04/11/2013
Psycho pratique...(4)
Donner du sens à sa vie :
(5 tâches qui permettent de donner du sens à sa vie)
1) Faire sens du passé. Affirmer une identité. Développer l'estime de soi.
2) S'intégrer socialement, créer un réseau, se relier à l'univers. Prendre soin des autres.
3) Prendre soin de soi. Maintenir sa santé. S'adapter positivement. Faire face au stress, au changement.
4) Construire des projets. S'ouvrir au futur. Espérer.
5) Développer sa dimension spirituelle.
("Donner du sens à sa vie" de Rosette Poletti et Barbara Dobbs - Ed. "Jouvence" -2010)
05:00 Publié dans Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sens, vie, psycho, pratique, philosophie, positiver, réflexions, savoir, comprendre
02/11/2013
Chemins & Dialogues... (3)
Chemin… (3)
Juste éveillé, le besoin de faire respirer des neurones captifs, de ceux qui produiront un feu pour la conscience, après une oxygénation dans l’inconscient. Entièrement constitués de relatives impressions, ces neurones s’organiseront dans le cerveau pour débattre en des pensées régénératrices. La puissance à atteindre leur but deviendra énorme et de là naîtront des pensées toutes neuves, qui se nourriront d’informations des plus intelligentes, de celles qui donneront à nos vies, de multiples sens. Productrices, elles percevront ce qui se devait de se faire. Elles entreront en connexion avec les esprits aptes à comprendre de quoi leur objectif est constitué pour les restituer au monde, en des matins calmes et doux. Doucement, elles s’envoleront tels des avions dans les directions données, vers les consciences qui harmoniseront le petit livre de méditations qui dans les cerveaux activeront tout un univers.
&
Dialogue… (3)
Le besoin de rendre service au cerveau est de régénérer tout l’inconscient en de saines respirations. C’est ici qu’elle fabrique toutes les puissances nécessaires pour activer les pensées les plus géniales. Elles ont un but à atteindre d’aller vers ces cerveaux de lumière, pour en diffuser tous les parfums cosmiques de l’univers. Elles doivent aussi entrer en connexion, le plus rapidement possible, entre elles. De là, elles iront dans un vol soutenu et harmonieux, là où elles doivent aller. Un lieu où les esprits se forment en une piste d’atterrissage pour la connaissance supérieure des consciences ainsi éclairées. Ces pensées issues de ces intelligences délivreront les messages en pleine et juste récompense de leur patience.
(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pensées, chemins, dialogues, kraly, écrivain, philosophie, réflexions, comprendre, savoir
29/10/2013
Le miracle de la pleine conscience... (1)
(1) La discipline essentielle
En occident, l'éducation des enfants est vraiment différente de celle que l'on donne traditionnellement au Vietnam. Ici, les parents pensent que "la liberté est nécessaire au développement de l'enfant". Hier, Allen est venu me rendre visite avec son fils Joey. Cet enfant grandit si vite ! Il a déjà sept ans et parle couramment français et anglais. Il connaît même quelques mots d'argot qu'il a appris dans la rue. Pendant les deux heures qu'à duré notre conversation, Allen à dû surveiller en permanence son fils du coin de l'oeil. L'enfant a joué, discuté sans arrêt, nous interrompant sans cesse et nous empêchant d'avoir une conversation suivie. Je lui ai donné plusieurs livres d'images mais, demandant une attention constante de la part des adultes, il les a à peine regardés, les a jetés par terre et nous a de nouveau coupé la parole. Finalement, il a mis son blouson et est sorti jouer avec le fils du voisin.
(Extrait de "Le Miracle de la pleine conscience" de Thich Nat Hanh - Ed. "J'ai lu" - 1994)
à suivre...
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : livre, hanh, réflexion, philosophe, conscience, miracle, comprendre, savoir, écrivain
26/10/2013
The story of stuff...
