Allez les yeux invisibles vers le beau.

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10/01/2014

L'utilité de la vache...

Surtout ne croyez pas que je donne dans la scatophilie, mais je relève là un défi de traiter ce sujet pour le moins... chaud !

Il faut déjà savoir qu'une vache moyenne produit à peu près 12 bouses d'environ 4 kilos chacune, je vous laisse donc faire le calcul de cette production d'or noir ; mais  jetons un voile pudique sur l'émission de gaz de cette dernière, car le sujet nous intéressant ici, finalement, est riche.

Non seulement la bouse de vache est un écosystème fascinant et complet, les volants et les rampants coprophages affluent vers cet insectopia gargentuesque en moins de 3.6 secondes, mais elle peut être utilisée à l'infinie pour tout humain qui n'hésite pas à y approcher son nez !

Certains l'utilisent en tant que matériau de base comme engrais, comme combustible (bois de vache) ou pour construire des maisons en torchis, voire  pour fabriquer des briques de terre crue, d'autres à l'âme artiste l'utilisent comme matériau de sculpture ou pour aider son voisin

Dès l'âge de bronze, elle servait pour fabriquer des moules en terre : la paille mélangée à la bouse brûle lors de la coulée du métal laissant ainsi des petites trous permettant au gaz de s'évacuer, astucieux non ? Cette méthode traditionnelle et ancestrale est encore utilisée de nos jours dans la fonderie traditionnelle de fonte !

La médecine ancienne recommandait l'application de bouse pour soulager brûlures, plaies et piqûres.

On peut prématurément vieillir des porcelaines en les plongeant quelques mois dans un fumier (rhoo les tricheurs)...

Et plus étonnant encore, une douce odeur de vanille, qui se dégage d'une bouse de vache cuite durant une heure et soumise à pressurisation, serait utilisable pour fabriquer du shampoing et des bougies aromatiques, voilà la découverte d'une scientifique travaillant pour le gouvernement !

Voilà tout ce que j'ai trouvé, mais il y a, sans doute, d'autres exploitations de cet or noir.  Alors, convaincus de l'utilité de la bouse de vache ?

 

09/01/2014

Pensée du Jour...

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"L'homme est un être culturel par nature parce qu'il est un être naturel par culture."


Eugène Guillevic

08/01/2014

Pierre Rabhi...

07/01/2014

Nouveau monde... (10)

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En rangs serrés, les Chevaliers de l’Amour nous arrivèrent, portés par la gloire. Nous versâmes une larme à les voir regarder, ils se savaient des Anges parmi la foule. Un grand espoir nous venait, alors, au cœur, on en mesurait cette fois-ci la signification. Au premier plan, une jeune enfant portait un drapeau, celui de l’amour, que le vent faisait flotter à nos tempes. Le jour se levait, il était cinq heures, un coq au loin chanta, un monde nouveau arriva avec le soleil aux premiers jours du printemps. Une voix s’éleva de la troupe, et cette belle voix se mit à chanter un air de victoire. Ainsi les cœurs à l’unisson s’employèrent, eux aussi, à chanter, puis d’autres drapeaux se levèrent et flottèrent au vent. Une respiration saine s’installa dans les poumons de chacun comme pour mieux respirer ce chant, tous les yeux se levèrent vers le haut, le bleu étincelait d’une nouvelle vie. Nous vivions, alors, en parfaite harmonie avec nous-mêmes, en symbiose avec Dieu. À ce moment-là, le ciel s’ouvrit en deux et présenta le chemin, celui que nos âmes confirmèrent vers la lumière! 

 

(Texte inédit de Pôl Kraly)

05/01/2014

Chemins & Dialogues... (7)

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Chemin… (14)

 Sûr qu’il nous reste dans la conscience cette chose si belle à percevoir, à voir éclore comme une pensée au soleil. Cherchons à savoir son langage, de sa propre vie qui sommeille en nous comme une image sereine, dès lors que nous connaîtrons son verbe... La vie s’ouvrira, alors, comme une fleur et s’épousera à toutes les chances extraordinaires ; là se situe la vérité. Être dans le positif, être toujours en quête de cela, se mouvoir à cette idée que le positif crée l’existence, et fait naître l’espoir. Toutes les situations heureuses ont une histoire saine et régénérante qu’il nous faut savoir apprendre, ce langage universel auquel je crois vient de cette présence qui s’adapte le mieux à l’élévation de l’esprit par le cœur, cela se conjugue ainsi, cela s’ajuste à nos âmes.

 

&

 

Dialogue… (14)

 

 De la conscience vit ce qui nous fait éclore : une pensée positive, celle qui se situe au zénith, près du soleil. Un langage se propose, ainsi, de nous connaître, il se veut universel et facile d’accès, sa propre facilité tient à ce qu’il nous arrive par le cœur. Son message se veut direct et sans détour, il s’ouvrira à nous comme une fleur dès lors que nous aurons voulu qu’il existe en nous. Ne cherchons pas à dissimuler sa vie ; sa vie demeure dans nos cœurs et notre esprit. Sachons lui donner une belle lumière pour qu’il puisse chanter à notre voix. Il s’amusera à nous dire que les beaux voyages sont à faire, dans l’élévation de nous-mêmes.

