, cet effort s'appelle Volonté ; mais quand on le rapporte à la fois au Mental et au Corps, on le nomme Appétit, et celui-ci n'est rien d'autre que l'essence même de l'homme, essence d'où suivent nécessairement toutes les conduites qui servent sa propre conservation (...) Le Désir est l'appétit avec la conscience de lui-même.

Ethique III, prop. 9 et scolie.

Spinoza

15/10/2013

Santé & Cosmo Tellurisme... (24)

Accord et harmonie des vêtements :

 

images-2.jpegCette application vous permet de sélectionner les qualités de fibres, de tissus qui vous conviennent le mieux.utilisez la même méthode que pour les aliments.

 

Eaux de toilette, parfums, bijoux :

 

Ces applications sont à utiliser dans la vie quotidienne et vous permettront d'être en harmonie avec les éléments qui vous entourent. Vous pourrez rendre de nombreux services autour de vous en conseillant vos proches dans le choix de leurs aliments, vêtements, etc., et ils vous en seront sûrement très reconnaissants.

 

(Extrait de " Santé & Cosmos Tellurisme" de B. Legrais & G. Altenbach - Ed. Dangles - 1984)

14/10/2013

Chemins escarpés... (26)


Unknown.jpegLes discours des hommes sont faits d’étoiles pleureuses, alors ils envoient des messages codés aux planètes pour qu’elles changent l’orientation de ces mêmes étoiles. Le cosmos passe par une mutation qui perturbe l’étude de l’organisation synchronisée de l’horloge du physicien qui ne constate que ses désillusions, face à l’origine du monde, qui a des pouvoirs supérieurs, plus privilégiés qu’il ne pense. Il prend conscience alors, ce chercheur, de son erreur et de son approximation. C’est, alors, que Dieu intervient et décide en accord avec les consciences humaines de créer un nouveau big-bang d’amour qui viendra tout orchestrer. De ce discours, l’homme en aura une autre vision magique, celle que l’univers lui imposera, cela le fera changer d’opinion. C’est ainsi que les étoiles deviendront rieuses et qu’elles enverront des messages bien fondés à l’esprit des humains qui s’apercevront qu’il n’y a pas qu’eux dans la galaxie. D’autres galaxies révéleront leur intelligence en complément de la nôtre. Ainsi l’heure à nos montres changera au plus grand bénéfice de ceux qui auront la certitude que le monde est vaste, et qu’il change, qu’un nouveau soleil vient à briller dans le cœur des hommes pour plus de chaleur, car un nouveau big-bang vient d’éclater, un big-bang d’amour. Énergiquement, la vie s’en trouvera modifiée et se libèrera des contraintes usuelles et conformistes qui s’attachaient à elle. C’est alors que notre esprit prendra son essor et viendra telle une abeille se poser sur une fleur, ainsi le cycle des moissons à nouveau s’offrira à nous sur une nouvelle Terre dans un univers reconstitué. Les consciences unifiées en un seul mot diront : « Le moment est approprié pour que ce Nouveau Monde soit éternel ».

 

(Pensées Philosophiques et spirituelles de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître... -  je l'espère -)


à suivre...

 

 

11/10/2013

René Char... (Le Poète)

 

René Char. Fureur et mystère, Gallimard, 1967 (« Poésie/Gallimard »). Archives Éditions Gallimard

Fureur et mystère en
« Poésie/Gallimard »,
édition de 1967

« Certes, il faut écrire des poèmes, tracer avec de l’encre silencieuse la fureur et les sanglots de notre humeur mortelle, mais tout ne doit pas se borner là. Ce serait dérisoirement insuffisant », confie René Char à son copain Francis Curel, en 1941. Les récents événements politiques, la guerre, le nazisme, la Collaboration requièrent, à son sens, à la fois le silence de l’écrivain et l’action secrète de l’homme. Démobilisé lors de l’armistice de 1940 après avoir combattu en Alsace, Char s’est donc engagé dans la Résistance sous le nom de Capitaine Alexandre ; et, contre l’« incroyable exhibitionnisme » dont font alors preuve « trop d’intellectuels », il a choisi de ne rien publier durant le temps que durerait l’Occupation. Ce qui ne l’empêche bien naturellement ni d’écrire, ni déjà de songer à un livre qui se placerait sous l’« exaltante alliance » de la fureur et du mystère : « c’est un peu solennel, mais c’est une ville de greniers et de pas millionnaires le rapprochement de ces deux mots », explique-t-il à un autre copain, Gilbert Lely, le 15 octobre 1941. 
Depuis 1940, son existence est rude. Il s’est retiré à L’Isle-sur-le-Sorgue puis dans les Basses-Alpes, à Céreste. Au mur de sa chambre chez ses amis Roux, une reproduction du Prisonnier de Georges de La Tour, avec une photographie d’Arthur Rimbaud à seize ans ; et sur la table, une boîte bleue, ronde et plate, qui contient tantôt des détonateurs, tantôt du tabac. Les poèmes qu’il écrit s’apparentent alors aux aphorismes d’Héraclite, mais s’en distinguent en ceci que les textes du Grec reposent sur une totalité dont nous ne possédons plus que des éléments épars. Char cherche à prolonger le Le Marteau sans maître  (1934) et les autres textes qu’il a publiés avant-guerre dans les revues surréalistes, où il exprimait déjà une forme éruptive de révolte, rimbaldienne celle-là contre les mœurs et contre une certaine pratique archaïque de la poésie, « pourrie d’épileurs de chenilles, de rétameurs d’échos ». Dans un carnet qui ne le quitte pas, il consigne aussi sous forme de notes ses pensées ; il rapporte, dans l’urgence, la mort de ses amis résistants, comme celle de Roger Bernard, abattu par les SS à portée de son propre fusil mitrailleur. Il se dégage de ces feuillets une impression paradoxalement contemplative. « Ces notes n’empruntent rien à l’amour de soi, à la nouvelle, à la maxime ou au roman. Un feu d’herbes sèches eût tout aussi bien été leur éditeur ». En juillet 1944, au moment de partir pour Alger, Char cache soigneusement son carnet des jours de résistance. Il entre en rapport avec la revue Fontaine, à laquelle il donne plusieurs poèmes à partir du mois d’août, ainsi qu’aux Cahiers d’Art et àL’Eternelle Revue, créée par Eluard dans la clandestinité. En septembre, il retrouve son carnet, qu’il s’empresse de détruire, non sans avoir pris copie de la partie « Journal » et des notes, intitulant l’ensemble Feuillets d’Hypnos. Après quoi, il essaie de mettre de l’ordre dans sa « manière de voir et d’éprouver qu’un peu de sang a […] tachée, à [s]on corps défendant ».


(Poésie de René Char -Ed. Poésie/Gallimard - 1967)