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouveau, monde, capitalisme, mode, aliénation, modèle, réflexion, comprendre, savoir, dénonciation, absurdité, folie
25/10/2013
Chemins escarpés... (18)
La création, comme support à nos vies latentes, se vit dans les pratiques auxiliaires de nos attentes spirituelles. Évocation de nos âmes, enfin, libres de s’aimer mutuellement et harmonieusement. Toutes actions s’accomplissant dans le mouvement parfaitement adapté aux situations les plus abracadabrantesques de l’existence, dans un ensemble ondulant sur lui-même. Dans cet espace approprié, les corps s’unissent d’une matière noble faite d’atomes et de molécules heureuses qui sous l’impulsion de celles-ci se recompose magiquement et de façon naturelles en un corps particulier. Dans cette symbolique de la matière devenant lumière, l’esprit intervient miraculeusement dans cet agglomérat inné. La représentation dorée de tout cela en fait un décor de rêve autour de nous, une fois, que ces éléments ont pris chair. Tout consiste à convoquer nos consciences avec les humains dans leur substance initiale, un nouveau cycle positif se juxtapose à la réalité de son environnement. Ainsi s’invente la mouvance sereine de l’être dans l’équilibre magnifique de son apothéose à renaître dans la pureté architecturale de lui-même. La conscience vient à dire : « Que la beauté des êtres est faite de cette lumière qui brille dans l’élégance des âmes qui s’y raccordent ». La photogénie, alors, de l’humanité s’inscrit dans la concordance des lieux dans une séduction comblée de nos cœurs en émois.
(Pensées philosophiques et spirituelles inédites de Pôl Kraly in "Chemins escarpés" - à paraître)
à suivre...
05:00 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : chemins, escarpés, écrivain, kraly, pensée, philosophique, spirituelle, réflexions, comprendre, savoir, émotions, positivité, matière, esprit, corps
24/10/2013
Psycho pratique...(3)
Gérer ses émotions :
1) Repérez un moment de joie que vous vivez en ce moment (ou que vous avez eu récemment).
2) Décrivez la situation. Que s'est-il passé, quel événement merveilleux vous est-il arrivé ?
3) Prenez conscience de vos valeurs - croyances- imaginaires à proposer de ce plaisir.
4) Que ressentez-vous sur le plan physique ?
5) Qu'attendez-vous dans ce type de situation ?
6) Quel est votre besoin ?
7) Qu'allez-vous faire pour capitaliser l'énergie de cette joie ?
La joie est un moteur, un élan vers l'intimité, le partage, un aimant relationnel. Grâce à elle tout devient possible.
à suivre...
("Gérer ses émotions" de Olivier Nunge et Simone Mortera - Ed. "Jouvence" - 2010)
05:00 Publié dans Santé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : psycho, énergies, joie, moteur, bien-être, exercices, réflexions, positiver, comprendre, savoir, bonheur
23/10/2013
Nouveau monde... (7)
CROISSANCE OU DÉCROISSANCE ?
Journalistes, ministres, statisticiens, économistes, syndicalistes, dans leur grande majorité, présentent la croissance économique comme le seul projet viable de société, le seul levier capable de nous apporter emplois, bonne santé économique et prospérité.
Pourtant, si le PIB mondial n’a cessé de croître ces 50 dernières années, les inégalités grandissantes entre individus et la surexploitation des ressources naturelles nous mènent tout droit à des impasses sociales et écologiques. L’idéologie de la croissance économique et matérielle indéfinie est-elle réellement facteur de développement, de progrès et de mieux-être pour l’humanité ? Ce modèle de société est-il durable et généralisable ?
L’heure du changement de logique semble venue, où le "toujours plus", effréné et insensé, laisse place à la sobriété heureuse, consciente et responsable.
- prendre en compte les ressources dont nous disposons vraiment, individuellement et collectivement ;
- nous demander si le PIB reflète vraiment la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays dans une réflexion citoyenne personnelle et collective ;
- faire les choix personnels qui sont en adéquation avec notre éthique, nos valeurs et notre vie personnelle, familiale et citoyenne, dans une contribution "cré-active" au quotidien.
L’impossible croissance illimitée sur une planète limitée
Chercher à tout prix une croissance économique illimitée sur une planète aux ressources limitées est un non-sens qui nous voit couper la branche sur laquelle nous sommes assis. Si tous les habitants de la terre se mettaient à consommer comme un occidental moyen, il nous faudrait l’équivalent de trois planètes pour subvenir aux besoins de tous.