 

 

(Pensées et Réflexions inédites de Pôl Kraly in "Chemins & Dialogues" - à paraître)

à suivre...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

04/01/2014

Trois maîtres de vie... (19)

lenoir,jésus,socrate,bouddha,livre,écrivain,philosophe,essai,réflexions,comprendre,savoir... L'hypothèse de leur non-existence historique pose en effet davantage de problèmes que celle de la réalité de leur existence. C'est donc surtout en raisonnant par l'absurde que les historiens sont arrivés à la conviction que ces trois personnages ont bel et bien existé. S'ils étaient des mythes, comment expliquer que ceux qui ont transmis leur message aient été si imprégnés par leur personnalité, parfois au point de sacrifier leur vie, comme ce fut le cas de la plupart des apôtres de Jésus ? On donne moins aisément sa vie pour un mythe que pour un personnage bien réel avec qui on a entretenu des liens affectifs à toute épreuve. Les Evangiles, qui racontent la vie de Jésus, manifestent l'amour et l'admiration puissante de ses disciples à son égard. On ressent aussi dans les écrits de Platon, le principal disciple de Socrate, tout l'amour qu'il portait à son maître. Ses écrits ne sont en rien désincarnés, mais témoignent d'une émotion très humaine, d'une sympathie presque palpable. Ecrites plusieurs siècles après la mort du maître, les vies du Bouddha n'ont guère cette saveur et ce parfum d'authenticité du témoignage direct. Mais la même question se pose à l'historien : comment expliquer que des générations d'hommes et de femmes aient entièrement consacré leur vie à suivre les pas d'un homme qui n'aurait pas existé ? Il y a indiscutablement eu un événement majeur qui a bouleversé Pierre, Platon, Ananda et tant d'autres à leur suite. Ces proches ou lointains disciples nomment cet événement "Jésus", "Socrate" et "Bouddha". Qu'ils aient fidèlement retransmis la vie et les paroles de leurs maîtres est un autre problème, sur lequel je reviendrai. Mais nul doute que leur vie a été marquée par quelque chose de tangible, par une voix, par un discours, par des gestes qui émanaient de "quelqu'un". C'est la mémoire orale tout d'abord, puis l'écrit, qui nous ont légué le nom de ce "quelqu'un".

 

(Extrait de "Socrate, Jésus, Bouddha" de Frédéric Lenoir - Ed. "Fayard" - 2009)


à suivre...

30/12/2013

La Petite Note de Franck... (60)

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Voilà les raisons d’être positif dans toutes les étapes de sa vie, prendre conscience de soi-même et de vos buts à atteindre, je vais vous narrer mon expérience de ce jour. J’ai écrit en 2007 un roman qui a pour titre « Ce que doivent être les choses », ce roman cherche à être positif dans l’ensemble de son récit, il m’a épuisé énergétiquement jusqu’à son achèvement qui m’a conduit en hôpital psychiatrique. Après être sorti de l’hôpital, j’ai envoyé mon manuscrit à des Maisons d’édition nationales. En retour, je n’ai reçu que des réponses négatives; je le publiais, alors, à compte d’auteur avec la parution 2008. Sûr de mon talent, ce livre était tombé de mes préoccupations pendant cinq années — même qui se plaça en deuxième position dans mon cœur, car j’avais écrit un premier roman « Méloé » que je trouvais meilleur —.  Le temps passa, lorsqu’en ce début d’année 2013, j’ai une révélation venue de ma conscience, car j’entendis sa voix lorsqu’elle me parla — savoir dissocier la voix de sa conscience, de sa voix de son inconscience — cela s’écoute, mais avec une certaine différence. La voix de ma conscience personnelle est toujours positive (après avoir bien réfléchi, je sais maintenant que cela est définitif, elle ne changera plus, car elle vient directement de mon cœur par l’esprit), ce matin-là j’étais dans ma cuisine à préparer mon petit-déjeuner lorsque celle-ci s’éveilla en moi. Elle me disait ceci : « tu as écrit un bon roman “Ce que doivent être les choses”, félicitations, Franck. » Je répondis : « merci. » Cette voix venue de mon cerveau me dit : « tu n’as pas à me remercier. »  Cette belle voix, alors, s’évanouissait dans ma joie, je pris alors conscience de l’importance de ce roman. Je relus plusieurs fois ce fameux roman et j’étais convaincu de la force créatrice de ce que j’avais écrit. C’est alors que je l’envoyais à d’autres Maisons Éditrices, je reçus toujours les mêmes rejets, mais cela ne me décourageait pas pour autant, il y eut un jour (il y a un mois) un prof qui proposa des séances « d’atelier d’écriture » dans ma petite ville, ma conscience me parla à nouveau en me disant d’aller voir ce prof, ce que je fis, alors que je suis, par nature, un être réservé. J’apportais mon roman, il se proposa de le lire, ce monsieur était Professeur d’Universités à Nantes. Je reçus par mail (peu de temps après) une réponse de lui qui me fit plaisir. À part quelques notations (en bas page) pour l’améliorer; il trouva la deuxième partie de mon roman plus convaincant avec une écriture fluide, il lui semblait, cependant, le sujet « relativement ésotérique » donc réservé à un public averti, alors que pour moi mon livre est universel! Il me donna l’adresse d’un éditeur sur Paris pour ce genre d’ouvrage, et ma voix de ma conscience me demanda de le réécrire sans dénaturer l’ensemble du sujet qui avait toujours sa force. Je suis, ainsi, à la réécriture de ce roman grâce aux notations du début de cet ouvrage que le prof avait semblé un peu faible. Une fois terminé, je l’enverrais à cet Éditeur, car pour moi ce livre suit sa bonne étoile qui l’emmènera à sa publication, j’en suis sûr! Croire et être positif c’est le parcours que je me suis choisi, jusqu’au bout; je reste persuadé que ce livre (1) est bon pour ne pas dire qu’il soit génial!

 

 

(1) J’ai publié ce roman sur un site de livres (en seconde édition) « lulu.com » ( je pense qu’il ne ressemblera pas, tout à fait, à celui que je prépare).

 

 

(Rendez-vous pour une nouvelle... note de Franck)

 

À suivre...