Ce mode de vie et de ponction des ressources naturelles n’est ni généralisable ni soutenable à long terme.
Depuis la fin des années 70, l’empreinte écologique de l’humanité a dépassé la capacité biologique de la planète : nous consommons davantage de ressources que la terre ne peut théoriquement nous en fournir de manière pérenne.
Nous vivons au-dessus de nos moyens.
"The story of stuff", d'Annie Leonard, nous dévoile le cycle de vie de tous ces objets que l'on consomme au quotidien sans vraiment savoir d'où ils viennent ni où ils vont. Elle explique d'une façon ludique mais sérieuse comment fonctionne l’économie globale matérialiste et ses conséquences sur l’économie, l’environnement et la santé.
Vous pouvez voir le film, en VO sous-titrée en français, sur le site www.storyofstuff.org
Accrochez vous, ça va vite mais c'est passionnant !
L’effet Kobe ou le non-sens de l’indice du PIB
Le PIB mesure sous forme monétaire la quantité de biens ou de services produits dans un pays sur une période donnée.
Mais il ne prend nullement en compte les raisons ou les effets qualitatifs de ces productions. Outre la fracture sociale, la pollution, le réchauffement climatique, la destruction des écosystèmes, l’épuisement des ressources... sont non seulement ignorés mais parfois même comptabilisés de manière positive dans le PIB.
L’effet Kobe fait référence à un grave tremblement de terre au Japon, ayant touché des milliers de victimes, mais ayant permis de relancer l’économie par la reconstruction nécessaire des voiries, infrastructures, logements…
Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.
Que faire ?
Sortir de l’idéologie de la croissance indéfinie signifie pour chacun d’entre nous limiter nos prétentions, lâcher notre insatisfaction perpétuelle, renoncer à nos désirs de « toujours plus » et choisir la sobriété volontaire et heureuse.
Une société qui fait ce choix éthique et politique reconnecte ses priorités à l’essentiel : satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.
L’indicateur du PIB pourrait être abandonné pour laisser place à de nouveaux outils de mesure du progrès réel de l’humanité, qui tiendraient compte de l’adéquation du développement économique et matériel avec la capacité biologique de la terre et du bien-être social.
De nouvelles approches voient le jour : PID (Produit Intérieur Doux), IBH (Indice de Bonheur Humain), IDH (Indice de Développement Humain).
Croissance et fracture sociale
La croissance économique se calcule de manière globale sans prendre en compte le niveau d’équité de répartition des richesses entre individus. L’idée qu’elle serait un vecteur de réduction des inégalités n’est désormais plus recevable.
Bien au contraire, 20% des habitants de la planète s’accaparent 80% des ressources ; les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux. Selon les Nations Unies, les 225 personnes les plus riches ont une fortune supérieure à ce que gagnent chaque année les trois milliards d’individus les plus pauvres (soit près de la moitié de l’humanité !).
Les inégalités au sein d’un même pays ne cessent de croître également. En Europe centrale et de l’est, malgré un fort taux de croissance ces dernières années, la proportion d’habitants vivant avec moins de un dollar par jour est passée de 0,5% en 1990 à 3,5% en 2005.
La croissance, facteur de bien-être ?
Au regard des sociétés occidentales, où le stress, l’alcoolisme, la violence, les suicides, les maladies de dégénérescence, la solitude ne font qu’augmenter, travailler plus, dépenser plus, posséder plus, ne semble pas être un gage de bonheur.
La courbe de croissance économique dans les pays développés est d’ailleurs quasiment parallèle à celle des ventes en volume d’antidépresseurs. Ainsi, le PIB ne reflète-t-il pas la qualité de vie humaine et la satisfaction des habitants d’un pays.
On a ainsi de quoi s’interroger sur la pertinence de la croissance en tant qu’indicateur de progrès et se demander à quoi servent nos efforts acharnés pour son développement, si cela ne contribue pas à offrir plus de bonheur aux vivants ?
Serait-elle seulement une idéologie savamment distillée à toute l’humanité pour la défense des intérêts privés de quelques uns et communément admise par tous par habitude ou
résignation ?
05:00 Publié dans société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : nouveau monde, colibris, association, croissance, décroisssance, réflexions, changement, comprendre, savoir